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Tour de France 2005


Invité Pakt0

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Tour de France 2005


Propice au suspense, le Tour 2005, qui débute samedi de Fromentine par un vrai contre-la-montre de 19 kilomètres, a de quoi tenir la France en haleine pendant trois semaines.


Avec au programme neuf étapes de montagne et une première partie de plat réduite, la 92e édition de la Grande Boucle ne sera pas une partie de plaisir pour le tenant du titre et détenteur du record de victoires, Lance Armstrong.

Sextuple vainqueur du Tour, l'Américain mettra un terme à sa carrière le 24 juillet après l'arrivée sur les Champs-Elysées. Afin de le faire triompher une septième fois, ses équipiers devront travailler sans relâche pendant les 15 derniers jours pour le protéger.

" A partir du jour où les coureurs rentreront dans les Alpes, en dehors de l'étape de plaine Miramas-Montpellier, ils auront peu de répit jusqu'à Paris", estime le retraité Laurent Jalabert. "Leurs capacités à récupérer peuvent faire la différence pour la victoire au classement général."

La course, longue de 3.608 kilomètres et disputée dans le sens des aiguilles d'une montre débute donc par un chrono de 19 km entre Fromentine et Noirmoutier. Trop longue pour être considérée comme un prologue, cette première étape, prise très au sérieux par le peloton, justifie la présence d'un seul long contre-la-montre par la suite, programmé à Saint-Etienne à la veille de l'arrivée (55 km).

Après les trois premières étapes vendéennes, le peloton fera route vers le nord-est en suivant une diagonale empruntant le Val de Loire -où sera disputé le contre-la-montre par équipes entre Tours et Blois (66 km)- la Champagne-Ardennes et la Lorraine, puis atteindra l'Allemagne à l'issue de la 7e étape, dont l'arrivée sera jugée à Karlsruhe. Les coureurs partiront le lendemain de Pforzheim, toujours en Allemagne, pour rallier Gérardmer.

A partir de là, et jusqu'à Paris, les routiers sprinters devront s'écarter au profit des ténors. La 11e étape, disputée dans les Vosges entre Gérardmer et Mulhouse (170 km) marquera le début de la montagne. Le peloton passera le premier grand col de l'histoire du Tour, le Ballon d'Alsace, franchi pour la première fois cent ans plus tôt. Après une journée de repos, la course attaquera les Alpes où elle restera le temps de trois belles étapes (Grenoble-Courchevel, Courchevel-Briançon et Briançon - Digne-Les-Bains).

"On va pouvoir se jauger dès le premier contre-la-montre, mais il faudra ensuite attendre la montagne pour savoir", a déclaré Armstrong. "Il faut aborder la montagne pour savoir où on en est. les Alpes seront donc le premier moment crucial, même s'il n'y a qu'une seule arrivée au sommet dans ce massif. Mais l'accumulation des cols et des jours de course peut faire une première différence."

Entre Courchevel et Briançon, le peloton escaladera deux cols mythiques, la Madeleine et le diptyque Télégraphe-Galibier, gravi par son côté le plus dur. Après une journée de transition entre Miramas et Montpellier, le Tour partira à l'assaut des Pyrénées, où seront jugées deux arrivées en altitude à l'issue des étapes Agde - Ax-3 Domaines et Lézat-sur-Lèze - Saint-Lary-Soulan (Pla d'Adet), où le vainqueur pourrait être celui du Tour. Le peloton rendra là un hommage à l'Italien Fabio Casartelli, tué dans la descente du Col du Portet d'Aspet en 1995.

Vainqueur du Tour en 1997 et cinq fois deuxième, l'Allemand Jan Ullrich compte lui aussi beaucoup sur la haute-montagne pour mettre un terme à l'invincibilité d'Armstrong. "Ce n'est pas si facile de programmer sa forme idéale et on ne peut par dire quel jour on sera à 100%", a dit le leader de la T-Mobile. "Mais il ne fait aucun doute que les étapes dans les Pyrénées et les Alpes seront clés. C'est là qu'on pourra gagner du temps."

La dernière étape pyrénéenne, entre Mourenx et Pau (177 km), comportera quatre cols assez difficiles avant le Massif Central (Albi - Mende et Issoire - Le Puy en Velay), toujours délicat à négocier, surtout dans l'optique du contre-la-montre de Saint-Etienne, peut-être décisif.

"Il est déjà arrivé que le second contre-la-montre désigne le vainqueur du Tour", rappelle Jalabert. "On se souvient de l'échec de Laurent Fignon face à Greg LeMond pour 8 secondes. Ici, ce ne seront plus les qualités de rouleur qui feront la différence, mais bien l'état de fraîcheur physique." AP
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Membre, 36ans Posté(e)
nefertari Membre 266 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
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Je comprends pas pourquoi ils passent en Allemagne,c'est censé être le Tour...de France,non?

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Invité [Admin] Invités 0 message
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C'est censé faire le "tour" de la france, le tour de la carte. En accord avec des mairies étrangère, le tour passe régulièrement en belgique, suisse, italie, espagne, et même une fois en angleterre il me semble..

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Membre, 46ans Posté(e)
nidouille Membre 3 883 messages
Baby Forumeur‚ 46ans‚
Posté(e)

Armstrong a déjà une minute d'avance sur les autres candidats au titre...c'est vraiment lassant

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