un jour = une histoire

Chance de n'être point

Point d'interrogation

Dans un monde où se posent

Malheurs en overdose

Même si je ne suis

Pas un bonnet de nuit

Il m'attriste de voir

Autour de moi ce noir

J'admire cependant

Quand revient le printemps

Une aube toute rose

Illuminant les choses...

Aube aux roses nuages...

Perlé de bleu sombre!

Nuit évanouis, humble mirage...

Les étoiles s'endorment dans l’ombre!

Soleil enflammé, Etoile de feu...

Illumine le firmament!

Ciel d'azur, aux poussière Bleu...

Douce journée d'automne,

Sentier bruns qui longe la rivière folle!

Mes compagnon canin m'accompagne...

Compagnie providentielle!

Mes chiens, ma vie, mon oublis...

Et l'oubli de ce temps

Peu à peu s'insinue

Viennent les cheveux blancs

La vie en continu

Passent aussi les tourments

Viendront bien assez tôt

Les tristesses des ans

Sous ce grand chapiteau

Profite de ta vie

Pendant qu'il en est temps

Puisqu'elle te sourit

C'est le plus beau moment...:)

Le vent glacé de l'hiver accompagne de lourds nuage...

Ombre grise, de l'automne, il faut tourner la page!

Les sapins, dernière touche de vert sombre ploie sous la bourrasque...

De l'été il n'est plus questions!

Délicate étoile blanche et duveteuse...

Immaculée et légère comme l'air lui même!

Douceur de velours voluptueuse...

Sucre glacé déposé sur les champs auvergnat!

Le printemps reviendra mais...

L'hiver est la!

Neige dans les montagnes

Givre dans les campagnes

Offensives du froid

Brûle le feu de bois...

C'est bon d'être couvert

Dans ce beau jour d'hiver

Mendiant réchauffe-toi

Près de mon feu de joie...

Des cieux à poussières,

Des cendres aux prières,

Descends, oiseau de fer,

Et mène-moi en enfer.

Le jour où je t'ai vu,

Je l'ai su : c'était toi.

Tu ne l'avais pas cru,

Mais je gardais la foi.

Des cieux à poussières,

Des cendres aux prières.

Tu portais cette lumière,

Signe des grandes âmes.

J'allais au cimetière

Y rejoindre les infâmes.

Des cieux à poussières,

Des cendres aux prières.

Tu ne m'avais dit mot,

Ne racontais jamais rien.

Si je n'avais pas été sot,

Je ne serais pas ainsi tien.

Des cieux à poussières,

Des cendres aux prières.

Un soir, tu ne revenais plus,

Je t'attendais anxieusement.

Mes sens étaient diffus,

Existais-tu réellement?

Des cieux à poussières,

Des cendres aux prières,

Descends, oiseau de fer,

Et mène-moi en enfer.

Poussières nous sommes

Poussières nous resterons

Peut-être bien se nomment

Étoiles à l'horizon

Des poussières d'étoiles

Comme sont les diamants

Ne mettent pas leur voile

Pour nos yeux d'enfants

Des perles de rosée

Qui sont autant de larmes

Nous font un beau collier

Et nos peines désarment...

Le vent siffle joyeusement...

Dans ces douces couleurs d'automne!

Rouge sombre et or bruns des dernières feuilles...

Ultime bataille de la belle saison contre le froids!

Bleu pastel et gris perle d'un ciel incertain...

Soleil qui rougeoie, brume de l'aube et brouillard du crépuscule!

Laine chaude contre froids tenace...

Mailles réconfortante dans le vent froids!

Sommeil de la nature, foret sombre et grises!

Dans un creux dissimulé en haut d'un chêne...

un petit animal se prépare a hiberner!

Les habitant de ces bois enchanteurs mangent les dernier fruits...

D'une saison qui fut chaude et ensoleillé!

Nature douce et enchanteresse, entends ma complainte...

Perds la balle du chasseurs!

Ensevelis ses pièges...

Et aveugle sa traque sanglante!

Cerfs, seigneurs de la forets cache toi...

Sanglier, intrépide mangeurs de racines dissimule toi!

Doux animaux innocent fuyez...

Fuyez loin de la carabines de ces loisirs sanguinaires!

Oui, fuyez, même si moi j'aimerais tant vous voir!

Reprend ses droits Nature

Quand l'humain l'abandonne

Et l'air y reste pur

Loin du bruit des klaxonnes

Sentiers sous les épines

Des ronces libérées

Seule peut-être la fouine

Chemin va se frayer

Chasseur ne pourra plus

Ses meurtres perpétrer

Les animaux saluent

Liberté retrouvée ...

Senteurs de pins...

Essence de la foret boisé de sapin!

Arbres centenaires et jeunes pousses vertes...

Tous vont s'endormirent!

Sous la douceur de l'humus,

en haut des arbres!

Dans les futaies et les buissons...

Les petites créatures dorment paisiblement!

Tandis que mes pas, font craquer...

Malencontreusement une brindilles gelés!

Souffle ardent de la vie, au cœurs de l'hiver...

Oh, compagnons aimé, chiens aux grands cœur!

Son claquants, feu de mort...

Oh, toi qui osera briser le sommeil!

De la foret enchanteresse...

La vie puisse se venger de son bras nommer destin!

Vous êtes chauds, c'est bien :D

Chaud?

Point de chaleurs...

Juste le vent froids de l'hivers la haut!

De la glace c'est l'heure!

Ici, la pendule sonne...

Le temps de l'automne monotone!

Froids vivifiant de l'hiver,

Vent d'enfer!

Chauds comme ces marrons

Qui nous brûlaient les doigts

Mais qui étaient si bons

Cuits sur ce feu de bois

Des paniers de plaisirs

Ramassés en forêt

Bercés de tant de rires

Automne est arrivé

L'hiver va engourdir

Nos pauvres pieds gelés

Il nous faudra courir

Jusqu'à les réchauffer...

Chauds comme les croissants dans un bol de chocolat le matin

Les tartines grillées à cinq heures lorsque j’étais un gamin

L’automne dans la brume

Les cheminées qui fument

Dans la nostalgie des arbres verts

Le printemps au bout de l’hiver

Jessica et lepetitpoetedu76 j'adore vos poèmes!!!

Vraiment!

Cheminée de ma grands mère...

Oh, feu craquant dans l’âtre de pierres!

Douce chaleurs des flammes topaze jaunes...

Enfance si chères!

Hiver de gèle...

Igloo de glace!

Temps bénie passé et présent...

Poête virtuel et pourtant si réel!

Merci...

Merci à toi Sandy

Un régal quand je lis

Ta jolie poésie

Poésie d'un ami...

Un régal qui égale

Chocolat et croissants

Une belle fringale

Lecture d'un moment...

Images qui reviennent

Chemin qui nous entraîne

Vers de beaux souvenirs

Des bouquets de sourires...:)

L'aube pâle de l'hiver se lève timidement...

Bleu marine de la nuit qui s'en vas!

Une lueur orangée colorent doucement...

La neige immaculée la bas...

Hiver, tant attendus, enfin la...

Un air de Noel emplis ce petit matin!

Douceur de la lumière...

Neige assourdis les son!

Tendres flocon de plume blanche..

Gris d’étain d'un ciel lourds de nuages!

Doux mois de Décembre, vient je t'attends!

Doux ou rude l'hiver

De neige se parsème

Fleurs d'étoiles si fières

Dispersant des je t'aime

Les sapins encore verts

Vont d'une blanche fourrure

Leurs costumes sévères

Échanger la parure

Brilleront de mille feux

Près de la cheminée

Pour le plaisir des yeux

Bambins émerveillés...

:)

Superbe!

Blanc de la neige!

Invisible sur l'immensité...

Gracieux animal au pieds teinté de beige!

Robe immaculée...

La vapeur s’échappe en douce volupté...

De tes naseaux si soyeux!

Le soleil réchauffe ta robe au reflets...

D'or nacré!

Souffle brûlant d'un être presque magique...

Magesté innocente, simple cheval entrain de brouté!

Dans la neige féerique...

Voici venu l'hiver

Les toits sont recouverts

Ainsi que les végétaux

D'un blanc manteau

qui génère une ambiance

où domine le silence.

(première tentative depuis longtemps de versification)