l'etang de forumfr

Quel belle étang

Je vais y trempé ma gaule

Et pêché le poisson roi

Mon poisson doré

Celle qui me fait rêvé

Tout à côté des coquelicots

Se léger vent frémissant

Qui m'apaise et m'endort

Sa gaule ne peux pêcher

Prés des coquelicots, le poisson doré :

Ce qu'il veux,il ne peux l'empêcher ,

Dans ses songes imaginés.

Réveille toi doux pêcheur !

Apaises moi avec ardeur

Au vent léger des coeurs

Dans un étang de douceur.

Modifié le 13 août 2012 par Lunenoire

Tout dépends de quelle gaule on parle .... ....

J'vois pas ??? y'a autre gaule que derriére la braguette ??? :gurp: ................:smile2:

Et puis toute cette eau de l'étang, ça donne envie pipi!! non ? Mais à quoi tu penses ??

Sur ce, je quitte l'étang : trop de touristes aujourd'hui !

Modifié le 15 août 2012 par Lunenoire

.... Dommage ...

..............pardon ? vous dites ?...mmmmh........je vois un endroit plus calme, là, sous le saule...........

Sous ce saule dort

Une paisible cigale

Ou l'aube , met du temps

A ce levé sous la rosée

Du matin les premières

Lueurs du jour se réveille

Tout doucement et merveilleusement

Un jolie petit

Sous un saule pleurant

Séchez vite ces larmes

Que ce lever du soleil

Sous ces rayons

Brulant viens réchauffé

Que vous êtes bon

De consoler ainsi ma peine

Mais elle coule dans mes veines

Et s'y accroche pour de bon.

Vos rayons cependant sont doux,

Qui réchauffent mon sang glacé,

Tout humide de la rosée

Et noyé dans ses rêves fous.

L'étang est désert, hormis quelques oiseaux pialleurs et le saut lumineux des tanches en quête d'insectes.

Je m'assois sous le saule, mmmmmhhhh....qu'il fait doux !

Modifié le 16 août 2012 par Lunenoire

Qu'il est bon de se poser en cet endroit

où la douceur et l'apaisement de cet étang

ne fait que le voyage de nos émois,

et dont le tourbillon de nos moments

n'est qu'effleurement de ces parois

Visualise ces mouvements si éclatants

en apprenant de ce que l'on octroi

qui fit de mon élan

l'éloignement qui s'en perçoit

Je glousse de ce maigre instant

qui de mes mots, si peu clairs, ma foi

mais dont j'ai pris grand plaisir en ce temps

de mon témoignage à n'être que moi

Qui glousse à ce point

Dans ce paradis perdu

Plein d'espoir , endroit magique

Rempli de douceur

A en perdre la raison

Ou petit oiseaux et libellules

Se côtoie dans une magnifique

Danse de saison

Ou plaisir des sens

Émerveille petits et grand

Qui est cette oie

Qui se posent sur cette

Étang et braille à tue tête

Si bruyant ou le silence règne

Hi hi

Dans la chaleur écrasante

Une petite brise se léve

Légére et régénérante

Douce comme un rêve.

Les oies ont pris leur envol

Vers quelques autres lieux

Plus prés des pôles

Plus prés des Dieux.

Je contemple l'eau qui miroite,

Quelques ridules en surface

Et, me sentant toute moite,

Y plonge et m'y prélasse.

Le saule balaie les mousses

De ses feuilles immenses,

Voilà que je me trémousse

Sans savoir à quoi je pense.

A quelque faunes je crois,

Cachés sous le feuillage,

Scrutant leur proie

Résignée..et peu sauvage !

En m'approchant

Je ne vois qu'elle

Sous le feuillage

En surface nageait

Ce poisson brillant

Qui gobait , sa et là

Des petits moucheron

Qui frétillait

Au dessus de la surface

En faisant des ronds

Dès que je m'approchait

Elle semblait très curieuse

Et sans peur

Aux contact de ma main

Dans l'eau lui offrant

Ce petit bout de pain

Qu'elle s'empressa

De goûté

Rêvassant sous le saule

Un frôlement m'a surpris :

Sans sa gaule,

Un homme, avait l'air épris:

Il se penchait avec précaution

Vers la surface argentée

Comme vibrant de passion,

Pour un poisson doré !

Il lui tendait la main et du pain,

Que le poisson a grapillé.

Qu'is étaient beaux,ainsi,

Communiant dans la même beauté.

Et je me suis doucement enfuie

Pour ne pas les déranger,

Les laissant unis

Dans une sorte d'éternité .

(Premiere fois que je m'essayes a ce genre d'activité, j'espere que vous pardonnerez la médiocrité      ).

Mélancolie de proximité

en ce monde si eloigné.

Au bord de cet étang,

que je n'avais point

dragué depuis longtemps.

Ces eternelles neiges

pavant cette marre,

Une rose rouge

ornant cet étang

au milieu de ce néant.

Le coeur rouge et noir,

rouge de sang

noir de haine

rouge d'amour

noir de peine

Tel un grand Bakkies,

jour de match,

destronchant,

escagassant,

ruintant,

a l'écoute de ma profonde nature,

ressurgissant en ces temps,

me battre, me combattre, me debattre,

pour redevenir le guerrier d'antan

me representant integralement,

ce minot de deux ans d'age,

devant cet arbre sans age,

venerable et sacré,

ne peut que respecter l'adage,

partir a l'abordage

pour viser l'impossible,

pour toucher l'indicible,

pour admirer son scintillement,

representant l'idéal réel feminin,

qui dorénavant est mien

Etre fort pour pouvoir:

secher l'écarlate,

de ses yeux,

de ses levres,

de son existence.

Lutter sans chance de survie

se battre pour tout perdre,

mais l'honneur sauf

retentira comme un glas,

sur mon épigraphe,

"Mort au combat".

Avec pour seule victoire,

le fait d'avoir tout donné,

et de pouvoir abandonner,

les poings rouges sur le coeur noir.

Modifié le 5 octobre 2012 par Fabcan