Quelqu'un peu faire une description de forêt ?

Bon , je m'adresse au personne doué pour écrire des textes . Je voudrais une description de lieu sur la foret . Quelque chose de beau et de poétique . Je demande pas quelque chose de gros juste un petit quelque chose de 3 a 5 lignes :blush:

5 lignes sur la forêt ??? Mais t'es un ouf toi!! :blush:

1.Bataillons de troncs, farandoles de branches

2.Tes feuilles sont des chapeaux protecteurs pour les grenouilles

3.Les garennes comptent tes racines et tes souches

4.Tes sous bois odorants sont tes nez de Grasse

5.Sylve accueillante et vivante, é mère forêt!

Du genre, une forêt de fagacées dense mais laissant suffisamment d'espace pour la pénétrer, dense mais suffisamment aérée pour laisser passer les rayons de soleil ravivant les ton verts, les vies animales et végétales se soutenant et évoluant au même rythme dans le temps et généreuse en nourriture ? ou bien une forêt glaciale de sapins et autre conifères, illuminée par le seul éclat de la pleine lune, laissant apparaitre une forme d'hiboux ici, de chauve-souris là, pleine d'ombre incertaines et ne disant rien qui vaille ? :blush:

mon beau foret .

roi des foret .

Fret a bois.

Foret a métal .

Foret a béton .

Je t'emboîte dans le mandrin de ma perceuse et je fait des trou et des trou de partout .

Vient chez moi,je te protégerais dans mes sous bois...

Profite de moi,je te donnerais a rêver,tu vois un peu de moi....

Aime moi,tu te retrouveras,toi,a travers moi....

Protège moi,sans moi ,tu ne seras plus jamais toi...

fait de moi un peu de toi,fait que toi,je serais éternellement un de tes émois

Du genre, une forêt de fagacées dense mais laissant suffisamment d'espace pour la pénétrer, dense mais suffisamment aérée pour laisser passer les rayons de soleil ravivant les ton verts, les vies animales et végétales se soutenant et évoluant au même rythme dans le temps et généreuse en nourriture ? ou bien une forêt glaciale de sapins et autre conifères, illuminée par le seul éclat de la pleine lune, laissant apparaitre une forme d'hiboux ici, de chauve-souris là, pleine d'ombre incertaines et ne disant rien qui vaille ? :blush:

Quand l'aurore darde de ses rayons d'argent des écharpes de brume ? ^^

Euh... Elle doit dire quoi cette forêt ? Elle a quel caractère ?

Elle se joue de moi, et quand je m'aventure sous ses feuillages, même ensoleillés, très doucement mes souvenirs me fuient, comme enlacés par une nuit totale, aussi froide que généreuse. Cette feuille morte qui court vers d'autres lieux, le long de ce ruisseau, je crois que c'est mon nom, et sur cet arbre plus malin que mes ancêtres, j'entrevois un visage. Au frisson d'une branche, je la sens, la puissante Viviane, qui se replie dans l'ombre, elle s'amuse de ma peur et me fait trébucher dans un fourré. Pour me rassurer, misère ! voilà que je m'endors, entre les bras de Mélusine.

Quand l'aurore darde de ses rayons d'argent des écharpes de brume ? ^^

C'est bien ça..

Elle se joue de moi, et quand je m'aventure sous ses feuillages, même ensoleillés, très doucement mes souvenirs me fuient, comme enlacés par une nuit totale, aussi froide que généreuse. Cette feuille morte qui court vers d'autres lieux, le long de ce ruisseau, je crois que c'est mon nom, et sur cet arbre plus malin que mes ancêtres, j'entrevois un visage. Au frisson d'une branche, je la sens, la puissante Viviane, qui se replie dans l'ombre, elle s'amuse de ma peur et me fait trébucher dans un fourré. Pour me rassurer, misère ! voilà que je m'endors, entre les bras de Mélusine.

C'est encore mieux, mais pour faire simple je suis encore trop pudique pour me laisser aller publiquement à ce genre de description, très personnelle à mon sens.

C'est bien ça..

«La chasse, c'est un peu une communion avec Dame Nature quand l'aurore darde de ses rayons d'argent des écharpes de brume.»

Citation des inconnus, le sketch de la galinette cendrée... :blush:

C'est encore mieux, mais pour faire simple je suis encore trop pudique pour me laisser aller publiquement à ce genre de description, très personnelle à mon sens.

Merci. Mais c'est pas spécialement personnel, juste pour montrer à l'auteur du topic qu'on ne sait pas ce qu'il a en tête quand il pense à une forêt. Mais je peux faire des forêt joyeuses, aussi ! Voire futile, allez.

J'apprécie le compliment, en tout cas.

«La chasse, c'est un peu une communion avec Dame Nature quand l'aurore darde de ses rayons d'argent des écharpes de brume.»

Citation des inconnus, le sketch de la galinette cendrée... :blush:

Avec la phrase entière ça me revient, effectivement ^^

Merci. Mais c'est pas spécialement personnel, juste pour montrer à l'auteur du topic qu'on ne sait pas ce qu'il a en tête quand il pense à une forêt. Mais je peux faire des forêt joyeuses, aussi ! Voire futile, allez.

J'apprécie le compliment, en tout cas.

Je vois bien, mais je me suis compris en disant ça.

mon beau foret .

roi des foret .

Fret a bois.

Foret a métal .

Foret a béton .

Je t'emboîte dans le mandrin de ma perceuse et je fait des trou et des trou de partout .

Moi, j'aime bien cette description, un petit chapeau en moins, et hop redescendu sur terre, plus de forêt, plus de verdure, ni de mousse, non rien que du fer du métal et du béton. Finalement rien de féérique dans la vie d'un foret.

SFC :blush: , je ne m'attendais à rire autant, en lisant tes quelques ligne sur le mot foret.

Merci

et désolée pour le hors sujet.

La forêt et le soleil

(Matin de Noce)

La forêt s'éveille

aux chants des passereaux,

tirée de son sommeil

par un concert d'oiseaux.

Retirant lentement

son linceul de rosée,

elle s'offre doucement

dévoilant sa nudité.

Otant son voile blanc

d'un geste amoureux,

s'offrant nue et tremblante

aux rayons pleins de feu.

:blush:

Aux abords du fleuve d'huile, sur la rive non élysiaque, de sombres bois s'élèvent jusqu'où la vue n'a pas prise.

A la lisière de l'entendement, la forêt ripisylve se dresse et s'étend, gagnant de façon imperceptible mais implacable sur les eaux troublées de l'oublie. Filtrant continuellement les songes des assoiffés qui tapissent les fonds immergés, l'ombre verdoyante nourrit milles chimères, faunes et satyres, à partir des souvenirs des heureux condamnés. Et du fleuve moribond, à la faveur des dryades, on peut voir la vie passée et délavée des éternels errants servir de terreau à une nouvelle existence fertile et luxuriante.