Que lisez-vous en ce moment ?

Un règlement de compte en fait.. Peu d'intérêt.

Bon polar, gentil.

Pas Goncourt pour rien, flamboyant !

- La femme parfaite est une connasse

- Femmes à rénover

- Demain

Je l'ai commencé hier soir :)

Bonjour !

Finalement, K.Mazetti, je viens seulement de le prendre en main !

Entre temps," Le silence de la mer"m'a passionnée.

Récits courts, sélection issue des Editions de minuit, créées vers 1940, forme littéraire de résistance.Petits livres vite lus, passés sous le manteau, facile à détruire en cas d'urgence..........Une grand leçon de dignité par des petits gestes simples et discrets de résistance, parfois passive, parfois guerrière.

Et, à l'instant, la dernière page de "Elle marchait sur un fil".

Etrange Delerm que celui-ci. Toujours aussi empreint de poésie du quotidien mais insistant ,là sous forme de roman , sur la poésie de l'espoir et du désespoir.

Beau, simplement.

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Bonjour Jedino,

Je serais intéressée par ton avis sur ce bouquin en particulier, que j'ai hésité à acheter.

Les autres, je les ai lus !Sauf L'esprit et la matière.

Merci !

Dans la mesure où je suis tous en train de les lire, je ne peux pas te donner mon avis sur le livre en question!

Mais, de ce que j'en ai lu, c'est un livre qui se laisse lire sans être forcément LE livre que j'ai pu lire. C'est agréable, en somme.

Roman Stern a un vrai problème : les dingues et les dépressifs du globe semblent l'avoir choisi comme confident exclusif. Au comptoir d'un café, dans la rue ou sous un Abribus... A chaque fois, le jeune homme devient la cible privilégiée de tous ceux qui ont besoin de se plaindre. Et Roman ne s'emporte jamais. Il a toujours été comme ça. Plutôt spectateur qu'acteur, docile, adepte des salles obscures et du repli sur soi. Jusqu'au jour où son alcoolique de tante lui lègue un caniche blanc accompagné d'un joli pactole ! Un coup du sort vite transformé en coup fumant : en créant La société des plaintes, Roman devient écouteur professionnel sans perdre de vue l'essentiel : dans la vie, on ne fait que passer et l'onglet à l'échalote se déguste bien chaud... (4ème de couverture)

Pas vraiment emballée par le style littéraire !

J'ai fini "civilisation celtique". Je n'ai pas aimé le style de l'écrivain et au final, je n'ai quasiment rien découvert !J'ai enchainé sur "malavita" et là, je me suis régalée. La fin est peut être brutale. Mais en fait, rien à dire de plus.En quelques mots : c'est l'histoire d'une famille américaine placée sous protection policière suite au procès qui a mis pas mal de mafieux en prison. Pour un Max de sécurité, ils se retrouvent dans un petit village normand.

.C'est une écriture vivace qui rend extrêmement vivant les personnages, ce qui n'empêche pas une certaine critique sociale en arrière plan.Ce soir j'attaque le cycle d'hyperion !

"le village de l'allemand" ou le journal des frères Schiller de Boualem Sansal

il raconte la découverte de ces 2 frères devenus adultes ce qu'était leur père du temps de la guerre, le rôle qu'il a joué au sein de celle ci dans l'armée nazie(entre autre)

Depuis "Rouge Brésil", j'ai lu :

Travail soigné - Pierre Lemaitre je note 5/10 (bonne idée, mais c'est bien un "premier livre")

Les désorientés - Amin Maalouf je note 8/10 (profond, de très belles images. Une gêne néanmoins : le mot "réminiscence". Lorsqu'on lit d'une traite un bouquin, ces répétitions prennent vite le pas sur l'émotion que l'auteur voulait transmettre)

Petit éloge de l'héroïsme - Ariane Charton je note 4/10 (pourquoi ce titre je me demande encore... Quelques "jolies réflexions", mais du rapport, du survol, de la référence, principalement)

Un repas en hiver - Hubert Mingarelli ma note 7/10 (un choc sur certains paragraphes, un ennui pour d'autres longues pages, qui se trouvent pourtant être primordiales. Une ambiance particulière que l'auteur parvient à transmettre.

La porte des enfers - Laurent Gaudé ma note 6/10 (l'auteur nous emmène là dans la souffrance, c'est Gaudé, c'est pas n'importe qui. Sa prose fait mouche. Et le livre tourne en "conte" sans véritablement que ce soit gênant. Une petite performance je pense, même si loin d'être le meilleur de Gaudé.

Je le ferai pour toi - Thierry Cohen ma note 7/10 (jolie surprise pour un livre que je n'aurais jamais acheté. Thierry Cohen, auteur "lambda", souvent ce que je ne lis jamais. Mais là.. C'est que là l'écriture est fluide sans fioritures excessives, c'est correctement ficelé, ajoutez à cela de bonne réflexions, vous obtenez un livre/un divertissement (quoique) honnête.

Alex - Pierre Lemaitre ma note 7/10 (voici Lemaitre qui s'améliore. Diabolique, l'écriture change aussi, un peu moins de sensationnel, plus percutant)

Poutine et le Caucase - Régis Genté ma note 7/10 (le livre prend pour appui au départ les jo de sotchi. Le titre est tout à fait indiqué et par le menu l'auteur nous explique beaucoup de tenants et aboutissants. Le livre tient sa promesse d'information sans trop déborder du cadre)

Une vie - Simone Veil ma note 6/10 (autobio correcte, stricte - comme l'auteur ? - côté écriture j'en ai lues de meilleures, sans nul doute. Ici l'émotion "ne passe" pas.)

J'ai acheté Le guetteur d'ombre de Pierre Moinot. J'ai lu les premières pages et j'avoue avoir pas mal de difficulté à me mettre dedans mais je continue et on verra la suite.

Personne n'a d'avis sur ce livre ?

Au lendemain d'une fusillade à Naples, Matteo voit s'effondrer toute raison d'être : son petit garçon est mort. Nuit après nuit, à bord de son taxi vide, il s'enfonce dans la solitude et parcourt au hasard les rues de la ville. Un soir, dans un minuscule café, il fait la connaissance du patron, Garibaldo, de l'impénitent curé don Mazerotti, et surtout du professeur Provolone, personnage haut en couleur, aussi érudit que sulfureux, qui tient d'étranges discours sur la réalité des Enfers.

Et qui prétend qu'on peut y descendre... Ceux qui meurent emmènent dans l'Au-Delà un peu de notre vie, et nous désespérons de la recouvrer, tant pour eux-mêmes que pour apaiser notre douleur. C'est dans la conscience de tous les deuils les siens, les nôtres que Laurent Gaudé oppose à la mort un des mythes les plus forts de l'histoire de l'humanité. Solaire et ténébreux, captivant et haletant, La Porte des Enfers nous emporte dans un "voyage" où le temps et le destin sont détournés par la volonté d'arracher un être au néant. (4ème de couverture)

L'épée de l'Orage de David Gemmell

Au cœur de montagnes verdoyantes se trouve le petit village rigante de Trois-Ruisseaux, dont les habitants vénèrent les dieux de l’air et de l’eau, et les esprits de la terre. Parmi eux vit un enfant marqué au sceau du destin. Né au cours de l’orage qui condamna son père, il se nomme Connavar.

Bientôt, les récits de son courage se répandront comme un feu de prairie. De l’enfant qui a combattu l’ours, il deviendra l’homme qui a tué le roi ! Il a juré de protéger son peuple et rien ni personne ne pourra se mettre en travers de son chemin. Or, une prophétie a prédit qu’une armée sans pitié traverserait un jour la mer et, telle une avalanche, détruirait tout sur son passage.

Sur cet échiquier, toutes les forces en présence vont jouer leur main : du général Fantôme à la Morrigu, créature maléfique qui hante les bois depuis la nuit des temps, en passant par Jasaray, l’Érudit de Roc, et son armée invincible.

C’est compter sans Connavar, qui s’embarque pour une quête qui le mènera au cœur de l’ennemi. Mais en chemin, il recevra un don : une épée magique. Ainsi obtient-il un nom qui frappera de terreur le cœur de ses amis comme de ses adversaires. Un nom proclamant une destinée glorieuse et amère : Démone-Lame.

Le grand échiquier de Brzezinski, Théorie générale des systèmes de von Bertalanffy et Un mythe moderne de Jung.

Une guerre atomique dévaste la planète, et dans la France détruite un groupe de survivants s'organise en communauté sédentaire derrière les remparts d'une forteresse. Le groupe arrivera-t-il à surmonter les dangers qui naissent chaque jour de sa situation, de l'indiscipline de ses membres, de leurs différences idéologiques, et surtout des bandes armées qui convoitent leurs réserves et leur " nid crénelé " ? (4ème de couverture)

Une écriture remarquable...

Je viens de terminer "Lolita" de Vladimir Nabokov.

J'ai adoré le style d'écriture riche, sa fluidité, et surtout le fait de ressentir de la sympathie pour un personnage qui est en train de nous raconter des horreurs.

Il faut une certaine dose de talent pour pouvoir nous faire ressentir tout ça, je suis encore sous le choc.

En ce moment,

Comtesse Bathory

En ce moment,

Comtesse Bathory

Bonsoir,

Je ne savais pas qu'il existait un roman sur son histoire. Julie Delpy a réalisé un film dans lequel elle joue le rôle de la comtesse. Elle y était magnifique.