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gilonimo

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Je ne le lis pas en ce moment mais il a été mon coup de coeur de l'été :

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Camille vient de perdre sa mère. Parmi les lettres de condoléances, elle découvre un étrange courrier, non signé. Elle croit d’abord à une erreur mais les lettres continuent d’arriver, tissant le roman de deux amours impossibles, de quatre destins brisés. Peu à peu, Camille comprend qu’elle n’est pas étrangère au terrible secret que cette correspondance renferme. Dans ce premier roman sur fond de Seconde Guerre mondiale, Hélène Grémillon mêle de main de maître récit historique et suspens psychologique. Le confident a obtenu cinq prix littéraires et été traduit en dix-huit langues.

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Invité Casey Miller
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Invité Casey Miller
Invité Casey Miller Invités 0 message
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La Pensée politique (Aristote, Machiavel, Rousseau, Proudhon, Nietzsche, Freud et maints penseurs omis) de Dominique Colas.

Vu que je vais déserter le forum, je rajoute quelques lectures futures:

Révolte contre le monde moderne de Julius Evola.

Cours de linguistique générale de Ferdinand de Saussure.

Lettres de prison d'Antonio Gramsci.

Demain la décroissance(entropie, écologie, économie) de Nicholas Georgescu-Roeghen.

Capitalisme et liberté de Milton Friedman.

Les vagabonds du rail de Jack London.

Et un magazine sur la vie et la pensée de Malatesta.

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Membre, Too old to die young, 49ans Posté(e)
Rob Gordon Membre 4 731 messages
49ans‚ Too old to die young,
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Ceci, qui me donne envie de me procurer son dernier livre.

L’aventure et l’espérance, le dernier livre d’Hélie de Saint Marc

de Bruno Blaise 30 août 2013<br style="margin: 0px; padding: 0px;">Temps de lecture 6 mn

Ce livre reprend Toute une vie publié en 2004 : superbe témoignage d’une vie d’exception, message d’espérance malgré les nombreuses épreuves vécues en affrontant avec courage et dignité le nazisme, le communisme, la décolonisation et la prison. Excellente analyse des guerres d’Indochine et d’Algérie et de la colonisation et superbe leçon de vie. En voici quelques perles :

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"(…) Le sens de notre condition humaine me hante. À 19 ans, je suis entré dans la résistance. Parce qu'un chef de réseau a cru en moi, j'ai été projeté dans l'aventure de la clandestinité et le chagrin sans fond de la déportation. À 44 ans, je suis sorti de prison, sans papiers, sans droit de vote, sans carnet de chèques. Entre les deux, pendant ces 25 années d'une intensité sans pareille, j'ai été plongé dans l'histoire. Je me suis battu. Nous avons parfois gagné, souvent perdu."

"L'aventure (…) J'ai été comblé par l'existence. J'ai rencontré parmi les hommes que je commandais le pur héroïsme, celui qui transfigure la laideur de la guerre. J'ai parfois connu de grands hommes qui m'ont montré un visage médiocre. J'ai aimé et j'ai été aimé. Ces dernières années, la maladie et l'épreuve m'ont conduit à fréquenter les hôpitaux, infirmières, aides-soignantes, assistantes de vie, et j'ai pu mesurer une fois de plus que les femmes « portent la moitié du ciel » comme disent les Chinois. Les pages qui suivent témoignent de la puissante richesse de l'âme humaine et de ce que je dois aux miens.(…)

L'espérance ne m'a jamais quitté, même au comble de la souffrance. Une flamme fragile, minuscule, chancelante, mais si bouleversante dans la nuit humaine.

Je confie aux lecteurs ces raisons de vivre, qui furent trop souvent des raisons de souffrir, mais toujours des raisons d'espérer. C'est une grâce, la seule peut-être qui compte à 88 ans."

A 15 ans : "Je m’intéressais plus aux hommes qu’aux événements. J’aimais les destins fulgurants et tumultueux. J'étais attiré par les héros solitaires et chevaleresques qui donnaient leur vie pour autrui."

Son destin bascule en janvier 1941, lorsqu'il est mis en présence d'un résistant de la première heure, le colonel Arnould, par le supérieur du collège de Tivoli.

"J'ai vécu, au sein du réseau Jade-Amicol, ces instants muets durant lesquels on joue son sort à pile ou face, sur un regard."

Hélie de Saint Marc est jeté dans un camion à bestiaux vers Buchenwald en septembre 1943. Le camp accueillera jusqu'à 40 000 détenus en août 1944. Il remonte le moral des uns, chante avec les autres et affronte la déchéance physique avec cran. Le 9 avril, crachant le sang, Hélie de Saint Marc est conduit au mouroir du camp, que les SS évacuent en catastrophe. Les Américains arrivent à temps. Il a perdu connaissance, pèse 42 kilos pour 1,80 m. Il est l'un des 30 survivants d'un convoi de 1000 déportés.

"La coexistence de l'absurdité et de la mort a fait de la déportation le lieu de l'absolue vérité des êtres. Nous aurions pu nous haïr, nous sommes devenus aussitôt amis. Nous n'avions pas la force d'échanger de grandes phrases, juste un regard, les mots simples et bêtes du courage. Ces attentions de pauvres gens nous liaient bien plus que des semaines de confidences.

Dans le dépouillement d'un camp de concentration, j'ai fait une grande découverte : la lâcheté, l'égoïsme se trouvaient chez ceux où je m’attendais le moins à les trouver. En revanche, j'ai pu connaître la générosité, la noblesse, le courage là où, selon les critères de mon enfance, ils n'auraient pas dû exister. Cela change toutes les perspectives.

Les conditions extrêmes révèlent les profondeurs de chacun d'entre nous, où l'amour le plus insensé lutte à chaque instant avec la violence et le désir d'anéantissement d'autrui.

Dans ma chute, j'ai éprouvé la validité de quelques attitudes élémentaires : refuser la lâcheté, la délation, l'avilissement.

Chaque jour, chaque heure, il fallait extraire de soi un peu de vie pour perdurer.

J'ai eu la vie sauve dans le tunnel de Langenstein grâce à un détenu letton. Il était fort et effectuait une partie de mon travail ; il m’a donné de la nourriture, vraisemblablement volée. Cet homme et moi vivions dans la souffrance des moments d'amitié extraordinaire. Il m'a sauvé la vie pour rien, par pure gratuité.

La seule manière de résister à l'absurde, à la souffrance et à la peur était de tisser des liens avec les autres détenus. Un regard, un geste, un sourire et l'espoir revenait.

Je vivais deux vies parallèles. La vie de bagnard, et l'autre qui n'appartenait à personne, pas même à nos gardiens, la vie intérieure.

Je regarde aujourd'hui un SDF ou un ministre de la même manière. Seul l'homme m'intéresse.

Vivre, ce n'est pas exister à n'importe quel prix. Personne ne peut voler l’âme d'autrui si la victime n'y consent pas. La déportation m'a appris ce que pouvait être le sens d'une vie humaine : combattre pour sauvegarder ce filet d'esprit que nous recevons en naissant et que nous rendons en mourant.

En revenant parmi les vivants, j'ai dû vivre avec le silence. C'est la seule réponse que j'avais trouvée. Toutes les paroles du monde ne pèsent rien face à certains regards qui ont vu l'autre côté des choses."

Saint Marc est affecté au Maroc (par la Légion étrangère), en attendant un départ imminent pour l'Indochine.

Au Vietnam "Il y avait tant de beauté étalée, une telle richesse intérieure, un tel torrent d'émotions inconnues, tant d'odeurs et de lumières, que nous n'avons pas hésité à jeter notre peau dans la balance pour que le Vietnam échappe aux camps de rééducation, à la pensée automatique, à la censure, aux mausolées sinistres.

J'ai souvent relu cette phrase de Kipling : « Oh, l'ouest est l'ouest, l’est est l’est et jamais les extrêmes ne se rencontreront à moins que le ciel et la terre ne se soumettent immédiatement au jugement dernier. Mais il n'y a plus ni est, ni ouest, ni frontières, ni races, ni naissance lorsque deux hommes se tiennent face à face, même s'ils viennent des deux extrémités de la terre. » C'est exactement ce que nous ressentions pour nos adversaires.

Lacordaire a écrit, dans la vie de Saint-Dominique : « L'homme vaut ce que vaut un drame intérieur.» La guerre, c'est apprendre que l'ennemi est d'abord au fond de soi-même.

Donner sa vie pour plus grand que soi est l'accomplissement d'une vie humaine. Peut-être faut-il prendre les épreuves non comme quelque chose que la vie nous enlève, mais comme quelque chose que nous donnons.

Le courage du soldat est inséparable de celui des autres. Il fait partie d'une chaîne humaine et il n'y a pas de salut individuel.

On ne crée pas sa vie : on la reçoit et on la donne."

Puis, c'est l'Algérie. "La jungle, par sa démesure et sa violence, reste en moi comme la métaphore de la condition humaine : simples mortels avançant inexorablement vers leur fin, nous sommes à peine des insectes dans cet océan de sève. Le désert nous envoie un autre nécessité : habiter d'une présence la désolation de l'existence, entrer en relation avec tout ce qui est grand dans l'homme, guetter l'aube sous le globe étoilé de la nuit… Dans le désert, tout est tranchant, aigu, limpide. C'est un monde sans objets et sans plaisirs, où l'homme est rendu à lui-même.

Cette période la plus sombre de la guerre coïncide, comme en contrepoint, avec un grand bonheur personnel. J'avais rencontré chez des amis, une jeune fille de 23 ans, Manette. Dans une ville où les bombes éclataient au coin des rues, sa gaieté était une manière d'affronter le destin et de pratiquer le courage. Il s'agissait d'un choix et non d'une insouciance. Devant elle, je sentais renaître une certaine confiance.

Elle a su respecter mes sanctuaires. Je craignais de lui infliger des épreuves et elles n'ont pas manqué. Avec les années, son allant ne s'est jamais démenti.

Mon oui au général Challe était la dernière pièce d'une sorte de puzzle fait d'engagements. Un homme doit toujours garder en lui la capacité de s'opposer et de résister. Trop d'hommes agissent selon la direction du vent. J'aime la phrase de maître Eckhart : « Ce ne sont pas nos gestes qui nous sanctifient, mais c'est nous qui sanctifions nos gestes. » C'est là notre seule liberté.

De Montesquieu, cette phrase que je fais mienne : « Tout citoyen est obligé de mourir pour sa patrie, personne n'est obligé de mentir pour elle. »

Dans la tempête, il est plus facile d'être seul. Quand on y entraîne les siens, les choses deviennent obscures.

J'étais devenu un détenu criminel. Qui voulait rester mon ami ? J’ai rayé de nombreux noms, ceux d'hommes en qui j’avais confiance et qui oubliaient m'avoir connu. J'en ai ajouté quelques-uns, ceux des amis nouveaux qui se faisaient connaître et acceptaient ma nouvelle condition.

Le combat était fait d'une multitude d’actes souvent infimes. J'ai réalisé alors qu'il n'y a pas d’actes neutres dans une vie. Même les plus minces ont un poids. Il existe des actes de bassesse et des actes d'altitude. Rien n'est jamais acquis, jamais. La persévérance est une forme très haute de courage."

En sortant de prison : "Avec un travail et des amis, je repris peu à peu pied dans la vie des autres hommes. Mes quatre filles, par leur joie de vivre, leur désir d'apprendre, d'aimer et de rire ont su me redonner le goût des plaisirs simples, la saveur des rencontres et l'éblouissement devant la beauté du monde. D'une certaine manière, elles m'ont donné la vie à leur tour. Je voulais leur offrir une image heureuse de leur père.

Pour certaines émotions, il n'y a ni passé ni avenir, mais une sorte d'éternité.

Lorsqu'un ami mourait à nos côtés, nous pensions que la vie s'arrêtait net, comme un moteur d'avion qui cale en plein vol ou une plante que l'on arrache à la terre. En fait, une cruche se brisait : des larmes se répandaient sur le sol, dont je sais aujourd'hui qu'elles coulent encore à l'intérieur des enfants.

C'est la dernière responsabilité qui nous incombe : éviter que nos enfants aient un jour les dents gâtées par les raisins verts de l'oubli. Écrire et raconter, inlassablement, non pour juger mais pour expliquer.

Un pays sans histoire ne serait pas un pays sans malheurs, mais sans valeurs.

Les hommes et les femmes dont je parle dans mes conférences sont devenus les gardiens de ma vieillesse. Avec quelques idées qui ont survécu à l'érosion des ans, je les appelle « les sentinelles du soir ». Elles guettent la mort qui finira par sortir de l'ombre. Chaque jour, elles me protègent contre la dispersion et me rappellent l'essentiel.

Je prends la parole pour que soient enfin honorés le déporté inconnu de Langenstein jeté dans une fosse commune, le partisan oublié de Talung qui repose dans l'argile d'une route ou le légionnaire sans nom tombé à Guelma et dont la tombe fut profanée. Je leur prépare une sépulture en forme de livre ouvert.

J'ai toujours essayé de récupérer les débris de mon existence pour faire tenir debout mon être intérieur. Même en prison et réprouvé, j'ai cherché à être heureux.

La liberté intérieure est un idéal à conquérir qui ne dépend pas de la société environnante, mais de soi.

La noblesse du destin humain, c'est aussi l'inquiétude, l'interrogation, les choix douloureux qui ne font ni vainqueur ni vaincu.

Entre plusieurs chemins, je préfère le plus escarpé. L'homme, à condition de le vouloir devient toujours plus grand qu'il n’est.

La soif de paraître est une passion terrible qui détruit l'humanité dans l'homme. Elle est insatiable. Elle assèche la source intérieure. Je préfère ceux qui cherchent à s'élever, ce qui est tout autre chose. Leur chemin intérieur passe par la patience et le dénuement.

Je ne demande qu'à croire aux forces de l’esprit et du bien. Jean GUITTON a dit « Entre l'absurde et le mystère, je choisis le mystère. » Je fais mienne cette devise. Mais je ne peux m'empêcher de douter : si l'absurde avait le dernier mot, ce serait horrible.

Bernanos disait : « Une heure de foi profonde pour 23 heures de doute ». Comment l’absurdité du monde ne pourrait-elle pas provoquer le doute ? En même temps, il y a cette beauté, ce mystère et parfois ces générosités qui sont comme le reflet imparfait de ce qui nous attend après.

J’espère que mon dernier jour sera un jour de foi.

La vieillesse permet peut-être de retrouver de bonheur d'être soi-même. Personne ne peut plus avoir la tentation d'être un autre. Les émotions troubles qui nous ont traversés, comme la préoccupation de paraître, la possession ou l'ambition, s'atténuent à mesure que s'éloignent les usages de la vitalité et de la vanité. C'est alors que beaucoup découvrent – mais il est souvent trop tard – que la merveille est dans l'instant.

À partir d'un certain âge, il suffit de montrer son visage. Les émotions vécues s'impriment dans la chair. C'est un parchemin sur lequel la vie écrit, rature, efface et incise ce qu'elle veut.

Dehors, la liberté se dissout parfois dans l'agitation, la lumière s'étiole. Dedans, il faut consentir un effort de tous les instants pour développer sa vie intérieure.

Je veux ajouter de la vie aux années qui me restent, témoigner de tout ce qui dure, retrouver la vérité de l'enfant que j'ai été. Simplement essayer d'être un homme.

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Membre, 37ans Posté(e)
Virginie31 Membre 823 messages
Baby Forumeur‚ 37ans‚
Posté(e)

La Communauté de l'Anneau de Tolkien avec mon fils

L'Hiver du monde de Ken Follett avec son père ( oui, je suis une lectrice attitrée ! )

Et La jeune fille à la perle de Tracy Chevalier pour moi-même

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Membre, 54ans Posté(e)
Sha'Do Membre 2 240 messages
Baby Forumeur‚ 54ans‚
Posté(e)

Après avoir lu au mois d'août :

Le jeu de l'ange de Carlos Ruiz Zafon

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Je viens d'attaquer Le prince de la brume du même auteur, que j'avoue adorer !

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Membre, ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée, 52ans Posté(e)
Amazones Membre 13 439 messages
52ans‚ ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée,
Posté(e)

Pas vraiment le temps en ce moment mais j'ai pu approfondir le livre de Charles Bukowski "Contes de la Folie Ordinaire"

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Il a beau être cru et le "don d'envenimer les choses pour que ça pète" mais il est de grand talent.

Quelques passages de mon importance et qui portent réflexion ...

"Le Diable, Il est pas mal, mais il fait trop d'erreurs. Dieu, c'est pire."

"A quoi sert le mariage ? A sanctifier la baise, jusqu'à ce qu'elle tombe inévitablement dans l’ennui, jusqu'à ce qu'elle devienne un boulot."

"Les premières brûlures sont les plus cuisantes."

"Je connais la musique ; je ne dirai rien de mal sur Cherry parce que le prochain coup tu te seras remis avec elle et alors tu te rappelleras toutes les saloperies que j'aurai dites."

"La politique est l'art d'enculer les mouches. Le rêve s'est envolé, et quand le rêve s'en va, tout se débine."

"La mort subite ne date pas d'hier. Nous avons juste affiné le procédé."

"Je désire être riche, parce que l'artiste s'assoit toujours sur le perron du riche."

"Les gens sont paumés, coincés, toi tu es libre. Tu es peut-être paumé, tu n'es pas coincé. Tout ce qu'il te faut, c'est que quelqu'un te trouve."

---

Un avis ..... Lien

"Un ivrogne, baiseur, un brin misogyne qui montre toute la crasse de notre monde, toute son hypocrisie et ce, sans manquer d'humour.

J'aimerai vous citer des extraits mais c'est tout le livre qu'il faudrait recopier."

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  • 3 semaines après...
Membre, Maman brioche, 35ans Posté(e)
Melie- Membre 4 255 messages
35ans‚ Maman brioche,
Posté(e)

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Comme tout le monde, Julie a fait beaucoup de trucs stupides. Elle pourrait raconter la fois où elle a enfilé un pull en dévalant des escaliers, celle où elle a tenté de réparer une prise électrique en tenant les fils entre ses dents, ou encore son obsession pour le nouveau voisin qu'elle n'a pourtant jamais vu, obsession qui lui a valu de se coincer la main dans sa boîte aux lettres en espionnant un mystérieux courrier... Mais tout cela n'est rien, absolument rien, à côté des choses insensées qu'elle va tenter pour approcher cet homme dont elle veut désormais percer le secret. Poussée par une inventivité débridée, à la fois intriguée et attirée par cet inconnu à côté duquel elle vit mais dont elle ignore tout, Julie va prendre des risques toujours plus délirants, jusqu'à pouvoir enfin trouver la réponse à cette question qui révèle tellement : pour qui avons-nous fait le truc le plus idiot de notre vie ?

si vous n'avez pas le moral,ce roman hilarant vous soritra de votre déprime

Je l'ai lu cet été, j'ai beaucoup aimé :plus:

Sinon je viens juste de finir ça :

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Et je viens de voir qu'un film est sorti dessus.. peut être à voir parce que j'ai bien aimé le livre. Je voulais m'attaquer à d'autres livres de cet auteur, savez vous s'ils sont dans la même lignée ou intéressants?

et là je vais commencer le dernier Nothomb, mon écrivain fétiche :p

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Invité natd
Invités, Posté(e)
Invité natd
Invité natd Invités 0 message
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Les plus beaux contes zen

de Henri Brunel.

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Membre, Too old to die young, 49ans Posté(e)
Rob Gordon Membre 4 731 messages
49ans‚ Too old to die young,
Posté(e)

Je l'ai lu cet été, j'ai beaucoup aimé :plus:

Sinon je viens juste de finir ça :

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Et je viens de voir qu'un film est sorti dessus.. peut être à voir parce que j'ai bien aimé le livre. Je voulais m'attaquer à d'autres livres de cet auteur, savez vous s'ils sont dans la même lignée ou intéressants?

et là je vais commencer le dernier Nothomb, mon écrivain fétiche :p

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Salut,

Si tu aimes son sens de l'observation sociale et son cynisme, tu le retrouveras dans les Particules élémentaires avec une description de la transformation de l'humanité. Il en a fait d'autres que je trouve très bons mais là il décrit plus le quotidien d'un nombre restreint de personnages.

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Invité Out of Paprika
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Invité Out of Paprika
Invité Out of Paprika Invités 0 message
Posté(e)

En bonne amatrice du thriller bien noir, j'ai dévoré du Karine Giebel cet été. Là je viens de finir Purgatoire des innocents ; faut s'accrocher tant le glauque va crescendo. L'histoire accroche et le livre s'avale plus qu'il ne se lit, mais je mets un bémol sur l'écriture ; phrases courtes et simplistes qui rappellent un peu trop les romans de gare. Mais sinon, prenant.

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Invité Out of Paprika
Invités, Posté(e)
Invité Out of Paprika
Invité Out of Paprika Invités 0 message
Posté(e)

Le film qui ressemble à s'y méprendre au bouquin de Houellebecq, c'est "the Island" ; une superproduction américaine qui dépote, mais en total décalage avec le style du livre.

Sinon j'ai gardé un souvenir mémorable de "Plateforme".

Et la lecture du moment :

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Membre, Too old to die young, 49ans Posté(e)
Rob Gordon Membre 4 731 messages
49ans‚ Too old to die young,
Posté(e)

La Carte et le Territoire était plaisant à lire aussi.

Si vous voulez quelques titres, voici la liste des bouquins préférés de David Bowie.

http://www.openbookt..._how_read_bowie

Je me procurerai ceux que je ne connais pas. Le voir aimer Orwell, Kerouac, Nabokov ou Mishima est encourageant.

Modifié par Rob Gordon
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Membre, 43ans Posté(e)
marylia Membre 44 632 messages
Baby Forumeur‚ 43ans‚
Posté(e)

Dans les bois de Harlan Coben

Paul Copeland est procureur. Il a une fille , Cara, et est reconnu dans son métier. Mais il cache en lui un lourd passé. En effet, plusieurs dizaines d'années auparavant il était surveillant dans une colonie de vacances. Une nuit, entraîné par sa petite amie Lucie, la fille du propriétaire de la colonie, il oublie la surveillance. 4 ados en profitent pour s'échapper, dont la soeur de Paul. Deux d'entre eux seront retrouvés mort dans les bois tandis que le corps de la soeur de Paul et celui d'un de ses amis ne seront jamais retrouvés.

Près de trente ans plus tard, le corps d'un homme est retrouvé. Paul est persuadé qu'il s'agit de Gil Perez, l'un des disparus mais les parents de celui-ci s'obstinent à nier qu'il s'agit de leur fils. Tout en plaidant dans une importante affaire de viol, Paul est contraint de se replonger dans les douloureux souvenirs de cette fameuse nuit. Qu'est-il advenu de sa soeur Camille ? A-t-elle bien été tuée, comme il a été dit à l'époque par "L'Etrangleur de l'été", un serial killer sévissant dans les colonies de vacances ? Dans ce cas où est son corps et quel fut le rôle de Gil Perez ?

Au côté de Lucie, sa petite amie de l'époque Paul va essayer de démêler les fils du passé...Et lever le voile sur certains mystères de sa famille.

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Membre, ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée, 52ans Posté(e)
Amazones Membre 13 439 messages
52ans‚ ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée,
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Un livre que l'on m'a conseillé de feuilleter ..... Personnages et scènes de la littérature du guide des Arts

et aussi ..... Le livre de mes envies de Grégoire Delacourt

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Invité The Black Cat
Invités, Posté(e)
Invité The Black Cat
Invité The Black Cat Invités 0 message
Posté(e)

La Dame du Lac, de Raymond Chandler. wink1.gif

Non, ce n'est pas un livre sur la légende arthurienne ! biggrin.gif

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Membre, Posté(e)
janacek Membre 463 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

@Melie :

Sinon je viens juste de finir ça :

La-possibilite-d-une-ile.jpg

Et je viens de voir qu'un film est sorti dessus.. peut être à voir parce que j'ai bien aimé le livre. Je voulais m'attaquer à d'autres livres de cet auteur, savez vous s'ils sont dans la même lignée ou intéressants?

Surement à voir même, bien qu'il te faudra prendre garde à ne pas (comme souvent) vouloir retrouver coute que coute l'ambiance du livre. Lent, pessimiste (c'est du Houellebecq en même temps hein ) détacher de tout sentimentalisme facile, froid et cynique, mais d'une grande "Houellebecquienne" poésie, des plans magnifiques, un film qui, comme j'ai pu le lire sur les très rare critique positives, pourrai faire penser au genre "nouvelle vague". A voir c'est sur.

Tout les livres de cet écrivain sont "intéressants", mais bien sur, tous n'ont pas même "valeur", le dernier, La carte et le territoire, rompt avec le mépris et le pésimisme habituel de l'auteur pour l'humain, il en serait "presque" humoristique.

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 346 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

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Commencé hier soir, une centaine de pages lues. J'ai lu "le dîner" qui ne m'avait déjà pas déçue, mais celui-ci pour l'instant est bien pire encore. Cynisme, sarcasmes, humour noir, écriture très sympathique en prime : je validerai probablement à la fin du livre mon goût pour Herman Koch et il fera partie des auteurs dont je lirai tous les bouquins :)

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