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gilonimo

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Membre, 52ans Posté(e)
Carlo71 Membre 71 messages
Baby Forumeur‚ 52ans‚
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Salut !

Je lis en ce moment les contes et légendes de Guy de Maupassant (parfois tragique mais c'est assez plaisant)

:o°

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Membre, nyctalope, 39ans Posté(e)
Criterium Membre 2 852 messages
39ans‚ nyctalope,
Posté(e)

Le matin des magiciens, de Pauwels et Bergier. Fourmillant de pistes tantôt délirantes tantôt sérieuses.

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Membre, 31ans Posté(e)
Maboroshi Membre 71 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
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L'Ultime Secret de Bernard Werber. Nous apprend plein de choses tout en nous laissant scotché au roman. De l'humour, de la science, de l'aventure,... Bref, tout ce qu'il faut pour nous rendre accro :o°

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Membre, 45ans Posté(e)
Pitch78 Membre 749 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
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je viens de finir shoes addict de beth harbisson

et je vais attaquer son autre romans

les secrets d'une shoes addict

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Membre, 51ans Posté(e)
Fiphi Membre 913 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)

Je lis "Les Misérables" de V. Hugo. Tout le monde connaît ce roman, sauf que bien peu l'on lu. Une ¿uvre magistrale - une description de l'humain, de ses vices et de ses vertus. Une épopée, celle de Jean Valjean. Des individus qui gravitent autour de lui, qui infléchissent sa destinée.

Le roman se compose de cinq tomes, eux-mêmes divisés en parties, puis en livres. C'est une ¿uvre considérable qui demande beaucoup de temps pour sa lecture. Je n'ai lu que la première partie du tome premier intitulée Fantine (deuxième partie : Cosette). Il me parait nécessaire de vous en faire quelques évocations, avant de poursuivre. Je vous délivre quelques pistes de lecture, et non un résumé précis.

Un roman d'un autre siècle ? Non je ne le crois pas ! Rien n'est plus actuel que la misère sociale, la misère morale, la misère humaine, tout simplement. L'homme est, et restera. Le progrès n'y fera rien. (malgré le respect dû à Auguste Comte). Sa conscience est invariablement partagée entre la bienveillance et la perversité, à des degrés divers, certes. Un seul espoir, une seule issue, son éducation : C'est en cherchant à instruire les hommes, que l'on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l'amour de tous (Montesquieu). Quoique, lorsqu'elle n'est pas détournée au service des plus viles actions. C'est un livre de chevet, pour les décideurs de ce monde ; leur rappeler combien l'humain est fragile, flexible, capable de connaître sa propre nature lorsqu'on lui montre, et d'en perdre jusqu'au sentiment lorsqu'on la lui dérobe (Montesquieu).

Fantine - Il s'agit bien évidemment de la maman de Cosette. Elle est abandonnée par le père de l'enfant, Tholomyes, aristocrate, qui la quitte, rappelé par ses parents. Il se fait un devoir de rentrer dans l'ordre, "au grand trot", puisqu'il importe à la patrie, qu'il soit comme tout le monde, préfet, conseiller d'état ... Il se sacrifie, le bougre. Et Fantine, dans tout cela. Il la laisse, sur le carreau, lui expédie un courrier, qu'il rédige avec des amis, concluant : "Pendant près de deux ans nous vous avons rendues heureuses. Ne nous en gardez pas rancune". La pauvrette, seule, sans un sou, confie son enfant aux Thénardier, cupides, fourbes. Ils lui réclament de l'argent pour élever l'enfant ; elle se mutile et se prostitue pour leur adresser ce qu'ils en demandent, argent finalement détournés. Elle ne le saura pas ; croyant, jusqu'à sa mort, avoir fait le bien de sa fille, tout en se faisant le mal. Miséricorde !

Monseigneur Myriel, dit Bienvenue, homme d'église, bon et juste, désintéressé. Un homme trop rare. Il ne suffit pas que l'homme soit ecclésiastique pour être bon, mais il se trouve qu'il l'est. Homme respecté et courageux. Il est la providence même, la probité divine, non celle de la loi dont on verra qu'elle peut présenter une face ténébreuse (Javert).

Myriel brisera la haine contenue dans l'esprit de Valjean.

Ils se rencontrent à Digne. Valjean sort du bagne. Enfin, dirons-nous. Dix neuf ans à l'ombre, pour un vol de pain qui n'en valait au moment de la condamnation que trois. Le pain volé était pour ses neveux. L'état de nécessité ? Au XIXème, point de cette sorte d'indulgence. La peine fut alourdie par diverses tentatives d'évasion. Lorsqu'on est emprisonné, on aspire, avant son terme, à la liberté. Au début de ce XIX ème, Alexis De Tocqueville n'est pas encore revenu des Amériques (De la Démocratie en Amérique). Les questions sur la détention, les aménagements de peine, le rachat, l'amendement, ne se posent pas. D'où certainement ces évasions, et l'endurcissement de Valjean dans sa haine à l'égard de la société.

"Jean Valjean était entré au bagne sanglotant et frémissant ; il en sortit impassible. Il y était entré désespéré ; il en sortit sombre. Que s'était t-il passé dans cette âme ?"

Recueilli par le prêtre, après avoir été rejeté par les aubergistes, malgré avoir été nourri et logé, il lui vole de l'argenterie. Il est si difficile de se débarrasser de cette haine, de cette violence, si bien apprise durant toutes ces années de détention. Attrapé par des gendarmes, Monseigneur défend le prévenu et lui fit faire une promesse :

"L'évêque s'approcha de lui, et lui dit à voix basse :

- N'oubliez pas, n'oubliez jamais que vous m'avez promis d'employer cet argent à devenir honnête homme.

Jean Valjean, qui n'avait aucun souvenir d'avoir rien promis, resta interdit. L'évêque avait appuyé sur ces paroles en les prononçant. Il reprit avec solennité :

- Jean Valjean, mon frère, vous n'appartenez plus au mal, mais au bien. C'est votre âme que je vous achète ; je la retire aux pensées noires et à l'esprit de perdition, et je la donne à Dieu. »

L'évêque lui donnait aussi deux chandeliers.

Mais la Fatalité reparaît, toujours à l'affût ; elle s'en prend irrésistiblement toujours d'abord aux âmes faibles. Il y eût donc ce vol « malencontreux » d'une pièce d'argent au petit Gervais. Ce dernier l'avait échappé et Valjean y posait le pied sans s'en apercevoir. Au regard de la loi, il s'agit d'un vol, en état de récidive. Valjean était armé, il s'agit donc d'un vol à main armé. Il encourt la perpétuité. Lorsque Valjean s'aperçut de sa méprise, non intentionnelle, Gervais s'était enfui. Seul, comment Valjean pourrait-il justifier qu'il n'avait aucune intention de commettre ce crime.

Jean Valjean, après sa rencontre avec Myriel, accablé par l'épisode du petit Gervais, au prix d'une lutte morale acharnée, entre le bien et le mal, devint Monsieur Madeleine à Montreuil sur Mer. Il allait s'employer à faire le bien autour de lui. Devenu Monsieur le Maire, le pouvoir qu'il avait à présent entre ses mains se mettait au service du genre humain.

Je ne peux clore mon propos sans évoquer l'existence de Javert, le policier, qui se pose ici comme l'interprète stricte de la loi pénale. Il est superbe dans la mission qui est la sienne, aussi sévère pour lui-même que pour autrui. Il veut remettre sa démission à Monsieur Madeleine lorsqu'il croit s'être trompé sur son identité. Il traque Valjean, le bagnard récidiviste. Il est ignorant car les circonstances, les causes du mal, il les ignore. Il ne croit pas en la réhabilitation, malgré les preuves qui sont devant ses yeux. Il devient même répugnant, arrogant et glorieux, lorsqu'il vient arrêter M. Madeleine ¿ Valjean.

La première partie se termine sur la fuite de Valjean, échappant à Javert. M. Madeleine se dénonça comme étant le bagnard recherché, pour sauver un homme qui était injustement pris pour lui (Champmathieu). Il eut à choisir entre sa liberté, au prix de la condamnation d'une autre âme, et endosser la responsabilité qui était la sienne. Il choisit la deuxième solution, celle de la sincérité.

On pourrait reprocher à Victor Hugo d'appuyer les traits de ses personnages, le drame, sans sursis. Mais ces derniers sont tous des symboles, des héros ; ils resplendissent en ce qu'ils incarnent. La société, elle-même, éclate dans l'exposé de ses plus graves travers. Enfin, Criterium lançait récemment un vibrant plaidoyer en faveur de la prose. Ce roman est une prose ; preuve que l'on peut être poétique sans les contraintes de la versification. A lire.

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Membre, nyctalope, 39ans Posté(e)
Criterium Membre 2 852 messages
39ans‚ nyctalope,
Posté(e)

éa fait plaisir de voir des avis détaillés fleurir sur ce topic, merci à toi, Fiphi. :o°

Pour ma part, je parcours d'un ¿il distrait mais curieux The Book of the Damned de Charles Fort ; l'¿uvre est citée par Pauwels et Bergier, la traduction française est apparemment épuisée mais le texte est libre de droit et disponible sur Internet (ici). Ce qui est assez intriguant, c'est que malgré son ton humoristique et caustique ¿ Charles Fort est le premier à dire qu'il écrit n'importe quoi, pour rigoler ¿ les documentations sont sérieuses (en particulier sur les pluies étranges, cf. vieux articles de Nature, retrouvables). Alors je rêve un peu, comme devait le faire, en le découvrant, Lovecraft (la lecture de Charles Fort lui ayant laissé une impression très forte ¿ ça, plus Hodgson dans le registre de la fiction, cette fois aqueuse).

Je guette une édition bilingue des Vers d'or de Pythagore. (qui ne sont pas de Pythagore)

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Membre, Posté(e)
Rousskaia Membre 1 046 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

En ce moment, je lis La maison de Claudine de Colette. Ainsi qu'un bouquin sur les finances publiques françaises (pas-sion-nant :o°).

Sinon, cet été, je compte m'attaquer à quelques écrivains en particulier (Jean Cocteau, Simone de Beauvoir, Albert Cohen, Raymond Queneau, Samuel Beckett, John Steinbeck et Charles Bukowski, notamment), donc si l'un d'entre vous a des oeuvres à me conseiller parmi ces écrivains, je suis preneuse ! :D

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Membre, 47ans Posté(e)
AIE Caramba Membre 109 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)
Sinon, cet été, je compte m'attaquer à quelques écrivains en particulier (Jean Cocteau, Simone de Beauvoir, Albert Cohen, Raymond Queneau, Samuel Beckett, John Steinbeck et Charles Bukowski, notamment), donc si l'un d'entre vous a des oeuvres à me conseiller parmi ces écrivains, je suis preneuse ! :o°
Oh merde Albert Cohen... Je l'avais oublié... Le temps, la vie, on oublie... mais j'avais lu un livre de lui, je ne sais plus le titre c'était ... bouleversant. Très beau.
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Invité Thyia
Invités, Posté(e)
Invité Thyia
Invité Thyia Invités 0 message
Posté(e)

Dévoré en deux jours pourtant intenses :

Concerto à la mémoire d'un ange d'Eric-Emmanuel Schmitt

Des pages de pur bonheur trop courtes à mon goût !

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Membre, nyctalope, 39ans Posté(e)
Criterium Membre 2 852 messages
39ans‚ nyctalope,
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Des choses et d'autres. :o°

Mon Faust de Paul Valéry ; beaucoup de traits d'esprits assez magnifiques, mais ça n'est pas pour autant transcendant ¿ alors que l'on soupçonne que l'auteur voulût que ce le soit.

Des poèmes. Des fables. ésope, Aloysius Bertrand.

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Invité Rhadamanthe
Invités, Posté(e)
Invité Rhadamanthe
Invité Rhadamanthe Invités 0 message
Posté(e)

Mmmh, moi je suis dans un cycle de livres assez denses, j'ai besoin de m'aérer la tête. Je pense que ce sera Mythologies et imaginaire du monde Chinois de Catherine Bourzat. Ou peut être la Mythologie égyptienne de Guilhou et Peyré. Je déciderai dans la journée.

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Invité Karbomine
Invités, Posté(e)
Invité Karbomine
Invité Karbomine Invités 0 message
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Je lis une anthologie de poésie arabe datant pour nous de l'époque médiévale, Le Dîwân de la poésie, NRF. Je me régale de ces formes courtes et sans fioritures. Les noms des auteurs sont à rallonge et impossibles de les retenir, je le crains, mais il y en a plus d'un que j'aimerais connaître mieux. Il y a vraiment des pépites, l'ensemble rend une impression de grande harmonien de silence tremblant deci-delà au gré des thèmes abordés. J'ai par exemple trouvé ce poème, dont les deux derniers vers me semblent tout simplement géniaux :

Tu te montres dédaigneux car tu es bien repu.

Mon visage blême porte les marques de la vérité

Que la vérité est épuisante !

Avec mes compères je partage la même assiette

Tandis que tu te repais en solitaire.

Je donne mon corps en le multipliant

Et je savoure l'eau fraîche. Qu'elle est pure, cette eau !

'Urwa ibn al-Ward al-'Absî

Ou cet autre, distique magique :

Dans mon éloignement, avec l'eau pure

Je voudrais vous écrire si avec elle on pouvait écrire.

Aws ibn Hijr

Ces mots résonnennt très fortement en moi, et je regrette du coup de ne pas parler arabe pour savourer l'original avec toutes les nuances et les sonorités...

Je me permets de faire de la pub, c'est vraiment trop bon.

9782070358373FS.gif

Accessoirement, j'ai aussi attrapé une autre anthologie, chez NRF aussi, Chansons françaises de la Renaissance, que je lis en dilettante. Le classement de cette anthologie est plus pratique que celui de la précédente, c'est très agréable.

Quand contremont verras retourner la Loire

Et ses poissons en l'air prendre pâture,

Les corbeaux blancs laissant noire vêture :

Alors de toi n'aurai plus de mémoire.

Anonyme, 1549.

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Invité Thyia
Invités, Posté(e)
Invité Thyia
Invité Thyia Invités 0 message
Posté(e)

Les yeux jaunes des crocodiles, de Katherine Pancol

Franchement sympa :o°

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Membre, 37ans Posté(e)
Satisher Membre 32 messages
Baby Forumeur‚ 37ans‚
Posté(e)

Je lis actuellement tous les romans de Arto Paasilinna, un auteur finlandais au style fluide, agréable, et à l'humour noir particulier. J'apprécie particulièrement l'ambiance à part, et ces personnages atypiques qui sont toujours exclus du groupe ou persécutés d'une manière ou d'une autre. J'aime beaucoup la conception un peu idyllique du bonheur et de la vie qu'il a, et ces récits de petites communautés qui évoluent dans leur coin, à l'écart de notre monde agité.

Ses livres me donnent envie d'aller me saouler dans un sauna en Finlande, tiens. :o°

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Membre, 40ans Posté(e)
razihel Membre 597 messages
Baby Forumeur‚ 40ans‚
Posté(e)

jessaie de lire docteur jivago j'en avait souvent entendue parler sans jamais l'avoir lu alors voila

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Membre, 42ans Posté(e)
Lo. Membre 47 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Après ma période pop-corn (Higgins Clarke... :o° ) pour me vider la tête, je viens de commencer Les raisins de la colère de Steinbeck. J'avais beaucoup aimé A l'est d'Eden. Et puis c'est un livre épais écrit tout petit, mes préférés :D

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Membre, 51ans Posté(e)
Fiphi Membre 913 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)

Je viens de terminer Tristan et Yseult, par René Louis.

J'ai quelques autres livres à mon chevet :

Je lis actuellement Néfertiti et Akhénaton (Aménhotep IV) de Christian Jacq - Culte d'Aton, qui s'impose par la volonté du pharaon, sur celui d'Amon (dieu thébain)- Création de la cité Akhétaton (Site El Amarna) - Nouvel empire - XVIII ème dynastie.

J'ai à lire Max gallo - Les Romain - Constantin Le Grand - L'Empire du Christ.

Enfin, un agrégé d'histoire, en une circonstance très particulière, vient de m'offrir "Le choix de Sophie" de William Styron.

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Membre, nyctalope, 39ans Posté(e)
Criterium Membre 2 852 messages
39ans‚ nyctalope,
Posté(e)
Je lis actuellement tous les romans de Arto Paasilinna, un auteur finlandais au style fluide, agréable, et à l'humour noir particulier. J'apprécie particulièrement l'ambiance à part, et ces personnages atypiques qui sont toujours exclus du groupe ou persécutés d'une manière ou d'une autre. J'aime beaucoup la conception un peu idyllique du bonheur et de la vie qu'il a, et ces récits de petites communautés qui évoluent dans leur coin, à l'écart de notre monde agité.

Ses livres me donnent envie d'aller me saouler dans un sauna en Finlande, tiens. :o°

Owi! :D

Ses récits sont toujours très frais, plaisants à lire, fluide, j'aime beaucoup moi aussi. é conseiller à tout le monde ; ce sont de petits livres qui redonnent le sourire ¿ enfin, ils font partie, pour moi, des rares livres ayant cet effet. En français, le style paraît assez simple, mais j'ai eu l'occasion d'en lire en finnois ; c'est étonnant comme l'étape de traduction peut modifier le style (là au niveau de la forme pure) d'un auteur. éa me donne envie de m'y replonger! Sera-ce Prisonniers du paradis ou la Cavale du Géomètre?

:D

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