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j'attaque le Trône de fer (j'ai de quoi lire cet été)

Les dieux voyagent toujours incognito par Laurent Gounelle...

" Imaginez : vous êtes au bord du précipice. A l'instant fatidique, un homme vous sauve la vie. En échange : votre engagement à faire tout ce qu'il vous demandera. Vous acceptez et vous voilà embarqué dans un incroyable voyage où tout semble vous échapper...

Plus qu'un roman, une réflexion sur soi-même qui nous invite à prendre notre destin en main. " Erik Pigani

Des poèmes de Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Appolinaire, Maïakovski et Pouchkine, Lettres à un jeune poète de Rilke, Alice au pays des merveilles (en V.O. bien sur) et puis aussi un livre sur l'histoire de l'art.

Harlan COBEN "Ne t'éloigne pas" livre de suspens (c'est une avant première)

autrement le prochain "le Trône de fer"

:smile2: sans compter que j'ai le tome XII de l'épée de vérité a acheté

Je lis par mini bout;.. mais bon en ce moment c'est celui là :

Harlan COBEN "Ne t'éloigne pas" livre de suspens (c'est une avant première)

autrement le prochain "le Trône de fer"

:smile2: sans compter que j'ai le tome XII de l'épée de vérité a acheté

c'est amusant, avant d'attaquer le trone de fer j'ai lu un harlan coben "faute de preuves"

Ca se lit vite :)

L'argent ou le bonheur - Montecchio

Des poèmes de Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Appolinaire, Maïakovski et Pouchkine, Lettres à un jeune poète de Rilke, Alice au pays des merveilles (en V.O. bien sur) et puis aussi un livre sur l'histoire de l'art.

bien.

Je conseille "les lupins sauvages" de Charlotte link, une allemande, le destin de plusieurs personnages pendant la 2e guerre mondiale.

Le Cabaret des oubliés, de Delepierre & Vouters.

Le cahier bleu

JAMES A. LEVINE

Journal d'un corps, de Daniel Pennac

L'Ecume des jours, Boris Vian

L'Ecume des jours : ce titre léger et lumineux annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains...

Journal d'un corps, de Daniel Pennac

Coucou,

Justement ce livre m'intéresserait, mais j'ai pas osé l'acheter, car j'ai eu peur de retrouver des passages sur la déchéance physique. Pourrais-tu m'en dire plus ? Merci

En effet, ça en parle (je viens de le finir ce matin), mais je n'ai pas trouvé cela pénible à lire. Le narrateur constate, analyse, finit par accepter cet état de fait et cette évolution tout en le décrivant.

Après, ça dépend sans doute de la sensibilité de chacun je suppose. Si tu doutes, je te conseille plutôt de l'emprunter à la bibliothèque.

Et si tu connais Pennac, tu connais son écriture, qui, même dans les moments les plus tristes ou durs, arrive à tout faire passer (bon, autant te le dire, je suis fan donc probablement pas très objective).

Et hum, si je peux me permettre de faire mon auto-promotion, j'en ai déjà fait un article sur mon blog (l'adresse est le deuxième lien dans ma signature)

L'Ecume des jours, Boris Vian

L'Ecume des jours : ce titre léger et lumineux annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains...

(source : Decitre)

Ah, l'Ecume des jours, un de mes livres préférés ! Bonne lecture !

En effet, ça en parle (je viens de le finir ce matin), mais je n'ai pas trouvé cela pénible à lire. Le narrateur constate, analyse, finit par accepter cet état de fait et cette évolution tout en le décrivant.

Après, ça dépend sans doute de la sensibilité de chacun je suppose. Si tu doutes, je te conseille plutôt de l'emprunter à la bibliothèque.

Et si tu connais Pennac, tu connais son écriture, qui, même dans les moments les plus tristes ou durs, arrive à tout faire passer (bon, autant te le dire, je suis fan donc probablement pas très objective).

Et hum, si je peux me permettre de faire mon auto-promotion, j'en ai déjà fait un article sur mon blog (l'adresse est le deuxième lien dans ma signature)

L'Ecume des jours, Boris Vian

L'Ecume des jours : ce titre léger et lumineux annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains...

(source : Decitre)

Ah, l'Ecume des jours, un de mes livres préférés ! Bonne lecture !

Merci pour réponse. Hélas j'ai qu'un bibliobus dans mon quartier, il y a quatre misérables bouquins en prêt. J'essayerais de la prendre si il sort en poche.

Quel dommage en effet d'avoir si peu à emprunter... Je t'avouerais que pour moi qui adore lire, une bibliothèque est une vraie caverne d'Ali Baba !

Oui, et puis ça revient très cher à la longue... :(

Le lièvre de Vatanen, de Arto Paasilinna