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Vers le "tout légal"


kamisa

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Membre, Posté(e)
johndoe Membre 1 690 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
bien sur certaines sont plus dangereuses, mais le terme de drogue douce les fait passer pour toutes inoffensives!

Les patchs de nicotine, ils ne provoquent pas ou peu de cancers mais sont quand même une drogue.

Si on colle au gens un patch d'héroine ou de cocaine, ça va les conduire à un état de déchéance, énormément plus que les patchs de nicotine.

D'après toi on peut donc qualifier les patchs de nicotine de drogue douce, et les cigarette de drogue dure ?

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 108ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
108ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)
à vrai dire, la plupart des drogues n'entrainent que des dépendances psycologiques

seules l'héroine entraine une dépendance physique

j'ai jamais dit le contraire grenouille verte, seulement il y a une différence entre dépendance psycologique et dépendance physique

Je parlais de dépendance physique.

Il y en a pour l'alcool et le tabac.

La plupart des drogues entrainent des dépendances physiques, et l'héroïnes est très lmoin d'être la seule drogue engendrant une telle dépandence.

Sur la dépendance physique liée au tabac : http://www.drogues.gouv.fr/article3062.html

Tabac et dépendance

La dépendance physique au tabac est confirmée chez la plupart des fumeurs, la dépendance psychique tenant par ailleurs une place importante dans leur vie.

Au sujet de la dépendance physique à l'alcool : http://www.drogues.gouv.fr/article3059.html

La dépendance physique

Certains produits entraînent une dépendance physique : l'organisme réclame le produit à travers des symptômes physiques qui traduisent un état de manque

La privation de certains produits tels que les opiacés, le tabac, l'alcool et certains médicaments psychoactifs engendre des malaises physiques qui varient selon le produit : douleurs avec les opiacés, tremblements majeurs avec l'alcool, convulsions avec les barbituriques et les benzodiazépines. Ces symptômes peuvent être accompagnés de troubles du comportement (anxiété, irascibilité, angoisse, agitation...).

Lorsqu'une personne arrête de manière brutale ou progressive la prise d'une substance psychoactive, on parle de sevrage. Pour libérer l'organisme du besoin de la substance sans les effets physiques du manque, les personnes pharmacodépendantes peuvent trouver une aide médicale et psychologique. Il leur est proposé un traitement approprié qui peut prendre la forme d'un sevrage sous contrôle médical ou d'un traitement de substitution. Le suivi et l'accompagnement psychologique apportent une aide précieuse pour surmonter les difficultés du sevrage. Généralement, ce soutien favorise et renforce les résultats attendus.

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