Des frais illégaux dans les universités

L'UNEF a transmis à la minsitre Valérie Pécresse une liste de 29 universités qui réclameraient des frais d'inscription supérieurs au montant défini par le ministère. La ministre a pris acte et a promis de tenir compte des plaintes du syndicat étudiant en examinant chaque cas répertorié. Les universités se défendent en expliquant que ces frais ne sont pas illégaux car facultatifs.

http://www.lexpress.fr/actualites/2/pecres...aux_775678.html

A nos chers étudiants, avez-vous remarqué dans vos universités de telles pratiques ?

mais lol. Le gouvernement viens de nous pourrir nos université en faisant en sorte que les frais d'inscription explosent dans les prochaines années.

Et après ils veulent nous faire croire qu'ils se soucient qu'on paye 10¿ de +...

Pour une femme, Pecresse ne cessera jamais de nous enc****

L'UNEF a transmis à la minsitre Valérie Pécresse une liste de 29 universités qui réclameraient des frais d'inscription supérieurs au montant défini par le ministère. La ministre a pris acte et a promis de tenir compte des plaintes du syndicat étudiant en examinant chaque cas répertorié. Les universités se défendent en expliquant que ces frais ne sont pas illégaux car facultatifs.

http://www.lexpress.fr/actualites/2/pecres...aux_775678.html

A nos chers étudiants, avez-vous remarqué dans vos universités de telles pratiques ?

Quand ces frais « facultatifs » sont exigés non pas pour des prestations autres, mais bien pour accéder à des éléments de l'enseignement, ils sont illégaux.

Pour autant, Pécresse ne fera rien. En effet, la droite est favorable à l'augmentation du coût réel (quelqu'en soit le moyen) de l'inscription dans les universités.

Le rouleau compresseur du modèle du "tout payant" est bel et bien en route : franchises médicales, retraites complémentaires, frais d'enseignements facultatifs mais obligatoires, etc...yahou silver en avantttttttttttttttttt!!

Mais si vous êtes étudiants, avez-vous observé ce genre de pratiques car il semble que cela ne concerne qu'un tiers (et c'est déjà beaucoup) des universités françaises.