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On nous empoisonne de plus en plus...


TanKipass

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TanKipass Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

On nous empoisonne de plus en plus en pendant ce temps là on nous fait croire qu'on sauve le monde en réduisant les pets de moutons... voici un message du président des apiculteurs professionnels de bretagne:post-102323-1244642018_thumb.jpg

Syndicat des Apiculteurs Professionnels de Bretagne (S. A. P. B.) L'abeille disparaît à cause des pesticides, il est malhonnête de le contester ¿

Et la situation continue à se dégrader¿

José Nadan :

Le Grenelle de l'environnement a viré au Grenelle de l'empoisonnement :

L'industrie agrochimique remplace les anciennes molécules moins

rentables par de nouvelles bien plus lucratives et d'une toxicité encore

jamais vue.

On ne mesure plus le toxique en mg/l, ou en ppm, mais maintenant en ppb

(partie par milliard).

Exemple du Cruiser récemment autorisé: la fine pellicule d'enrobage

d'un grain de maïs contient 0,63mg de thiaméthoxam (source Syngenta),

ouvrez un ce ces sacs de semences Cruiser, prenez un grain de maïs, un

seul, balancez le dans une cuve de 5000 litres d'eau, vous atteignez une

contamination de 0,126 microgramme/litre, soit au dessus de la norme

européenne de 0,1 microgramme/litre pour l'eau potable. Le thiaméthoxam

est hypersoluble dans l'eau (jusqu'à 5gr/litre d'eau).

Semé à 100 000 grains/hectare, le potentiel de contamination d'un ha de

maïs Cruiser correspond donc à la contamination potentielle d'un

demi-milliard de litres d'eau à 0,126 microgrammes/litres. Une partie de

ce thiaméthoxam arrivera inéluctablement à votre robinet. Une partie

aussi, c'est l'objectif, se diffusera dans la sève de la plante, et

cette fois ce sont nos petites abeilles et tous les insectes

pollinisateurs qui resteront sur le champ. Et quel impact d'un tel

poison sur les vers de terre et toute la flore microbienne du sol ?

Les firmes chimiques connaissent l'extrême toxicité de la molécule

ainsi que sa rémanence : « une utilisation seulement tous les 3 ans », «

pas de plante attractive pour les abeilles dans la rotation des cultures

» (et le maïs ? ) , « installer des déflecteurs sur les semoirs pour que

les poussières ne s'envolent pas », « remplissez le semoir à plus de 10m

du bord du champ », « semer par vent faible », « portez des équipements

qui protègent les yeux, la bouche et le nez, notamment un masque, des

gants, une combinaison à capuche¿ »¿

Seraient-ce « les graines de la mort » pour exiger de l'agriculteur

tant de précautions ?

Vous pouvez consulter toutes les précautions d'emplois à l'intention de

l'agriculteur ¿ à vous donner froid dans le dos¿ (1)

Veulent-ils exterminer les apiculteurs, ces témoins gênants ? Les

abeilles disparaissent en quantité depuis une dizaine d'années, ce qui

correspond à l'arrivée des néonicotinoïdes dont le fameux Gaucho que

tout le monde croit interdit mais dont la molécule, l'imidaclopride, est

de plus en plus présente dans les sols français. Elle est toujours

utilisée pour les céréales, pour la betterave à sucre, pour des

fruitiers¿ sous une vingtaine de marques commerciales, liste que vous

pouvez trouver sur le site du Ministère de l'agriculture (2).

.

Elle est présente partout. Une étude en 2002-2003 relevait que 60 à 70%

des pollens de végétation spontanée contenaient de l'imidaclopride à des

doses suffisantes pour constituer une toxicité chronique.

La plupart des apiculteurs sont convaincus de ces faits mais ce n'est

pas facile pour eux de le prouver : les abeilles ne revenant pas à la

ruche, il est difficile de les faire analyser. On assiste de plus en

plus à une dépopulation des ruches tout au long de la saison, avec

beaucoup de problèmes de fertilité (beaucoup de ruches bourdonneuses¿).

Et que sait-on aujourd'hui des effets synergiques de plusieurs molécules

? On retrouve un tel cocktail dans la nature, même dans l'eau de pluie!

Voir étude 1999-2002(3).

Une récente étude en Italie a prouvé l'extrême toxicité des exsudats de

maïs traités aux néonicotinoïdes, de l'ordre de 1000 fois la dose fatale

à l'abeille. (4)

La plupart des apiculteurs sont éc¿urés du refrain de l'AFSSA: « les

mortalités d'abeilles sont dues à des causes multifactorielles ».

L'apiculteur était-il plus compétent autrefois ? Il y a moins de 20 ans,

des « papis » produisaient du miel en se contentant de soulever le toit

de la ruche 2 fois par an, une fois pour poser la hausse, une fois pour

l'enlever. Leur principal souci était d'avoir des ruches vides pour

installer les essaims naturels qui se présentaient. Aujourd'hui malgré

les élevages de reines et les nombreux essaims que nous faisons sans

cesse, nous avons en permanence des palettes de ruches vides.

L'évolution est dramatique depuis quelques années. D'ailleurs les

chiffres officiels l'annoncent : moins 15 000 apiculteurs amateurs au

niveau national entre 1994 et 2004 (source audit GEM) et depuis le

déclin s'est accéléré¿

Les maladies, parasites ou champignons divers existaient avant, ils ne

sont pas la cause première de nos soucis mais plutôt la conséquence de

l'affaiblissement par les pesticides. Méfiez-vous de la désinformation

perpétuelle pratiquée par le lobby agrochimique dans les médias, sur

Internet avec ses liens sponsorisés. Quand vous tapez « abeilles,

environnement¿» vous avez
financé par BASF et

les grands semenciers, vous y trouvez tout sur les menaces pesant sur

l'abeille mais bien sûr un dédouanement des pesticides (5).

Nous avons face à nous la puissance de l'industrie chimique. Des «

journalistes agricoles » tel Gil Rivière-Wekstein leurs sont totalement

dévoués (6)... Ils réussissent même à établir une « collaboration » avec

des collègues apiculteurs tel Philippe Lecompte, apiculteur, bio de

surcroît. Doit-on encore considérer ceux-ci comme « apiculteurs » ou

d'abord comme « consultants » pour ces firmes chimiques ?

L'UIPP « l'Union des Industries de la Protection des Plantes » (7),

organisme de propagande des pesticides siège à l'AFSSA, ainsi l'on

comprend mieux pourquoi l'AFSSA peine tant à accuser les pesticides¿. Sa

présence est-elle compatible avec un fonctionnement indépendant ? (8)

Hier, je suis resté très perplexe à la lecture de la dernière fiche «

Avertissements agricoles » sur l'utilisation du Cruiser, émise par le

SRPV (Service Régional de la Protection des Végétaux): juste les

précautions d'emploi minimums concernant l'aspect technique¿absolument

rien sur la forte toxicité du produit, même pas pour l'agriculteur¿

aucune consigne pour demander de restreindre ce traitement des plus

polluant aux parcelles à risque avéré.

Récemment en Bretagne (et ailleurs sans doute) une grosse propagande a

eu lieu pour inciter les agriculteurs à commander des semences traitées

Cruiser, propagande de l'industrie chimique très bien relayée par

certains revendeurs. Ils parviennent à convaincre nombre d'agriculteurs

de jouer la sécurité, on met de la semence traitée même ou il y a très

peu de risque de taupins, pour ça il y a même des promotions¿

Pourtant un technicien agricole expérimenté, libre et indépendant, vous

dira que de nombreux agriculteurs conventionnels ne connaissent pas de

dégâts sérieux dus aux taupins. Il vous dira que les risques

déclenchants sont bien connus : dégradation des matières organiques en

anaérobie, PH insuffisant, déséquilibre des sols¿ Il est aussi évident

que ces agriculteurs savent depuis longtemps incorporer les matières

organiques au sol bien avant le semis¿

Soyons tous bien conscients que ce ne sont pas les 1 à 2% de parcelles

à risque qui sont visées par Syngenta mais bien toutes les surfaces de

maïs. Dans leurs documents publicitaires, avec des arguments partisans

et mensongers, ils promettent des rendements meilleurs dans toutes les

situations. La lutte contre le taupin n'est qu'un prétexte et une porte

d'entrée pour convaincre les agriculteurs d'acheter leur poison. Le

matraquage systématique par la diffusion de bulletins "Alerte taupins"

auprès de techniciens agricoles et dans les journaux agricoles a préparé

le terrain depuis quelques années. Ils avaient annoncé un pullulement de

taupins suite à l'interdiction de certains produits jugés trop toxiques.

Comme ce ne fût pas le cas, il fallait aux firmes chimiques maintenir la

pression, communiquer tous azimuts sur les parcelles touchées, sinon

l'absence de traitements (et de taupins) aurait pu habituer

l'agriculteur à se passer de ces produits que les firmes veulent rendre

indispensables.

Les agriculteurs italiens, eux aussi, ont dû faire face à ces

stratégies commerciales offrant certains hybrides quasi exclusivement en

semence traitée avec insecticides. Les agriculteurs étaient ainsi

contraints d'acheter, bon gré mal gré, de la semence traitée¿

Mais en Italie, suite à des hécatombes d'abeilles, toutes les semences

enrobées insecticides sont aujourd'hui interdites (Gaucho, Cruiser,

Poncho, Régent¿). Auparavant, une expérience pluriannuelle, 2003 ¿ 2006,

menée sur un échantillon représentatif des conditions du maïs dans la

plaine Padane, avait montré que le traitement avec des insecticides

(Gaucho, Cruiser¿) n'avait pas d'incidence significative sur les

rendements et la production du maïs (Université de Padoue).

L'expérimentation avait mis en évidence que les rendements de maïs

obtenus à partir de semences traitées avec fongicides seuls tendent à

être supérieurs à ceux obtenus avec des semences traitées avec

insecticides, alors qu'il n'y avait aucune différence de production

significative entre le maïs provenant de semences traitées avec

insecticides et les non traitées. Cette étude contredit tout ce qui est

annoncé par Syngenta¿ En outre, les semences sans insecticide ont

tendance à germer plus rapidement.

Malgré l'expérience italienne il va falloir à notre tour qu'on subisse

ces hécatombes d'abeilles, qu'on accepte une pollution des sols, de

l'eau, de l'air¿ Tout ça pour les seuls intérêts de Syngenta.

Nos responsables agricoles ne peuvent pas ignorer ces études¿ On peut

donc s'interroger sur le rôle joué par la puissante FNSEA dans cette

désinformation. Ses dirigeants roulent-ils exclusivement pour les firmes

chimiques et les grands semenciers? Que font-ils pour défendre, un tant

soit peu, les vrais intérêts des agriculteurs ?

Cette année, le produit miracle est chez nous, il s'appelle « Cruiser

», et la lutte contre le taupin ¿ ou plus souvent son fantôme - va

battre son plein. Après enquête auprès de coopératives je constate, que

les pourcentages des surfaces de maïs Cruiser ne sont pas liés au risque

taupins mais bien plus en adéquation avec la politique commerciale de la

coopérative, et avec son application sur le terrain par des commerciaux

plus ou moins scrupuleux. Il n'y a aucune logique agronomique¿

Si certaines coopératives n'en ont pas proposé, ou alors très peu,

d'autres telle la Cooperl (producteurs de porcs de Lamballe) atteindront

50% des surfaces¿

L'on constate aussi les mêmes écarts au niveau des commerciaux d'une

même coopérative : certains commerciaux de Coopagri en limitent l'usage

aux parcelles qu'ils jugent à risque tandis que d'autres en sont à plus

de 50%... Soit suffisamment pour qu'on puisse suggérer la

commercialisation prochaine d'un beurre « Paysan breton au Cruiser ».

Sur nos 4 départements le maïs couvrira plus de 400 000 ha. 100 000 ha

avec Cruiser ? Ou plus ? Qui s'en intéresse ? Imaginez pourtant la

quantité de ce poison de thiaméthoxam balancé dans la nature et qui

fatalement nous reviendra à la figure¿ par l'air, par l'eau, par notre

alimentation¿

Quels seront les dégâts pour nos abeilles déjà trop malmenées ?

Qui peut dire quelle part de ce thiaméthoxam aboutira dans nos rivières ?

Quel est l'avis du consommateur et du contribuable ?

Qu'en pense le conseiller régional quand il doit trouver des millions

d'euros pour le programme « Bretagne eau pure »¿ ou lorsqu'il vote

d'importants crédits pour une agriculture plus respectueuse de

l'environnement ?

Tout ceci se fait en usant de formules injustes et malhonnêtes «

L'agriculture durable et raisonnée » dit une publicité Cruiser expédiée

aux agriculteurs (1). Alors que c'est tout l'inverse du raisonné,

puisque l'on pellicule le grain d'insecticide et de fongicide sans

savoir s'il y aura attaque d'insectes ou champignon éventuel. C'est le

summum du traitement systématique et déraisonné.

L'abeille est le témoin malheureux de ces pratiques inconscientes. Quel

éleveur, quelle que soit la production, survivrait économiquement et

psychologiquement à des pertes régulières de son cheptel de l'ordre de

30, 40, et parfois au-delà de 50% ? Des collègues sont désespérés,

va-t-il falloir des drames humains, des drames familiaux pour que

l'administration française arrête de nous traiter avec mépris. Dans tout

rapport officiel sur l'apiculture, une soi-disante incompétence des

apiculteurs prend plus de place que les conséquences de l'usage des

pesticides. Quand j'ai démarré, il y a 25 ans, quasiment sans formation

et sans expérience, la taille de mon cheptel progressait sans

difficulté. Aujourd'hui, malgré les techniques que j'ai acquises, les

moyens plus importants dont je dispose, je me sens aussi désarmé que le

débutant. En cette fin mars, lors de mes premières visites ce printemps,

la situation est toujours aussi préoccupante¿ Consultez en annexe,

l'évolution du cheptel d'un jeune apiculteur installé en Bretagne en

2005 avec 400 colonies (12).

Le récent rapport de Martial Saddier « pour une filière apicole durable

»ne nous donne aucun espoir. La limite des investigations est fixée dans

la lettre de mission du Premier Ministre, Mr Fillon, en une phrase : «

sans préjudice de la nécessaire prise en compte de la protection

sanitaire des cultures », en d'autres termes : « rassurez les

apiculteurs ! Occupez-les ! Mais interdiction au député de mettre en

cause les pesticides ». Ces consignes ont été respectées, vous pouvez le

constater dans le rapport (10).

Face aux défis que nous devons affronter, les moyens d'actions de notre

syndicat sont dérisoires. L'adversaire est puissant mais nous avons pour

nous notre bonne foi et notre conscience, et surtout un fabuleux atout :

l'opinion publique! Car de plus en plus de personnes sont victimes de

ces poisons jusque dans leur chair et ils doivent, en plus, payer les

dépollutions. Nous avons besoin d'être épaulés, nous manquons de moyens

financiers pour communiquer, pour combattre l'hypocrisie des lobbyistes

de l'agrochimie.

L'urgence et l'enjeu sont de taille, ils concernent chacun d'entre nous.

Diffusez , alertez vos élus pour mettre l'agrochimie face à ses

responsabilités!

Le maïs dans nos campagnes bretonnes est une catastrophe pour la planète :

- c'est une plante exigeante en eau, en engrais, en pesticides¿ donc

des plus polluante.

- c'est une plante déséquilibrée pour l'alimentation de nos troupeaux,

obligeant l'agriculteur à compléter les rations alimentaires avec du

soja OGM, produit à l'autre bout de la planète au détriment des forêts

et des cultures vivrières¿ affamant encore un peu plus les populations

démunies (11)

Diffusez , alertez vos élus car le cruiser :

- constitue une grave menace supplémentaire pour nos abeilles

- constitue une grave menace pour l'eau, de nos rivières jusqu'à

notre table.

José Nadan

Apiculteur professionnel depuis 1984,

Président du SAPB

(1) Guide des bonnes pratiques Syngenta, adressé aux agriculteurs, les 4

pages qui suivent, et site

(2) site du Ministère de l'agriculture :

(3) « Produits phytosanitaires dans les eaux de pluie de la Région Nord

¿ Pas-de-Calais »,1999 - 2002 l'étude ne semble plus téléchargeable

(résultats peut être trop inquiétants ?). Nous pouvons vous la

transmettre si vous désirez.

(4)
visionner aussi la petite

vidéo ).

(5)

(6) voir site :

(7)

(8) Lire « Pesticides, révélations sur un scandale français. »

(9) Site de la Cooperl :

(10) rapport Saddier :

(11) Voir le film « Herbe » :

(à voir : Le Titanic Apicole - La Terreur Pesticide )

(12) Ci-dessous, l'évolution du cheptel d'un jeune apiculteur installé

en 2005 avec 400 colonies.

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Membre, Je porte un chat d'or, et alors ?, 16ans Posté(e)
LooSHA Membre 4 598 messages
16ans‚ Je porte un chat d'or, et alors ?,
Posté(e)

Superbe pavé.

Rien sur l'islam ou les maladies rares ?

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Invité L'ancienne
Invités, Posté(e)
Invité L'ancienne
Invité L'ancienne Invités 0 message
Posté(e)
Superbe pavé.

Rien sur l'islam ou les maladies rares ?

;);)

On nous empoisonne de plus en plus en pendant ce temps là on nous fait croire qu'on sauve le monde en réduisant les pets de moutons

En tout cas tu peux compter sur LES MUSULMANS pour réduire le nombre de moutons :smile2:

Bardot si tu passes par là je LouuuuuL!!!

Edit :*Mode sérieuse* oui les abeilles disparaissent de plus en plus mais est-ce vraiment à cause des pesticides? ;)

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Membre, 41ans Posté(e)
flo3183 Membre 2 420 messages
Baby Forumeur‚ 41ans‚
Posté(e)

C'est quoi le lien entre les apiculteurs et les musulmans?

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Invité L'ancienne
Invités, Posté(e)
Invité L'ancienne
Invité L'ancienne Invités 0 message
Posté(e)

Tu peux pas comprendre :smile2:

Donc je sais qu'on parle des abeilles ensuite Flo3183 ...

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Membre, Je porte un chat d'or, et alors ?, 16ans Posté(e)
LooSHA Membre 4 598 messages
16ans‚ Je porte un chat d'or, et alors ?,
Posté(e)
C'est quoi le lien entre les apiculteurs et les musulmans?

Si tu ne le vois pas, je ne peux plus rien pour toi :smile2:

800px-Checking_out_the_bees_-_by_Mats_Hagwall.jpg

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Invité L'ancienne
Invités, Posté(e)
Invité L'ancienne
Invité L'ancienne Invités 0 message
Posté(e)
Si tu ne le vois pas, je ne peux plus rien pour toi ;)

800px-Checking_out_the_bees_-_by_Mats_Hagwall.jpg

:smile2: t'abuzes!!!

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Membre, 55ans Posté(e)
miotolis Membre 273 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Sa fait pensé au nuage de tchernobyl, il c'est arrêté a la frontière, laisse les morts arriver après on ce réveillera.

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Invité filipe59
Invités, Posté(e)
Invité filipe59
Invité filipe59 Invités 0 message
Posté(e)

J'dis rien j'vais encore me faire engueuler... :smile2:

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Membre, 55ans Posté(e)
miotolis Membre 273 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Mais non, vas y, si tu a l'habitude de te faire engueuler :smile2:

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Invité filipe59
Invités, Posté(e)
Invité filipe59
Invité filipe59 Invités 0 message
Posté(e)

Ben, assez simple : quand ils ont des subventions, ces gens là n'hésitent pas à envoyer Bovais devant un tribunal pour avoir fauché leur maïs "transgénique".

Mais quand il faut faire des efforts pour garantir des cultures saines, sans subventions, ils n'hésitent pas à nous rabacher que c'est "tout mauvais" pour notre santé...

Les farines animales sont interdites en France, mais ils n'hésitent pas à l'importer...

Les éleveurs, pareil, ils démolissent les magasins en ce moment, (ex : Pour le Lait), mais ont-ils pensé avant, qu'ils pourrait mieux négocier leurs tarifs... tout saccager c'est facile !

Dernier point, les gens n'hésitent pas à payer plus cher, s'ils savent le comment du pourquoi !

N'y aurait-il pas là un problème de communication entre producteurs et consommateurs....

Les consommateurs, en général sont de bonne foi, et une majorité d'entre eux comprennnent les difficultées de nos agriculteurs et les respectent (ils ont une vie assez dure !!), et aimeraient plus les soutenir, s'ils ne nous prenaient pas non plus en otage...

Comme le fait la RATP, dès qu'il y a conflit...

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Membre, 55ans Posté(e)
miotolis Membre 273 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Moi je t'engueule pas, Mais j'ai une pensée pour ces chtite n'abeilles :smile2:

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Invité filipe59
Invités, Posté(e)
Invité filipe59
Invité filipe59 Invités 0 message
Posté(e)

Moi aussi, pauvre n'abeilles, qu'on prend pour des t'ruches...

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Membre, Je porte un chat d'or, et alors ?, 16ans Posté(e)
LooSHA Membre 4 598 messages
16ans‚ Je porte un chat d'or, et alors ?,
Posté(e)

J'ai du mal avec les "Ils" indéfinis et les prises d'otages.

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Invité filipe59
Invités, Posté(e)
Invité filipe59
Invité filipe59 Invités 0 message
Posté(e)

Bah, j'te ferais un dessin demain... fatigué...

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Invité filipe59
Invités, Posté(e)
Invité filipe59
Invité filipe59 Invités 0 message
Posté(e)

En revanche question contraintes...

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