la pensée génante ;-)

C'est relatif à l'individu quoi.

Prenons l'acte de torturer quelqu'un par exemple.

Pour celui qui torture ça peut procurer un certain plaisir (hé oui il y en a),

pour celui qui se fait torturer c'est une souffrance.

L'acte est donc une stimulation positive pour l'un, négative pour l'autre.

Alors est-ce bien ou mal...

He bien il y a absence de souffrance dans la tete du bourreau pourquoi ferait il cela si ce n'est pour assouvir un besoin qui une fois fait l'apaise et permet absence de souffrance mais je te le dis la plupart des gens qui agiraient comme cela ne s'écoute pas du pourquoi et comment ils respecteraient l'absence de souffrance juste pour eux et même ce genre de bourreau se retrouverait confronter à plus fort que lui et subirait la même chose en le regrettant et ne le refairait plus. Une fois que l'on comprend l'absence de souffrance que l'on prend conscience que l'assouvissement des besoins ne peuvent se faire que par réciprocité et consentement.

On ne peut pas toujours mesurer toute la portée de nos actes et leurs conséquences.

On peut partager des sentiments réciproques vis-à-vis d'une personne et en rendre jalouse une troisième sans le vouloir, ni le savoir.

C'est sur que l'on ne peut pas tout savoir comme par exemple aujourd'hui l'on se fait du bien et le lendemain en y reflechissant en commence a se dire que cela fait du mal comme avec les drogues dures et l'accoutumence qu'ils entrainent ainsi que le mal quand il en manque. De toute manière quand on reflechit à une absence de souffrance absolu cela s'appelerait le repos eternel, l'inexistence en tant qu'être vivant.

On peut partager des sentiments réciproques vis-à-vis d'une personne et en rendre jalouse une troisième sans le vouloir, ni le savoir.

Si tu respectes l'absence de souffrance tu exprimerais ses sentiments sans le faire voir par ceux qui en souffrirait cela ne ferait que rendre la chose encore plus intime.

Mais ignorer le 'mal' ça n'est pas le faire disparaître

Certains transforment le plomb en or trouvant raison à leurs erreurs et tromperie soit leur souffrance en en révélant quelque chose ce qui fait que leurs erreurs n'en sont plus, mais c'est vrai que cela ne fait pas disparaitre la souffrance peut être tout simplement parcequ'il ne suffit que d'une fois la main au feu pour ne plus l'y remettre.

Oui, mais lorsque tu parles de souffrance et de non souffrance tu ne parles pas du bien et du mal en eux-même mais des conséquences qu'ils peuvent engendrer .

Les critères de bien et de mal varient d'un individu à l'autre ...

Une chose bien pour certains peux être mal pour d'autres et vice versa ...

De plus le mal n'engendre pas forcément de la souffrance , et le bien pas forcément du plaisir ...

Par exemple une pensée mauvaise peut être qualifiée de mal, elle n'engendre pas forcément de la souffrance .

Oui, mais lorsque tu parles de souffrance et de non souffrance tu ne parles pas du bien et du mal en eux-même mais des conséquences qu'ils peuvent engendrer .

Les critères de bien et de mal varient d'un individu à l'autre ...

Une chose bien pour certains peux être mal pour d'autres et vice versa ...

De plus le mal n'engendre pas forcément de la souffrance , et le bien pas forcément du plaisir ...

Par exemple une pensée mauvaise peut être qualifiée de mal, elle n'engendre pas forcément de la souffrance

Mais dans n'importe quel cas même celui du pire des mauvais quoiqu'il fasse même en faisant le mal à autrui ne fait qu'assouvir un besoin pour justement ne plus souffrir de ne pas faire souffrir. Ou même si l'on juge les actes de l'autre mauvais ce n'est que pour ne pas faire les mêmes choses que lui pour justement ne pas souffrir, dans les deux cas ce n'est qu'assouvissement d'un besoin pour s'apaiser et ne plus souffrir aussi egoiste que cela puisse être, et quand on en prend conscience la reciprocité et le consentement agissent pour instaurer au plus parfait l'absence de souffrance.