capitalisme = progres ?

Les dirigeants religieux sont des gestionnaires.

Gérer c'est prévoir l'offre et la demande. Gérer, c'est aussi prophétiser.

Comment une religion crée-t-elle de la demande de bien ?

En offrant du mal par la guerre, les maladies, ...

Comment le capitalisme crée-t-il de la demande d'emploi ?

En limitant son offre. Les crises économiques sont faites pour cela entre autre.

Tout est fait par les citoyens de A à Z, ce n'est pas un peu fort d'y coller une dette en plus ?

Quelles ressources ont pu coûter autant aux français ?

L'uranium pour centrales nucléaires qui nous pourrissent l'environnement ?

Les pertes liées au système social qu'ils ont volontairement crée ?

Seul un dirigeant laïque peut prétendre au « pouvoir » sinon c'est un pantin qui n'est pas libre de sa direction, son pouvoir est limité à la volonté de son maître. Je ne connais aucune religion qui ne soit pas liée à une soumission consciente ou inconsciente. Le capitalisme, bizarrement, est né d'intégristes religieux aux édits de Nantes en 1532. En remontant l'histoire et la généalogie, on doit pouvoir retrouver la poignée de castes qui créent toutes les misères du monde en manipulant l'économie et les gouvernements corrompus et/ou aveugles. Je ne saurais que conseiller aux dirigeants du monde entier de se réunir et de se débarrasser de ceux qui contrôlent l'économie capitaliste. Ils n'ont pour but que d'offrir du malheur en multipliant les problèmes, les inégalités et les conflits entre pays dits « démocratiques ». Croire que les chaînes du luxe sont mieux que les chaînes de la vie c'est un point de vue d'esclave de la pensée du maître. L'argent ne fait pas le bonheur, il fait juste un libre esclave qui subira peut-être un crime ou un cancer de par sa propre bêtise, quel que soit sa position clanique dans l'échelle sociale Aryenne qu'il crédite.

Le surhumain ne s'obtient que par l'union. Multiplier les clans, c'est multiplier les conflits. L'animal engendre le conflit. Plus le clan est gros, plus le surhumain est puissant. Je ne saurais que conseiller aux Hommes de se méfier grandement de ceux qui leurs désignent leurs ennemis. Les médias sont corrompus pour que nous croyions tout et n'importe quoi. La vérité est en chacun de nous et autour de nous, en toute vie. Nos pires ennemis sont ceux qui nous dirigent, ils nous dirigent où le veut leur maître : vers la mort. Hitler a transformé son peuple surhumain en animal car lui-même était un animal stupide qui se croyait supérieur et qui ne voyait pas plus loin que son nombril. Quand un guignol veut le « pouvoir », il prend un livre de statistique et monte son discours en conséquence, ensuite, il tente de se mettre le moins possible de personnes à dos et appelle cela gérer. Faire tendre un robot vers l'animal est extrêmement facile pour celui qui connaît l'Homme. N'est-ce pas la religion qui a financé les premières recherches en psychiatrie ? Celles où la torture était pratiquée pour apprécier les réactions humaines et illusoirement soigner. Je crache sur toutes les religions. Toutes tentent de faire de l'Homme un robot servile avec plus ou moins de dommages collatéraux, même le bouddhisme prône l'amour absolu pour un maître à penser. Chaque personne abandonnée est une perte en force ou en esprit qui vaut largement plus que la valeur d'or qu'on lui met sur les épaules dès la naissance pour plus facilement le convertir aux travaux forcés. On nous apprend la soumission dès notre plus jeune âge : parent/enfant, maître/élève, employeur/employé, prêteur/emprunteur, policier/citoyen, berger/mouton, ¿

Etre maître de soi est le seul pouvoir auquel nous puissions prétendre. Le pouvoir sur les autres est une illusion d'esclave inconscient. ¿, les ministres chient dans leurs frocs avec le président. Le président chie dans son froc avec le peuple révolutionnaire. Il a raison, la force c'est le peuple, c'est le surhumain. Nous sommes en « démocratie », j'espère que dans deux ans, nous serons définitivement débarrassés de ces esclaves des valeurs virtuelles sans avoir forcement à se battre contre des forces de l'ordre manipulées et soumises. Tous les conflits sont une conséquence, pour en trouver la cause, regardez toujours vers le haut. Cela vient toujours de celui qui se voudrait dieu mais qui finit Satan.

La base de l'éducation est d'apprendre à apprendre. Apprendre et grandir, c'est l'histoire d'une vie. Ceux qui dictent en maîtres sont des robots dont l'esprit est déjà mort. Un vrai dirigeant est un Homme libre qui a compris la relativité de tout et qui a la capacité de naviguer dans les absolus de l'espace et du temps avec son esprit. N'importe quel idiot peut comprendre que travailler plus pour gagner plus ne peut être qu'une fiction d'esclavagiste religieux. Travailler moins pour vivre et grandir plus serait beaucoup plus logique. Si l'humanité est libre de ses choix, le dictateur lui ne l'est pas. Il n'a même pas compris à quoi servent la robotisation et l'intelligence artificielle, ça montre bien le retard mental qui règne dans les hautes sphères. Le dictateur est un âne avec des ¿illères et une carotte monétaire devant le nez qui lui permet d'avancer sans savoir où exactement. Le fait que chacun de nous puisse suivre bêtement l'âne est un retard dans l'éducation de l'esprit qui est voulu.

Quel est l'intérêt d'une race Aryenne de Hyènes de l'économie ? Pensez plutôt au progrès, à la santé, à la culture, aux enfants découvreurs, aux doyens enseignants, les idées ne manquent pas dans la diversité citoyenne. C'est plutôt le dictat économique et sa capacité de corruption qui empêche les idées de prendre forme et de progresser. Si les « élites » de gauche n'avaient pas mis leurs petits copains remplis d'incompétence à la tête des sociétés publiques, nous n'aurions pas eut besoin de les privatiser. Si les dictateurs mondiaux avaient compris très tôt que nous étions tous de la vie avec pour seules différences nos compétences de force et d'esprit, nous vivrions peut-être 200 ans et sur différentes planètes à l'heure actuelle.

Non, le capitalisme ne peut prétendre qu'aux conflits.

pardon, 1598 les édits de Nantes.