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Des plantes sensibles à nos émotions .


BM7

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MembreR, 58ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 58ans‚
Posté(e)

Les plantes seraient sensibles à nos émotions .

épuisé par une longue journée de travail , Cleve Backster , spécialiste des détecteurs de mensonges , tentera un jour de brancher un détecteur sur la feuille de l' une de ses plantes tropicales aux larges feuilles « la Dracena » . Quelle ne fut pas sa surprise , lorsqu' il vit la plante produire un tracé identique à celui d' un homme , comme si elle ressentait nos émotions .

Intrigué par le phénomène , Backster décidera de brûler la feuille branché.

é l' instant même ou la vision de la menace se précisait et avant même d' avoir tendu la main vers la boite d' allumettes , le tracé du détecteur s' affola . La plume dessinera une courbe vers le haut , alors que Backster n' avait pas encore bouger . étrange , la dite feuille aurait capter ses mauvaises intentions .

Il quitta la pièce pour aller chercher des allumettes et constata à son retour , une nouvelle oscillation brusque sur le graphique .

Lorsqu' il tenta la même expérience , en faisant seulement exprès de vouloir brûler la feuille , et bien celle - ci ne réagissait pas .

Elle paraissait distingués les vrais intentions des fausses .

Cette caractéristique nous expliquerait entre - autre , pourquoi les jardiniers qui aiment leurs plantes , ont la réputation d' avoir la main verte . En leur présence , les plantes poussent beaucoup mieux .

Elles seraient sensibles à nos émotions .

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Membre, Je porte un chat d'or, et alors ?, 16ans Posté(e)
LooSHA Membre 4 598 messages
16ans‚ Je porte un chat d'or, et alors ?,
Posté(e)
La reproductibilité des résultats

Afin de lever les doutes liés aux biais de l’expérience de Backster, trois scientifiques américains, K. A. Horowitz, D. C. Lewis et E. L. Gasteiger, l’ont reproduite dans des conditions mieux contrôlées.

Se conformant le mieux possible au protocole et aux conseils de Backster , ils ont utilisé quatre philodendrons scandens oxycardium qu’ils ont placés par paire dans deux salles étanches à la lumière (tight-light), à l’intérieur de cages de Faraday constituant une protection contre les perturbations électromagnétiques. Un dispositif de contrôle composé d’une résistance de 110 kohm simulant une feuille de ces plantes était introduit dans chaque cage afin de mesurer les variations parasites dues à l’alimentation électrique, aux vibrations, etc. Une demi-heure avant chaque expérience, les feuilles des philodendrons étaient nettoyées avec de l’eau distillée pour enlever la poussière. Les électrodes étaient ensuite installées et les quatre philodendrons arrosés jusqu’à saturation de la terre.

Les deux pièces renfermant les plantes étaient séparées par une troisième salle contenant l’« ébouillanteur » de crevettes. Horowitz et al. perfectionnèrent le dispositif de Backster : leur appareil était composé de cinq pipettes contenant 10 à 20 petites crevettes d’eau douce (Artemia) pour trois d’entre elles et de l’eau distillée pour les deux autres, leur disposition respective étant préalablement tirée au hasard.

L’expérience durait quinze minutes, durant lesquelles le contenu des cinq pipettes était déversé successivement dans un bac d’eau bouillante, à des intervalles de temps définis aléatoirement. La résistance des feuilles des quatre philodendrons instrumentés était enregistrée en continu. Sur les diagrammes, le temps d’injection du contenu des pipettes dans l’eau bouillante est pointé par un chiffre (de 1 à 5) accompagné d’une lettre : W correspondant à water (eau) et BS à brine shrimp (crevettes).

Contrairement à l’expérience de Backster, le critère de réaction des plantes a été défini avec rigueur. L’amplitude maximale de variation de la résistance de la feuille durant les 25 secondes précédant l’injection (période de contrôle) a été comparée à l’amplitude maximale durant les 25 secondes suivant l’injection. Au total, 5 expériences ont été réalisées, avec 4 plantes, donnant finalement 60 « réponses » correspondant à la mort de crevettes – à comparer aux 13 enregistrées par Backster – et 40 correspondant à l’injection d’eau distillée. Le résultat de l’une de ces expériences pour un des quatre philodendrons est présenté ci-dessous. Les signes +, – et 0 correspondent respectivement à une variation strictement supérieure de 10 µV, strictement inférieure de 10 µV ou comprise entre ± 10 µV par rapport la variation de résistance mesurée lors de la période de contrôle.

Différentes analyses statistiques furent menées à partir de ces données. Le but était de vérifier si la mort des crevettes avait une influence statistiquement significative sur la variation de résistance des feuilles du philodendron. Ces analyses ne révélèrent aucune corrélation .

Horowitz, Lewis et Gasteiger publièrent le compte-rendu de leur expérience dans la revue scientifique Science en 1975. La conclusion est claire : « Nous n’avons obtenu aucune preuve d’une perception primaire chez les plantes. ». Ne pouvant prouver l’inexistence d’un phénomène, on ne peut bien évidemment pas en déduire que la perception primaire des plantes n’existe pas. Cependant, les auteurs ajoutèrent : « Même si l'hypothèse demeure une spéculation intrigante, on remarquera qu’elle n’est soutenue que par les données partielles publiées par Backster. »

>> http://www.zetetique.fr/index.php/dossiers...ception-plantes

Charlatans 0 - Science 1

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Membre, Posté(e)
Toutouille Membre 496 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Une légende, une vérité ? Je ne sais pas mais il est dit que si on parle à nos plantes, elles poussent mieux et qu'elles sont plus belles. Alors pourquoi ne ressentiraient elles pas nos émotions.

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