la crise

Une filiale du Crédit Agricole distribue 51 millions d'euros à ses cadres après avoir supprimé 75 emplois

A chaque jour son dirigeant polémique. Après le parachute doré de l'ancien PDG de Valeo, le «maxi-bonus» des dirigeants de Cheuvreux. Le quotidien «Libération» révèle ce mercredi que les cadres de cette filiale du Crédit agricole doivent recevoir une enveloppe de 51 millions d'euros, après avoir mis en place un plan de restructuration supprimant 75 emplois dans le but d'économiser 32 millions d'euros.

La veille, le gouvernement avait annoncé son intention de s'opposer au versement des 3,2 millions d'euros à Thierry Morin. Alors que Nicolas Sarkozy n'a pas annoncé de loi encadrant ce type de rémunérations lors de son discours de Saint-Quentin, une réaction de l'Etat, qui a accordé 3 milliards d'euros de fonds propres au Crédit agricole, est attendue. J.M.

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Sarkozy à Saint-Quentin tente de défendre sa politique économique face à la crise Cinq jours après une journée de grève et de défilés dans toute la France, et à un peu plus d'une semaine du sommet du G20, le chef de l'Etat a choisi de venir "faire la pédagogie" de ses réformes sur les terres du secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand.

Devant quelque 4.000 personnes, il a âprement défendu les réformes déjà engagées contre la crise, assurant que "si la situation devait se dégrader encore, nous ferions davantage". Il a annoncé, "avant la fin du mois d'avril", un "plan d'urgence en faveur des jeunes" mettant l'accent sur la formation en alternance et l'apprentissage ainsi que la prochaine nomination de "commissaires à la réindustrialisation" dans chaque bassin d'emploi en difficulté.

Il est revenu sur ses objectifs en matière de "moralisation du capitalisme": "Il ne doit plus y avoir de parachutes dorés, de bonus, de distribution d'actions gratuites ou de stock-options dans une entreprise qui reçoit une aide de l'Etat, qui met en oeuvre un plan social d'ampleur ou qui recourt massivement au chômage partiel", a-t-il dit sans proposer de loi, réagissant aux polémiques sur les stock-options des dirigeants de la Société Générale ou le parachute doré de l'ex-PDG de Valeo.

Il a aussi annoncé que le gouvernement présenterait en avril le projet de loi pénalisant la simple appartenance à une bande. Ce texte prévoira une peine pouvant aller jusqu'à trois ans de prison pour l'appartenance à une bande. Le projet de loi va aussi durcir les règles sanctionnant les intrusions dans les établissements scolaires, a ajouté le chef de l'Etat.

Toujours les mêmes histoires, vivement que ça change.

Parisot en appelle à la pression de l’opinion publique !

On aura tout vu, tout entendu !

Stocks-options, bouclier fiscal, parachutes dorés, Laurence Parisot, patronne du MEDEF en appelle à l’opinion publique !

Ce soit sur France 2 (JT de 20h) Parisot a appelé à la pression de l’opinion publique pour obliger les patrons à réduire leurs appointements !

Elle peut compter sur nous !

Qu’on ne s’y trompe pas, voici ces motivations : "les lois c’est comme le code de la route, cela n’empêche pas que certains dépassent les limitations de vitesse", donc voter des lois ne serait pas efficace selon elle contre les patrons.

C’est vrai que les patrons ne sont pas des citoyens comme les autres, ils sont au-dessus des lois?

source:bellacio

La crise vient d'un seul probleme, la délocalisation.

C'est simple, par exemple peugeot, va licencier des francais pour mettre sont usine en pologne... main d'oeuvre moins cher certe, mais le pays ou il veulent vendre comme la france, n'a plus d'acheteur... logique il ont plus de boulot!! donc il chute... et sa les boss ne l'avais pas prevu. Donc ils veulent faire revenir l'usine en france, et oups, l'europe dit NON, la pologne veut gardé cette resource... et la le président dit serré vous la ceinture et vive l'Europe....

Mr le président, faut pas sortir d'une grande école pour savoir qu'un pays sans industrie ce casse la gueulle...

C'est simple, par exemple peugeot, va licencier des francais pour mettre sont usine en pologne... main d'oeuvre moins cher certe, mais le pays ou il veulent vendre comme la france, n'a plus d'acheteur... logique il ont plus de boulot!! donc il chute...

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Il y a bien la famille Peugeot qui aurait encore largement les moyens d'acheter, mais ils préfèrent les voitures d'une autre gamme.

Ce sont eux les principaux actionnaires de mon entreprise. :smile2: