A vous de jueger (martine Aubry)

Méfie-toi, les nanas vertes ne sont pas mûres :smile2:

euh .. bon ...

il est tard.

kenavo vac'hoaz !

Bouh, c'est de la discrimination elles étaient super mûres

Tu t'es senti visé ?

Fallait pas, je parlais des groupies inconditionnels d'Aubry et de ses acolytes.

C'est le militantisme aveugle qui m'exaspère dans le fond.

je n'ai pas plus d'estime pour un militant socialo que pour un militant ump.

J'ai déjà été à des meetings des deux bords, à des fins touristiques, je te rassure.

J'admets qu'un leader politique envoie de l'air pour gonfler son ballon et acquérir des suffrages, c'est la règle et le principe (ailleurs c'est la kalachnikov ou les goulags), mais le fait de voir de gus venir soutenir un homme ou femme politique, de quel parti qu'ils soient, c'est de la niaiserie et du contresens démocratique.

Pour moi, un homme politique ça se juge et ça s'estime, ça ne se soutient pas, sinon c'est du militantisme, voire de l'aliénation dans certains cas.

Donc, tu n'es pas prêt de me voir avec un drapeau UMP ou autre.

Mon drapeau à moi, il date de la révolution :smile2: .

Il est joli, malgré son âge !

Franchement Aubry a une autre carure que Royal,elle maitrise les sujets et ne finie aps par dire une connerie a la fin de chaque intervention.

Mme Aubry défend une répartition moins injuste des richesses produites, dans le cadre du capitalisme.

Elle a au moins le mérite de soutenir que la répartition actuelle des richesses produites est injuste. Ce qui la rend plus sympathique que nombre de dirigeants «socialistes».

Cependant, je ne l'ai jamais entendu exposer clairement qu'une répartition plus juste implique des taux de profit plus bas pour les grandes entreprises, que le développement de la rémunération du travail implique de réduire celle de la propriété.

Je n'ai jamais entendu par quelles mesures elle compte opérer cette redistribution. Je ne l'ai notamment jamais entendu remettre en question l'appropriation du capital de nos grandes entreprises par quelques milliers de familles. Je n'oublie pas non plus qu'elle a participé à un gouvernement qui, de mémoire, a autant privatisé que les gouvernements de droite qui l'ont directement précédé et suivi.

Mme Aubry défend une répartition moins injuste des richesses produites, dans le cadre du capitalisme.

Elle a au moins le mérite de soutenir que la répartition actuelle des richesses produites est injuste. Ce qui la rend plus sympathique que nombre de dirigeants «socialistes».

Cependant, je ne l'ai jamais entendu exposer clairement qu'une répartition plus juste implique des taux de profit plus bas pour les grandes entreprises, que le développement de la rémunération du travail implique de réduire celle de la propriété.

Je n'ai jamais entendu par quelles mesures elle compte opérer cette redistribution. Je ne l'ai notamment jamais entendu remettre en question l'appropriation du capital de nos grandes entreprises par quelques milliers de familles. Je n'oublie pas non plus qu'elle a participé à un gouvernement qui, de mémoire, a autant privatisé que les gouvernements de droite qui l'ont directement précédé et suivi.

Comme Sarko a fait partit des nombreux gouv de droite précédent et dit ne rien avoir avec le bilan passé. :smile2:

Comme Sarko a fait partit des nombreux gouv de droite précédent et dit ne rien avoir avec le bilan passé. :smile2:

Sarkozy est un démagogue ; il prétend mener une politique qualitativement différente de celle que la droite menait de 2002 à 2007 parce que cette politique a laissé de mauvais souvenirs, et à juste titre, à la majorité des français.

Mme Aubry, au contraire, admet se reconnaître dans la politique menée de 1997 à 2002. Ce faisant, elle fait certes preuve, elle, d'honnêteté intellectuelle. Il n'en reste pas moins qu'on préférerait l'entendre faire une critique de gauche des mesures objectivement de droite prises à cette époque (privatisations, absence d'embauches dans les services publics pour compenser la réduction du temps de travail, baisse de la tranche supérieure de l'IR, début des externalisations dans les services publics, notamment).