C'est 40 000 et pas 400 000

Pourquoi tu dis ca ? :smile2: Il y avait une erreur (corrigée depuis) dans le titre ?

C'est triste, mais c'est comme ça......

En France, on gueule dès que l'on licencie 10 personnes... mais parfois il est nécessaire au bon déroulement de l'entreprise de licencier quelques employés... sinon, une faillite peut arriver, et là, c'est tout le monde dehors !

C'est triste, mais c'est comme ça......

En France, on gueule dès que l'on licencie 10 personnes... mais parfois il est nécessaire au bon déroulement de l'entreprise de licencier quelques employés... sinon, une faillite peut arriver, et là, c'est tout le monde dehors !

Je suis d'accord avec toi, 669. :smile2:

Mais employer le terme "quelques " en ces temps qui cours, me parait-êtres un doux euphémisme par rapport à la conjoncture actuelle.

Je suis d'accord avec toi, 669. :smile2:

Mais employer le terme "quelques " en ces temps qui cours, me parait-êtres un doux euphémisme par rapport à la conjoncture actuelle.

Je parle bien évidement en temps normal.

Quoi que, en ce moment, c'est encore plus flagrant: les syndicats pourront bien taper du pied tant qu'ils veulent, les entreprises n'ont plus le choix...

:smile2:

Pourquoi tu dis ca ? Il y avait une erreur (corrigée depuis) dans le titre ?

C'est triste, mais c'est comme ça......

En France, on gueule dès que l'on licencie 10 personnes... mais parfois il est nécessaire au bon déroulement de l'entreprise de licencier quelques employés... sinon, une faillite peut arriver, et là, c'est tout le monde dehors !

Surtous quand une entreprise fait des benefices !!!!

Licencier en masse jusqu'à ce que le PIB cesse de baisser permet de maintenir le taux de profit.

Ceci étant, il existe une alternative.

Le taux de profit n'a jamais été aussi haut depuis les années 20 dans les pays riches.

On pourrait donc maintenir l'emploi, les salaires, le PIB et faire du taux de profit la variable d'ajustement de la crise.

Ce ne serait que justice dans la mesure où la baisse de la part des salaires, en ce qu'elle pousse les salariés à l'emprunt et les riches à toujours plus de spéculation est la cause profonde de la crise.

40.000 en une journée, record à battre.