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2009 Année Darwin

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uno

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
Bonjour,

Si on descend d'un singe, pourquoi ne greffe -t -on pas des valves cardiaques de singe aux humains alors qu'on greffe des valves cardiaques de cochon chez les humains?

Parce que le cochon est un animal d'élevage disponible en abondance et sur lequel on peut pratiquer sélection voir même génie génétique pour avoir de spécimens dont les organes désirés soient compatible en vue de greffes!

Mais le cochon n'est pas plus proche, ni même aussi proche, de l'homme que le sont les singes, encore une fois cela se vérifie aussi bien morphologiquement que génétiquement!

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Membre, 42ans Posté(e)
hhenry Membre 79 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
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je n'ai pas compris ta phrase :

"Parce que le cochon est un animal d'élevage disponible en abondance et sur lequel on peut pratiquer sélection voir même génie génétique pour avoir de spécimens dont les organes désirés soient compatible en vue de greffes!"

alors, pourquoi ne pas pratiquer la même chose sur les singes pour des greffes ?

autre chose,

comment peut-on affirmer la taille et le poids de l'homo habilis si on n'a pas retrouvé les squelettes ?

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Membre, 42ans Posté(e)
hhenry Membre 79 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Une brochure éditée en 1999 par l'Académie américaine des sciences donne à penser au lecteur que les fossiles découverts par les scientifiques sont plus que suffisants pour attester qu'il y a eu macroévolution. Elle déclare : ¿ On a découvert tant de formes intermédiaires entre les poissons et les amphibiens, entre les amphibiens et les reptiles, entre les reptiles et les mammifères et dans la lignée des primates qu'il est souvent difficile d'identifier de manière catégorique le moment de la transition d'une espèce à une autre. ¿

Cette affirmation pleine d'assurance est tout à fait surprenante. Pourquoi ?

En 2004, National Geographic (édition américaine) a décrit l'ensemble des fossiles comme un ¿ film de l'évolution dont 999 images sur 1 000 ont été perdues au montage ¿. Les ¿ images ¿ restantes (1 sur 1 000) font-elles vraiment état d'une macroévolution ? Qu'indiquent exactement les fossiles ? De l'aveu de Niles Eldredge, évolutionniste fervent, ils révèlent que, sur de longues périodes, ¿ la plupart des espèces n'accumulent que peu ou pas de changements ¿.

é ce jour, des scientifiques du monde entier ont exhumé et catalogué quelque 200 millions de grands fossiles et des milliards de microfossiles. Nombre de chercheurs s'accordent sur ce point : ces archives fournies et détaillées révèlent que tous les grands groupes d'animaux sont apparus brusquement et sont demeurés pour ainsi dire inchangés, et que beaucoup d'espèces ont disparu aussi rapidement qu'elles étaient apparues. Après examen des témoignages fossiles, le biologiste Jonathan Wells écrit : ¿ Au niveau des règnes, des embranchements et des classes, il est évident que la descendance avec modifications à partir d'ancêtres communs n'est pas un fait observé. é en juger par les témoignages fossiles et moléculaires, ce n'est même pas une théorie bien fondée. ¿

Les mutations peuvent-elles produire de nouvelles espèces ?

De nombreux détails d'une plante ou d'un animal sont déterminés par les instructions contenues dans son code génétique, le ¿ plan de fabrication ¿ que renferme le noyau de chaque cellule. Des chercheurs ont découvert que des mutations, ou changements aléatoires, dans le code génétique peuvent produire des modifications chez les descendants de plantes ou d'animaux. En 1946, Hermann Muller, prix Nobel et fondateur de l'étude de la génétique, en particulier des mutations, a déclaré : ¿ Non seulement cette accumulation de changements rares et, le plus souvent, infimes est le principal moyen d'améliorer artificiellement les animaux et les végétaux, mais, plus que cela, c'est la façon dont l'évolution de la nature s'est produite, guidée par la sélection naturelle. ¿

L'enseignement de la macroévolution repose en effet sur l'affirmation selon laquelle les mutations peuvent produire non seulement de nouvelles espèces, mais aussi des familles entièrement nouvelles de végétaux et d'animaux. Y a-t-il un moyen de mettre à l'épreuve cette affirmation audacieuse ? Voyez ce que 100 ans d'étude de la génétique ont révélé.

é la fin des années 30, les scientifiques ont adopté avec enthousiasme l'idée que, si la sélection naturelle pouvait produire de nouvelles espèces végétales à partir de mutations aléatoires, alors une sélection artificielle, c'est-à-dire dirigée par l'homme, pourrait le faire encore plus efficacement. ¿ L'euphorie gagna les biologistes en général, et les généticiens et les sélectionneurs en particulier ¿, a rapporté Wolf-Ekkehard Lönnig, scientifique à l'institut allemand Max Planck de recherche en phytogénétique, dans une interview pour Réveillez-vous ! Pourquoi cette euphorie ? M. Lönnig, qui étudie les mutations génétiques des végétaux depuis 28 ans, explique : ¿ Ces chercheurs estimaient que le moment était venu de révolutionner la méthode traditionnelle de sélection des plantes et des animaux. Ils pensaient qu'en provoquant et en sélectionnant des mutations favorables, ils pourraient produire des végétaux et des animaux nouveaux et améliorés. ¿

Aux états-Unis, en Asie et en Europe, des scientifiques ont lancé des programmes de recherche (largement financés) utilisant des méthodes qui promettaient d'accélérer l'évolution. Après plus de 40 ans d'efforts intensifs, quels ont été les résultats ? ¿ Malgré un coût financier énorme, constate le chercheur Peter von Sengbusch, la tentative pour cultiver des variétés de plus en plus productives par irradiation s'est avérée un échec complet. ¿ Commentaire de M. Lönnig : ¿ Dans les années 80, les espérances et l'euphorie des scientifiques s'étaient soldées par un échec mondial. De nombreux pays occidentaux ont abandonné l'étude de la sélection par mutation en tant que branche à part entière de la recherche. Presque tous les mutants présentaient des ¿ valeurs de sélection négatives ' : soit ils mouraient, soit ils étaient plus faibles que les variétés sauvages. ¿

Et pourtant, les données aujourd'hui disponibles après 100 ans de recherches sur les mutations et, en particulier, 70 ans de sélection par mutation permettent à des scientifiques de dire si les mutations sont capables ou non d'engendrer de nouvelles espèces. Après examen des faits, M. Lönnig conclut : ¿ Les mutations ne peuvent transformer une espèce [végétale ou animale] originelle en une espèce entièrement nouvelle. Cette conclusion s'accorde avec toutes les expériences et les résultats de toutes les recherches effectuées sur les mutations au XXe siècle, ainsi qu'avec les lois de la probabilité. Par conséquent, la loi de la variation récurrente implique que les espèces génétiquement bien définies ont des limites réelles que des mutations accidentelles ne peuvent ni effacer ni franchir. ¿

Pensez aux implications de ce qui précède. Si des scientifiques hautement qualifiés sont incapables de produire de nouvelles espèces en provoquant et en sélectionnant artificiellement des mutations favorables, peut-on attendre d'un processus inintelligent qu'il fasse mieux ? Si les recherches indiquent que les mutations ne peuvent transformer une espèce originelle en une autre entièrement nouvelle, comment au juste la macroévolution est-elle censée avoir eu lieu ?

La sélection naturelle mène-t-elle à la création de nouvelles espèces ?

Darwin croyait que ce qu'il a appelé la sélection naturelle favoriserait les formes de vie les mieux adaptées à leur environnement, tandis que les moins bien adaptées finiraient par s'éteindre. Les évolutionnistes modernes enseignent que, à mesure que les espèces se sont dispersées et qu'elles se sont retrouvées isolées, la sélection naturelle a choisi celles que les mutations génétiques rendaient les plus aptes à leur nouvel environnement. Au bout du compte, postulent les évolutionnistes, ces groupes isolés ont fini par devenir des espèces totalement différentes.

Comme cela a été dit, il ressort clairement des recherches effectuées que les mutations ne peuvent produire des espèces entièrement nouvelles de plantes ou d'animaux. Néanmoins, quelles preuves les évolutionnistes avancent-ils pour soutenir que la sélection naturelle choisit les mutations bénéfiques pour produire de nouvelles espèces ? Une brochure éditée en 1999 par l'Académie américaine des sciences (NAS) déclare : ¿ On trouve un cas particulièrement incontestable de spéciation [apparition, par l'évolution, de nouvelles espèces] dans l'exemple des 13 espèces de pinsons étudiées par Darwin dans les îles Galápagos (ces oiseaux sont aujourd'hui appelés ¿ pinsons de Darwin '). ¿

Dans les années 70, un groupe de recherche dirigé par Peter et Rosemary Grant s'est mis à étudier ces pinsons et a découvert qu'après une année de sécheresse ceux dont le bec était légèrement plus gros survivaient plus facilement. étant donné que la taille et la forme du bec servent, entre autres caractères, à distinguer les 13 espèces de pinsons, ces observations ont été jugées significatives. ¿ Les Grant ont estimé, poursuit la brochure, que s'il survient une sécheresse tous les 10 ans sur les îles, une nouvelle espèce de pinsons pourrait apparaître dans seulement 200 ans. ¿

Cependant, la brochure de la NAS omet de mentionner des faits révélateurs mais gênants. Dans les années qui ont suivi la sécheresse, les pinsons au bec plus petit ont recommencé à prédominer. C'est pourquoi Peter Grant et Lisle Gibbs, un étudiant de troisième cycle, ont signalé en 1987 dans la revue scientifique Nature qu'ils avaient constaté ¿ une inversion dans le sens de la sélection ¿. En 1991, Peter Grant a écrit que ¿ la population [de pinsons], soumise à la sélection naturelle, fluctue ¿ en fonction des changements de climat. Les chercheurs ont également remarqué que certaines ¿ espèces ¿ de pinsons se croisaient et produisaient des descendants qui survivaient mieux que leurs parents. Peter et Rosemary Grant en ont conclu que, si les croisements se poursuivaient, il se produirait des fusions d'¿ espèces ¿ en l'espace de 200 ans.

En 1966, le biologiste évolutionniste George Williams avait écrit : ¿ Je trouve regrettable que la théorie de la sélection naturelle ait été développée au départ pour expliquer les changements évolutifs. Elle est beaucoup plus importante pour expliquer la continuité de l'adaptation. ¿ Jeffrey Schwartz, théoricien de l'évolution, a écrit en 1999 que, si les conclusions de M. Williams sont correctes, la sélection naturelle aide peut-être les espèces à s'adapter aux conditions changeantes de l'existence, mais ¿ elle ne crée rien de nouveau ¿.

En effet, les pinsons de Darwin ne deviennent ¿ rien de nouveau ¿. Ce sont toujours des pinsons. Et le fait qu'ils se croisent jette le doute sur les méthodes que certains évolutionnistes emploient pour définir une espèce. De plus, le cas des pinsons révèle que même des sociétés scientifiques prestigieuses ne sont pas à l'abri d'un manque d'objectivité dans leur façon d'exposer les faits.

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
je n'ai pas compris ta phrase :

"Parce que le cochon est un animal d'élevage disponible en abondance et sur lequel on peut pratiquer sélection voir même génie génétique pour avoir de spécimens dont les organes désirés soient compatible en vue de greffes!"

alors, pourquoi ne pas pratiquer la même chose sur les singes pour des greffes ?

Parce qu'encore une fois les singes ne sont pas des animaux d'élevages disponibles en abondance!

Les porcs sont des animaux d'élevage depuis maintenant fort longtemps et aujourd'hui disponible industriellement et que l'on peut donc élever à la chaine! Les singes comme le chimpanzé sont bien utilisé comme cobayes mais de façon limités cela aussi pour des raisons éthiques qui fait qu'il est hors de question de pratiquer l'élevage industrielle tel qu'on la pratique sur les porcs!

Cependant dans le temps on se servait cependant de reins de singes pour l'élaboration de vaccins d'ailleurs certains soupçonnent même que ce sont ces campagnes de vaccinations faites à partir de reins de singes qui auraient permis la transmission du VIH du chimpanzé à l'homme, théorie sur laquelle je ne me prononce pas ici (et que je n'ai d'ailleurs pas assez creusé pour pouvoir m'exprimer) car c'est encore une autre et vaste débat, je suppose!

autre chose,

Comment peut-on affirmer la taille et le poids de l'homo habilis si on n'a pas retrouvé les squelettes?

On affirme pas on estime la taille et le poids de Homo habilis dans une fourchette raisonnable et cela non pas à partir des seuls crânes mais aussi des restes du squelette post-crânien (c'est à dire toutes les parties du squelettes ne faisant pas partie du crâne)!

C'est comme ça que fonctionne les reconstitutions scientifiques!

Hhenry cite un pavé d'inepties créationnistes comme on en rencontre massivement sur le Net!

Hhenry, c'est pas la peine de te référer à ces inepties créationnistes que tu pêche sur le net car on a déjà réfuté les dites inepties en question dans le présent topic, bah oui!

Par exemple le passage d'une espèce à une autre a été observé et les mutations positives également!

Tient prend un exemple intéressant de changement évolutif à savoir l'ours polaire!

L'ours polaire descend de l'ours brun et mieux encore en captivité on a constaté que l'ours polaire et l'ours brun pouvaient avoir ensemble une progéniture fertile! La parenté de ces deux taxons ne fait aucun doute! Ainsi l'ours polaire est un exemple flagrant d'évolution!

De même que d'autres cas du même genre observable dans la nature ou mieux encore des cas de mutations positives également déjà mentionné dans ce forum!

Je te laisse te renseigner toi même sur ces divers choses Hhenry car j'ai l'impression que tu ne tisn pas vraiment compte de ce que je poste, arf!

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Membre, 42ans Posté(e)
hhenry Membre 79 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

montre moi des partis de squelettes de l'homo habilis qui permets d'estimer la taille et et le poids !

concernant l'ours polair et l'ours brun : cela ne prouve pas la MACROévolution !

Ce sont des ours, même espèce !

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
montre moi des partis de squelettes de l'homo habilis qui permets d'estimer la taille et et le poids!

L'âge peut être estimé d'après le crâne, la taille est quand à elle estimé à partir des fragments du squelette post-crânien, notamment les os des membres!

OH_62.jpg

oh8.jpg

C'est clair qu'il serait sympathique de trouvé un spécimen de Homo habilis dont le squelette post-crânien serait complet mais bon le fait de disposer de crânes en bonne état constitue déjà un point très éclairant quand à la position phylogénétique de ce taxon! :smile2:

Concernant l'ours polair et l'ours brun : cela ne prouve pas la MACROévolution !

Ce sont des ours, même espèce!

Ben si ça le prouve de plus ça prouve que les mutations positives ont bel et bien lieu puisque personne ne serait assez con pour dire que l'ours polaire est le fruit de mutations strictement négatives ou neutre depuis son ancêtre brun! ;)

En fait l'ours brun et l'ours polaire ne sont pas classé comme appartenant à la même espèce car ayant accumulé des différences trop importantes rendant leur croisement dans la Nature quasiment impossible au point qu'il ne peut pas y avoir de flux de gènes entre ces deux populations! Voici quelques caractéristiques propres à l'ours polaire dont ne dispose pas l'ours brun!

-Des pattes plus longues et un arrière-train très puissants.

-Un museau beaucoup plus grand et fosses nasales comportent un réseau complexe d'échangeurs thermiques, permettant à l'air expiré de réchauffer un peu l'air polaire glacial avant qu'il n'atteigne les poumons.

-Un réflexe de plongée : quand il s'immerge, ses narines se ferment, son rythme cardiaque ralentit et son métabolisme musculaire aérobie à la surface devient anaérobie, limitant ainsi la consommation d'oxygène.

-Une membrane nictitante différente de celle des autres ours qui lui améliorerait sa vision sous l'eau en agissant comme une lentille supplémentaire.

-Une fourrure blanche et plus dense que celle des autres ours. Même les coussinets des pattes sont recouverts de fourrure en particulier vers la fin de l'hiver ; cela permet à l'ours polaire des déplacements plus sûrs sur la banquise et ces poils apportent une couche d'isolation supplémentaire entre la patte et le sol de glace et de neige.

-Des doigts partiellement palmés, lui permettant d'être un excellent nageur. Il n'utilise que ses pattes avant pour nager en effectuant un mouvement de pédalage, ses pattes arrière lui servant de gouvernail...

Mais si tu veux un exemple avec une barrière reproductive, c'est à dire l'impossibilité de se croiser, c'est à dire d'avoir une descendance fertile, en voici une!

La souris sylvestre américaine (Peromyscus maniculatus) forme un flux génétique entre 4 populations distinguées en sous-espèces (Peromyscus maniculatus borealis, Peromyscus maniculatus nebrascensis, Peromyscus maniculatus sonorienses, et Peromyscus maniculatus artemisiae). Celles-ci sont morphologiquement assez ressemblantes, vivent dans des régions différentes, mais se côtoient en certaines zones.

La particularité de ces 4 populations est leur interfécondité conditionnelle, appelée parfois cline. Conditionnelle car certaines populations peuvent se reproduire avec d'autres, mais certaines ne le peuvent plus. Le flux génétique faible allant d'une variété géographique à l'autre extrême est discontinu. Il suffirait donc que les sous espèces par lesquelles le flux génétique passe s'éteignent un jour (Peromyscus maniculatus nebrascensis et Peromyscus maniculatus sonorienses), pour qu'il ne reste plus que les deux sous-espèces incapables de se croiser entre elles : Peromyscus maniculatus borealis et Peromyscus maniculatus. N'ayant plus de flux génétique entre elles, ces dernières formeraient alors deux espèces biologiques ou génétiques distinctes. Le schéma ci-dessous explique clairement la problématique.

souris2bisbisps4.jpg

Il existe bien sûr d'autres exemples de ce type dans la Nature, en ajoutant les cas d'espèces s¿urs capables de n'avoir ensemble que des hybrides stériles!

En fait toutes ces données démontrent amplement l'évolution au delà de la barrière de l'espèce et donc démontrent la réalité même de la Macro-évolution! ;)

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Membre, 42ans Posté(e)
hhenry Membre 79 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
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excuse-moi, mais ces fragments d'os et ces crânes ne prouvent nullement qu'il s'agit d'homo abilis. On n'y était pas à l'époque !

De toute façon, on pourra dire ce qu'on veut sur ses fragments pour satisfaire des idées pré-conçus !

Je n'y adhère pas du tout.

Par contre, je suis persuadé de l'existence d'un créateur ce qu'en témoigne la nature.

Mais, je ne suis pas créationniste fondamentaliste. Ces derniers croient que les jours de création dans la genèse sont de 24 h chacunes.

Voila ce à quoi j'adhère :

Cet emploi large du mot ¿ jour ¿ pour désigner des unités de temps de durées différentes est manifeste dans le récit de la création que rapporte la Genèse. Il y est question d'une semaine de six jours de création suivis d'un septième jour de repos. La semaine que devaient observer les Juifs sous l'alliance de la Loi que Dieu leur avait donnée était un calque en petit de la semaine de création (Ex 20:8-11). Le récit des écritures concernant chacun des six jours de création se termine par ces mots : ¿ Et vint un soir et vint un matin ¿, un premier, un deuxième, un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième jour (Gn 1:5, 8, 13, 19, 23, 31). Toutefois, cette conclusion n'apparaît pas à propos du septième jour, ce qui indique que cette période, durant laquelle Dieu se repose de sa création relative à la terre, se prolongeait. En Hébreux 4:1-10, l'apôtre Paul montra que le jour de repos de Dieu se poursuivait dans sa génération, soit plus de 4 000 ans après le début de ce septième jour, période de repos. Cela démontre que chaque jour de création, ou période de travail, dura pour le moins des milliers d'années. Un ouvrage (A Religious Encyclopædia, vol. I, p. 613) fait observer ceci : ¿ Les jours de création furent des jours de travail créateur, des étapes dans la création, mais non des jours de vingt-quatre heures. ¿ ¿ Par P. Schaff, 1894.

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
excuse-moi, mais ces fragments d'os et ces crânes ne prouvent nullement qu'il s'agit d'homo abilis. On n'y était pas à l'époque!

De toute façon, on pourra dire ce qu'on veut sur ses fragments pour satisfaire des idées pré-conçus !

Je n'y adhère pas du tout.

Les enquêteurs qui sont en charge d'enquêtes criminels n'étaient généralement pas là quand le crime à eu lieu et pourtant ils peuvent souvent reconstituer le crime à élucidé!

Bienvenue dans le monde des science de reconstitution!

Et encore une fois il n'y a pas que les fragments du squelette post-crânien mais aussi le crâne dont les caractéristiques tel que le volume crânien, la forme de la boître crânienne, la structure crânio-faciale et la dentition sont révélatrice de plus l'étude du pied incomplet (il manque l'extrêmité du pied) mais dont la partie préserver et en bon état de conservation, nous montre comme la crâne une structure intermédiaire entre ce que l'on considère comme simien et ce que l'on considère comme humain! Par ailleurs d'autres hominidés fossiles aux structures intermédiaires ont également été retrouvé et en fait en comparant les divers crânes d'hominidés on remarque une réelle continuité entre ce que l'on appelle communément un singe et les êtres humains!

Maintenant si tu préfères tout balayer d'un revers de main grand bien te fasse!

Par contre, je suis persuadé de l'existence d'un créateur ce qu'en témoigne la nature.

Ce tu es persuadé est une pure conviction il n'existe aucune preuve (preuve scientifique s'entend bien car nous sommes quand même dans la partie Science de ce forum) de l'existence d'un créateur, mais chacun est libre de croire en l'existence de ce dernier!

Mais, je ne suis pas créationniste fondamentaliste.

Mais alors tu es quoi?! Tu crois que les espèces ont été créé tel quel par une entité transcendante c'est à dire surnaturelle?! Bah tu crois ce que tu veux mais ait bien conscience tu es donc en dehors du champ de la Science!

Ces derniers croient que les jours de création dans la genèse sont de 24 h chacunes.

Voila ce à quoi j'adhère :

Cet emploi large du mot ¿ jour ¿ pour désigner des unités de temps de durées différentes est manifeste dans le récit de la création que rapporte la Genèse. Il y est question d'une semaine de six jours de création suivis d'un septième jour de repos. La semaine que devaient observer les Juifs sous l'alliance de la Loi que Dieu leur avait donnée était un calque en petit de la semaine de création (Ex 20:8-11). Le récit des écritures concernant chacun des six jours de création se termine par ces mots : ¿ Et vint un soir et vint un matin ¿, un premier, un deuxième, un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième jour (Gn 1:5, 8, 13, 19, 23, 31). Toutefois, cette conclusion n'apparaît pas à propos du septième jour, ce qui indique que cette période, durant laquelle Dieu se repose de sa création relative à la terre, se prolongeait. En Hébreux 4:1-10, l'apôtre Paul montra que le jour de repos de Dieu se poursuivait dans sa génération, soit plus de 4 000 ans après le début de ce septième jour, période de repos. Cela démontre que chaque jour de création, ou période de travail, dura pour le moins des milliers d'années. Un ouvrage (A Religious Encyclopædia, vol. I, p. 613) fait observer ceci : ¿ Les jours de création furent des jours de travail créateur, des étapes dans la création, mais non des jours de vingt-quatre heures. ¿ ¿ Par P. Schaff, 1894.

Franchement que Dieu ait créé le monde et les divers espèces en quelques jours ou en plusieurs milliers d'années ça ne change rien par apport au présent sujet de ce topic puisque l'idée d'une création surnaturelle n'est pas de la Science!

Bref pour exprimé tes convictions religieuses ce n'est pas le bon endroit! :smile2:

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
Posté(e)
Franchement que Dieu ait créé le monde et les divers espèces en quelques jours ou en plusieurs milliers d'années ça ne change rien par apport au présent sujet de ce topic puisque l'idée d'une création surnaturelle n'est pas de la Science!

Ah oui et en vertue de quel principe ou preuve scientifique??? ;)

Est-ce que tu pourrais me citer un article scientifique qui fairait la preuve qu'une telle eventualite est desormais a ecartee?

Ou n'est-ce la qu'une autre de tes eculubrations atheistes? :smile2:

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
Ah oui et en vertue de quel principe ou preuve scientifique??? ;)

Est-ce que tu pourrais me citer un article scientifique qui fairait la preuve qu'une telle eventualite est desormais a ecartee?

Ou n'est-ce la qu'une autre de tes eculubrations atheistes? :smile2:

;)

Plus tu interviens sur ce forum plus tes posts tournent au vinaigre mon Kyrilluk, deuxième fois que tu assimiles mes présents posts à de l'athéisme! ;)

Le surnaturel, la magie et les miracles ne font pas partie de la Science car sont scientifiquement inexplicables et donc indémontrables et irréfutables! Donc oui mon Kyrilluk on ne peut pas l'écarté vu que c'est irréfutable scientifiquement! :bravo:

Tient je te laisse te référer à la plume du célèbre créationniste américain Duane Gish concernant la création!

«Par création nous entendons l'apparition du à un Créateur surnaturel des espèces élémentaires de plantes et d'animaux, au moyen d'une création soudaine. Nous ne savons pas comment le Créateur à créé, quelles méthodes Il a utilisées, car Il a utilisé des méthodes qui n'opèrent plus à l'heure actuelle où que se soit dans l'univers naturel. C'est pourquoi nous disons que la création est spéciale. Nous ne pouvons découvrir par la recherche scientifique les méthodes créatrices qu'a utilisé le Créateur.»

Duane Gish

Amusant n'est-il pas?!

Le jour où tu nous posteras une jolie démonstration scientifique avec preuves scientifiques à l'appuie sur les mécanismes de la création on en reparlera! :mouai:

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
Posté(e)
:smile2:

Le surnature ne font pas partie de la Science car sont scientifiquement inexplicables et donc indémontrables et irréfutables! Donc oui mon Kyrilluk on ne peut pas l'écarté vu que c'est irréfutable scientifiquement! ;)

Non mon coco. Tu as fais reference a l'idee d'une creation comme ne faisant pas parti du champ d'activite de la science.

Lorsque l'on fait des declaration peremptoire sur ce qu'est ou n'est pas la science, encore faudrait-il savoir ce qu'est la science. Et vu la tonne d'annerie que tu debites, il me semble justifier de remettre en cause TA definition de la science.

A la base, ecarter l'hypothese d'un createur, comme tu le fais, n'est absoluement pas scientifique. Je t'ai demander si tu pouvais me fournir ne serais-ce UN seul article scientifique justifiant cette position et tu en as ete incapable. Preuve si il en etait besoin que la position que tu adoptes qui consiste a ecarter d'emblee l'existence d'une explication alternatives aux theories de l'evolutions est sans base scientifiques mais plutot motive par ton atheisme.

D'autre part, il est possible grace a la science de prouver si quelque chose est le fruit du hasard ou si cette chose a ete concue et creer. Lorsque une situation (du genre un mec trouver avec 5 balles dans le corps) est trop improbable pour avoir put surgir de maniere "naturelle" ont requiert la presence d'une tiers personne. Idem avec la creation du cosmos, de la premiere cellule ou des animaux: si leur presence requiert une probabilite trop infime pour etre consideree comme un evenement probable alors, en utilisant les memes methodes scientifiques que l'on utilise pour detecter par exemple une fraude*, l'on peut inferer la presence d'un createur.

*Au Canada, un statisticien a eu la bonne idee de verifier la cadence a laquel les buralistes gagnaient le loto (au gratage). Sur 60000 ticket de lotto vendu, les buralistes ont gagne pres de 200 fois. Le cote interressant de la chose, c'est qu'au lieu de dire "ben c'est la chance, il fallait bien que quelqu'un gagne, meme si ces buralistes ont une chance incroyable" comme l'aurait put faire un evolutioniste dans ton genre, ou encore " ce doit du a un phenomene d'auto-arrangement provocant une augmentation de la complexite du systeme et par consequent rendant possible ce taux anomalement eleve de gain", il a ete "rationnel" et il a telephoner a la police. Resultat des courses: pas mal de buralistes se sont retrouver en taule. Tu noteras aussi que pour declancher l'investigation, il n'y a pas eu besoin de dire comment ces buralistes ont procede pour frauder. Il a suffit de montrer que les chances pour que cela soit du au pure hasards etaient faibles.

Ontario lotto officials defend security as report raises questions

Modifié par kyrilluk
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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)

Ouaich tes posts tournent vraiment de plus en plus au vinaigre de plus tu es tellement à cours de débilités que tu dois ressortir des débilités que tu as déjà débité jadis sur ce forum!

Je sais pas si t'as pigé qu'un meurtre par balle s'explique sans cause surnaturel de même qu'une fraude à la loterie n'est pas le fruit de créateurs surnaturels et qu'il y a une explication parfaitement naturel que les fraudeurs peuvent eux-mêmes expliqués tout aussi naturellement sans faire appelle à la magie à la transcendance ou à la fin clochette (normal c'est eux qui l'on mise en place)! Il n'y a aucune composante surnaturelle et inexplicable derrière ces affaires tout au plus ne sont-elles pas encore expliquées (exemple du crime irrésolu) mais elles sont toutes susceptibles être expliquées (cela est bien illustré dans le Double assassinat dans la rue Morgue d'Edgar Allan Poe)! L'idée d'un meurtre et l'idée d'une fraude peuvent toutes les deux faire l'objet d'une investigation scientifique, l'idée d'une création divine, NON! Et je te mets au défi de me démontrer le contraire! :smile2:

Bref sort ta tête de ton honorable postérieur mon Kyrilluk et revient me faire signe quand tu auras une démonstration scientifique de ton créationnisme, ce qui exclue tes ergotages statistico-nigologiques à la sauce casino ou loterie que tu appliques de manière clownesque à la biologie et à la paléontologie! Bah oui en Science faut proposer des mécanismes/modèles explicatifs démontrables et falsifiables, tous tes ergotages neuneus vide de toutes substance, faisant dévier du sujet et profondément débiles, ne font que prouver que tu bottes lamentablement en touche! ;)

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
Posté(e)
Ben si ça le prouve de plus ça prouve que les mutations positives ont bel et bien lieu puisque personne ne serait assez con pour dire que l'ours polaire est le fruit de mutations strictement négatives ou neutre depuis son ancêtre brun! ;)

En fait l'ours brun et l'ours polaire ne sont pas classé comme appartenant à la même espèce car ayant accumulé des différences trop importantes rendant leur croisement dans la Nature quasiment impossible au point qu'il ne peut pas y avoir de flux de gènes entre ces deux populations! Voici quelques caractéristiques propres à l'ours polaire dont ne dispose pas l'ours brun!

...blabla darwinien sans interet

Tu racontes la encore n'importe quoi (c'est devenu une habitude chez toi...). Tu fais de la vaine speculation sur la possiblite de reproduction entre l'ours brun et l'ours polaire, tout ca pour affirmer qu'il s'agirait de deux especes differentes et que par consequent, les simples adaptions que tu mentionnes par la suite serait la preuve de MacroEvolution.

Deja d'une des ours brun et des ours polaire ont deja ete interbride (donc ton argument numero un part a la poubelle, illico presto...): en faite, non seulement dans des zoos mais aussi a l'Etat naturelle. Par consequent il s'agit de la meme espece.

Non seulement cela mais leur descendance est fertile elle aussi! Voir Wild find: Half grizzly, half polar bear

Deuxiement la liste que tu donnes de differences entre l'ours polaire et l'ours brun est probablement fausse dans la mesure ou certaines de ces characteristiques existent dans les 2 races d'ours! D'autres characteristiques sont de simples adaptions, similaires a celles que l'on voit dans les differentes races de chien ou de chats.

Donc si c'est ca ton mega argument pour la MacroEvolution, alors c'est clair que ca craint... :smile2:

Ouaich tes posts tournent vraiment de plus en plus bla bla bla bla... sans interet.

autruchewv0.jpg

Mes arguments sont a la fois scientifiques et philosophiques. Les tiens releve plus du "pipi-caca-prout" la-la-la-lere je ne t'ecoute plus..."

En d'autre terme: absolument sans interet.

Appelle moi quand tu en auras marre de mettre ta tete dans le sable...

autruche.jpg

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
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Tu racontes la encore n'importe quoi (c'est devenu une habitude chez toi...). Tu fais de la vaine speculation sur la possiblite de reproduction entre l'ours brun et l'ours polaire, tout ca pour affirmer qu'il s'agirait de deux especes differentes et que par consequent, les simples adaptions que tu mentionnes par la suite serait la preuve de MacroEvolution.

Deja d'une des ours brun et des ours polaire ont deja ete interbride (donc ton argument numero un part a la poubelle, illico presto...): en faite, non seulement dans des zoos mais aussi a l'Etat naturelle. Par consequent il s'agit de la meme espece.

Non seulement cela mais leur descendance est fertile elle aussi! Voir Wild find: Half grizzly, half polar bear

Deuxiement la liste que tu donnes de differences entre l'ours polaire et l'ours brun est probablement fausse dans la mesure ou certaines de ces characteristiques existent dans les 2 races d'ours! D'autres characteristiques sont de simples adaptions, similaires a celles que l'on voit dans les differentes races de chien ou de chats.

Donc si c'est ca ton mega argument pour la MacroEvolution, alors c'est clair que ca craint... ;)

Non mon gogol c'est toi qui ne sait apparemment pas lire plus tu postes dans ce forum plus tes posts deviennent pitoyables, tout d'abord j'ai moi même préciser que l'ours brun et l'ours polaire peuvent avoir une progéniture fertile, tu l'as oublié?!

L'ours polaire descend de l'ours brun et mieux encore en captivité on a constaté que l'ours polaire et l'ours brun pouvaient avoir ensemble une progéniture fertile! La parenté de ces deux taxons ne fait aucun doute! Ainsi l'ours polaire est un exemple flagrant d'évolution!

Que l'ours brun et l'ours polaire peuvent donc s'hybrider occasionnellement est possible mais qu'un flux de gène conséquent ait lieu non, car éthologiquement les deux taxons ont tendance à s'éviter et surtout ils ne sont pas adaptés au même milieu!

Tu dis que l'on retrouve ces deux caractéristiques dans les deux races d'ours mais alors mon tout petit Kyrillukounet d'amour pourquoi les ours brun ne s'aventurent-ils pas dans les habitats glacés de l'ours polaires autrement qu'occasionnellement)?! A ton avis un ours brun peut-il survivre dans l'habitat de l'ours polaire?! ;)

Non parce que les ours polaires sont adaptés à des milieux qui ne conviennent pas du tout à l'ours brun qui ne disposent pas des caractéristiques biologiques qui rend l'ours polaire adapté à un milieu aussi hostile, tu piges?! :bravo:

Aller ose dire que je dis n'importe quoi qu'on rigole un peu! :mouai:

Faut dire que cet exemple des ours polaire est très emmerdant pour ta petite personne mon petit Kyrillukounet d'amour car il s'agit bel et bien d'une évolution avec apparition de caractéristiques permettant l'adaptation à un habitat particulièrement hostile et aussi un isolement écologique et éthologique par apport à la population ancestrale, appelle ça une spéciation en cours et inachevé si tu préfères!

Ce qui est marrant d'ailleurs c'est que dans la nature on trouve d'autres exemples avec cette fois des isolement reproductifs encore plus prononcés car avec cette fois des hybrides stériles ou peu viables, bref autant d'exemples de Macro-évolution en cours c'est à dire d'évolution au delà de la barrière de l'espèce! ;)

Mais bon si pour toi apparition de nouvelles adaptations, des isolement reproductifs prézygotique et des isolements postzygotiques ne constituent pas des cas d'évolution alors autant dire que tu es vraiment un sacré spécimens mon petit Kyrillukounet d'amour! :blush:

Mes arguments sont a la fois scientifiques et philosophiques. Les tiens releve plus du "pipi-caca-prout" la-la-la-lere je ne t'ecoute plus..."

:smile2:

Tu n'apportes aucun argument scientifiques tu répètes en boucles des niaiseries en ignorant tout ce les éléments scientifiques que l'on t'apporte!

Tient au fait reconnais-tu enfin que Archaeoptéryx de part ses divers caractéristiques morphologiques est une forme transitoires?! Oui ou non?!

En d'autre terme: absolument sans interet.

Appelle moi quand tu en auras marre de mettre ta tete dans le sable...

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J'adore ta façon de projeter tes travers sur tes contradicteurs tu ferais un excellent sujet d'étude psychiatrique mon tout petit Kyrillukounet d'amour!

En effet on te commente les caractéristiques qui font d'un fossile une forme intermédiaires, tu les ignores!

On te sors l'exemple de spéciation tu les ignores!

On te sort l'exemple d'une spéciation en cours avec des caractéristiques adaptatives permettant une adaptation dans un milieu hostile et que fais-tu?! Tu dénigre l'exemple présenté et ne vois même pas en quoi cela réfutes tes âneries voulant notamment qu'il ne peut pas y avoir de mutations positives (ben tu crois que les adaptation de l'ours polaire sont le fruit d'une destruction de son patrimoine génétique comme tu aimais si bien le dire?)! ;)

Je n'ai pas oublier non plus ton magnifique bottage en touche dans le topic que tu avais ouvert sur l'évolution des oiseaux! ;)

Continue comme ça, plus tu poste plus tu t'enfonces!

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Membre, 42ans Posté(e)
hhenry Membre 79 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
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Un peu de science : Le phénomène "entropie"

Par expérience personnelle, sans doute savez-vous que toute chose tend vers le désordre. Comme peut le constater quiconque a une maison, tout ce qu'on laisse sans soin a tendance à se détériorer ou à se décomposer. Les scientifiques appellent ce phénomène ¿ la seconde loi de la thermodynamique ¿, et nous en vérifions les effets tous les jours. Reléguez une voiture ou une bicyclette neuve dans un coin, et elle deviendra un morceau de ferraille. Abandonnez une maison, et elle tombera en ruine. Qu'en est-il de l'univers ? Lui aussi est soumis à cette loi. Vous pourriez donc penser que l'ordre existant dans tout l'univers devait à la longue céder le pas au désordre total.

Or, il semble que ce ne soit pas le cas, comme l'a découvert le mathématicien Roger Penrose en étudiant l'état de désordre (ou entropie) de l'univers observable. Une interprétation logique de ces découvertes amène à la conclusion que l'univers était dans un état ordonné à son début et qu'il est resté extrêmement organisé. L'astrophysicien Alan Lightman a fait remarquer que les scientifiques ¿ trouvent curieux que l'univers ait été créé dans un état aussi hautement ordonné ¿, ajoutant qu'¿ aucune théorie cosmologique concluante ne pourra se dispenser en dernier lieu d'expliquer ce problème d'entropie ¿, de dire pourquoi l'univers n'est pas devenu chaotique.

En fait, notre existence va à l'encontre de cette loi reconnue. Dès lors, comment se fait-il que nous soyons en vie sur terre ? Comme nous l'avons déjà dit, il s'agit là d'une question essentielle à laquelle nous devrions vouloir une réponse

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
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Ca veut dire quoi extrêmement organisé?! C'est foutrement subjectif pour moi l'univers actuel n'est pas extrêmement organisé, poils aux nez!

Mais surtout là il n'est plus question d'évolution pas même de biologie donc c'est pour le moins HS par apport à ce dont il est question dans ce topic! Néanmoins si tu as été pêché l'idée que l'évolution violerait la deuxième loi de la Thermodynamique (un classique des créationnistes) je te rappelle que cette loi s'applique aux système fermés ne recevant aucune source d'énergie externe or la Terre où la vie évolue n'est pas un système fermé puisque nous recevons de l'énergie en provenance du Soleil qui donc, tant qu'elle aura encore du combustible à brûler, fournira la Terre en énergie!

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Membre, 42ans Posté(e)
hhenry Membre 79 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
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é propos des formes dites intermédiaires, Charles Darwin écrivit :

¿Si les espèces dérivent d'autres espèces par des degrés insensibles, pourquoi ne rencontrons-nous pas d'innombrables formes de transition ? Pourquoi tout n'est-il pas dans la nature à l'état de confusion ? Pourquoi les espèces sont-elles si bien définies ? (...)

¿Pourquoi ne trouvons-nous pas fréquemment dans la croûte terrestre les restes de ces innombrables formes de transition qui, d'après cette hypothèse [évolutionniste], ont dû exister ? (...)

¿Les recherches géologiques (...) ne présentent cependant pas, entre les espèces actuelles et les espèces passées, toutes les gradations infinies et insensibles que réclame ma théorie.¿

Comment Darwin s'expliquait-il ces lacunes ? Laissons-le répondre : ¿Je me bornerai à dire ici que les documents fournis par la géologie sont infiniment moins complets qu'on ne le croit ordinairement.¿ Ce qui ne l'empêcha pas d'ajouter plus loin : ¿Mais, si nous concentrons notre examen sur une formation quelconque, il devient beaucoup plus difficile de comprendre pourquoi nous n'y trouvons pas une série étroitement graduée des variétés qui ont dû relier les espèces voisines.¿

La situation a-t-elle changé sous ce rapport depuis l'époque de Darwin ? Les types intermédiaires faisant chaîne entre les grands groupes d'organismes vivants ont-ils été trouvés parmi les fossiles ? Notez ce qu'écrit le célèbre évolutionniste George Gaylord Simpson, professeur à l'Université Harvard, dans son ouvrage Les facteurs principaux de l'évolution (angl.) :

¿Il demeure vrai, comme tout paléontologiste le sait, que la plupart des espèces, des genres et des familles, et presque toutes les catégories nouvelles au-dessus du niveau de la famille, apparaissent brusquement. Nous ne trouvons aucune succession continue et progressive de formes transitionnelles.¿

Ce même fait est signalé par R. S. Romer, professeur de zoologie à l'Université Harvard. écrivant dans le livre La génétique, la paléontologie et l'évolution (angl.), ouvrage édité par les illustres évolutionnistes Glenn L. Jepsen, Ernst Mayr et George Gaylord Simpson, Romer déclare :

¿Pour ce qui est des brusques changements évolutifs dans les lignes animales, le processus a pu être typiquement néo-darwinien, soit l'accumulation de nombreuses mutations adaptatives de faible amplitude, une accumulation cependant extraordinairement rapide. Malheureusement, il existe en général peu de preuves sur ce point parmi les documents fossiles, car des formes évolutives intermédiaires représentant ce phénomène sont extrêmement rares. (...)

¿Les ¿chaînons' manquent là où nous désirons le plus ardemment les voir, et il est très probable que de nombreux ¿chaînons' continueront de faire défaut.¿

é propos de cette question des chaînons manquants, D'Arcy Thompson a écrit dans son ouvrage Croissance et morphologie (angl.) :

¿Quatre-vingts années d'étude de l'évolutionnisme darwinien ne nous ont pas appris comment les oiseaux sont descendus des reptiles, les mammifères, des premiers quadrupèdes, les quadrupèdes des poissons, ou les vertébrés des invertébrés. Nous rencontrons des difficultés analogues même chez les invertébrés (...). Le fossé entre les vertébrés et les invertébrés, les vers et les c¿lentérés, les c¿lentérés et les protozoaires, (...) est tellement énorme qu'il nous est impossible de voir d'un bord du gouffre à l'autre. (...)

¿Nous franchissons une barrière chaque fois que nous passons d'une famille à l'autre, ou d'un groupe à un autre. (...)

¿Un ¿principe de discontinuité' est donc inhérent à toutes nos classifications, (...) et ce sera toujours en vain qu'on cherchera des passages intermédiaires pour combler les lacunes.¿

Nous nous trouvons devant les mêmes faits dans le domaine de la vie végétale. Heribert Nilsson, professeur de botanique à l'université de Lund, en Suède, écrit dans son livre La spéciation synthétique (angl.) :

¿Si l'on examine les grands groupes spécifiques de la flore fossilisée, on est frappé de constater qu'à des intervalles réguliers au cours des temps géologiques, ces groupes apparaissent subitement, pleinement épanouis et bien diversifiés. Et l'on est tout aussi étonné de remarquer qu'au bout d'une période qui se mesure, non simplement par millions, mais par des dizaines de millions d'années, ces groupes disparaissent aussi brusquement qu'ils sont apparus. En outre, au terme de leur existence, ils ne se transforment pas en des formes de transition les reliant aux types principaux de la période suivante ; ces formes intermédiaires font complètement défaut.¿

Non seulement il n'existe aucune forme de transition entre les grands groupes d'animaux et de végétaux parmi les documents fossiles, mais il n'y a aucun type intermédiaire entre les grands groupes de végétaux et d'animaux actuellement vivants. Dans son livre La génétique et l'origine des espèces (angl.), le célèbre évolutionniste Dobzhansky, professeur à l'Université Columbia, déclare :

¿Si nous assemblons le plus grand nombre possible d'individus vivant à une époque donnée, d'emblée nous remarquons que les variations observées ne revêtent aucune forme de distribution continue. On trouve plutôt une multitude de distributions séparées et discontinues. Le monde vivant n'est pas une série unique dans laquelle deux variations différentes sont reliées par une suite ininterrompue de formes de passage, mais plutôt une série de séries plus on moins séparées et distinctes, dont les formes intermédiaires sont absentes, ou tout au moins rares.¿

Parmi les anthropoïdes vivants, censés être nos plus proches voisins zoologiques, on ne trouve aucun type intermédiaire, aucun grand singe qui se rapproche de l'homme. De même, parmi les animaux vivants, il n'y en a aucun qui représente une forme de transition montrant l'origine des anthropoïdes. On ne trouve non plus aucun des ancêtres supposés des anthropoïdes parmi les fossiles. Le livre Les Primates, publié en français en 1966, déclare à ce sujet :

¿Malheureusement, nous ne disposons que de documents fossiles très incomplets sur l'origine des Anthropomorphes. Nous ne savons pas à quel moment et en quel lieu les premiers Anthropomorphes ont commencé à se différencier à partir des Singes proprement dits.¿

D'aucuns prétendront cependant que le cheval au moins fournit un exemple classique d'une évolution attestée par des formes intermédiaires fossilisées. Les défenseurs de l'évolutionnisme citent l'éohippus, petit animal de la taille d'un renard, comme point de départ d'une série de fossiles progressivement plus grands, aboutissant au cheval moderne. En fait, les fossiles ne confirment nulle part cette classification en une série évolutive. On a trouvé dans la même couche géologique deux et parfois trois types différents de chevaux. Certains d'entre eux ont été trouvés à des endroits très éloignés les uns des autres.

é propos de l'évolution du cheval, un article publié dans Science News Letter portait ce titre : ¿Le petit éohippus n'est pas l'ancêtre direct du cheval¿. L'article déclarait :

¿L'arbre généalogique du cheval ne correspond pas à celui qui a été construit par les hommes de science. Lors d'une réunion de l'Association britannique pour l'avancement des sciences, tenue à édimbourg, T. S. Westoll, géologue et professeur à l'université de Durham, a affirmé que l'arbre généalogique du cheval devenue classique chez les évolutionnistes, qui commence par l'éohippus, de la taille d'un chien, et monte en ligne directe jusqu'à l'équinus des temps actuels, est complètement erroné.¿

écrivant au sujet de la série de fossiles qui sont censés relier l'éohippus au cheval moderne, l'évolutionniste Lecomte du Noüy déclara ce qui suit, dans son ouvrage L'homme et sa destinée :

¿Chacun de ces intermédiaires semble avoir fait une apparition ¿soudaine', et l'on n'a pas encore reconstitué (faute de fossiles) le passage entre ces intermédiaires. (...) Les formes connues restent séparées comme les piles d'un pont démoli. (...) La continuité que nous pressentons ne sera peut-être jamais établie sur des faits.¿

LA THéORIE de l'évolution soutient que la première particule vivante sur la terre surgit par ses propres moyens à partir de la matière inanimée. Toute matière terrestre est composée d'éléments chimiques de base. Un élément est une substance constituée entièrement d'atomes de même numéro atomique, qui ne peut être décomposée par les méthodes normales d'analyse chimique.

A-t-on constaté des tendances évolutives dans les éléments terrestres ? Non, car la plupart des atomes sont stables, alors que certains d'entre eux se transforment par désintégration en un élément stable plus simple.

Ce fait est en accord avec le principe scientifique auquel on a donné le nom d'¿entropie¿. Ce terme désigne essentiellement la tendance qu'a toute structure organisée à rétrograder vers une structure moins organisée. Il n'y a jamais un gain d'ordre sans l'intervention d'une force extérieure. Prenons un exemple : Les éléments de la terre, livrés à eux-mêmes, parviendraient-ils à s'assembler pour former une automobile, voire un simple organe de transmission ? Bien au contraire, les éléments demeurent inchangés. Même lorsqu'ils sont façonnés par l'homme pour former une machine, celle-ci se dégrade si elle est abandonnée.

Voici une autre analogie : Déposez dans un grand tonneau des morceaux d'acier, de verre, de caoutchouc et d'autres matières, puis faites tourner le tonneau des milliers de fois. En ouvrant le récipient, découvririez-vous que ces matériaux se sont organisés d'eux-mêmes, de façon à former une voiture ? Jamais ! Quel que soit le nombre de fois que vous répéteriez cette expérience, vous ne trouveriez qu'un mélange de ces diverses substances. Nous pouvons dégager de ce fait une vérité fondamentale.

Il faut se rendre à l'évidence : La matière inanimée ne cherche pas à s'améliorer ; elle tend, au contraire, vers un état de neutralisation ou de stabilité. Il ne sert à rien d'invoquer l'aide d'énormes périodes de temps. Le temps produit la décomposition, la désintégration. Il provoque la corrosion des métaux, l'érosion des roches. Le temps est un principe de destruction et non un facteur constructif. Le temps est l'ennemi de l'évolution.

Cela est également confirmé par le principe de l'inertie. Ce terme désigne la tendance qu'ont tous les corps à demeurer immobiles s'ils sont déjà au repos, ou, s'ils sont mobiles, à se déplacer toujours dans la même direction, à moins qu'ils ne soient soumis à l'action d'une force extérieure. Par exemple, un ballon ne s'élèvera pas du sol tout seul ; il faut quelqu'un pour le lancer. Une charrette restera immobile, à moins de subir l'action d'une force. La matière inanimée, dépourvue de mouvement, d'énergie et de vie, serait restée indéfiniment inerte sans l'intervention d'une force extérieure directrice et organisatrice.

Dans sa critique du livre Mécanisme et vitalisme (angl.) de R. Schubert-Soldern, la revue Discovery de mai 1962 déclarait :

¿¿Toutes les molécules résultent d'une tendance électrochimique à la neutralisation. Elles sont, par conséquent, des manifestations de tendances vers la stabilité.' Cependant, malheureusement pour les matérialistes, la vie est, d'une manière caractéristique, instable, et ¿il est inconcevable qu'un groupe de substances tendant toutes à un état de stabilité puisse produire l'instabilité chimique permanente qui caractérise la matière animée'. Il est donc inconcevable qu'un composé organique puisse se former en l'absence de la vie. ¿On ne peut même pas imaginer la matière inorganique dans des conditions où le carbone, l'oxygène et l'hydrogène puissent se combiner pour former un sucre plutôt que de l'eau et du gaz carbonique42.'¿

Ainsi, les faits ne révèlent aucune évolution progressive des éléments de la terre vers des substances plus complexes ou des composés organiques. Par ailleurs, si l'évolution était une réalité, les éléments inanimés auraient dû se transformer, non pas simplement en d'autres éléments ou en des corps composés organiques, mais en quelque chose d'infiniment plus compliqué : en une cellule vivante.

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
Hhenry cite une autre pavé d'inepties créationnistes

Mon cher Hhenry encore une fois tu cites un pavés d'inepties créationnistes qui ont déjà été réfuté plusieurs fois dans ce forum!

Depuis darwin de nombreuses formes intermédiaires ont été retrouvé y compris en ce qui concerne l'évolution du Cheval! Il est vrai que l'évolution n'est ni uniformément lente et linéaire mais au contraire souvent saccadé et extrêmement buissonnante et que donc on ne peut pas pas bêtement aligner tous les fossiles de chevaux comme formant une séquence linéaire d'ancêtres à descendants, mais il n'en demeure pas moins que nous avons là de magnifique formes intermédiaires exactement comme la Théorie de l'évolution le prédit, cela est également valable pour de nombreuses autres lignées y compris la notre!

Quand à la dernière phrase sur la matière inanimée mouarf, c'est encore plus risible que le reste, déjà que ce n'est vraiment pas malin que de confondre Abiogenèse (ici réduit à une caricature à la sauce créationniste) et évolution!!

Si tu veux être convaincant Hhenry il serait bien que tu te renseigne tout d'abord sur la Théorie de l'évolution que tu ne maîtrise apparemment pas du tout et que tu n'hésite pas à poser des question sur cette dernière, car la seule chose que tu nous montres avec ces textes créationnistes c'est au mieux que les créationnistes sont de parfaits ignares au pire qu'il sont extrêmement malhonnêtes!

Bref fait nous signe lorsque tu auras compris un peu la matière débattu ici et lorsque tu auras réellement des éléments pertinents à apporter!

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
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Bref tu t'interroge sur la transition non-poule ==> poule! C'est pareil qu'avec la transition non-humain ==> humain, descendance avec modification sur de nombreuses générations! Rien de primordial ou de première origine, le B.A-BA de la Biologie évolutive!

Mais il existe un instant "t" à l'échelle sidérale ou l'évolution de l'embryon acquiert le premier maillon de ce qui sera l'ADN de la poule. Pour la terre ce big bang primordial a duré une seconde. Pour la poule ce big bang primordial a peut-être duré 1 million d'années ... ou plus!! Finalement c'est plus difficile de faire une poule que l'univers car il a fallu refaire des millions de fois....l'oeuf!! :smile2:

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
Mais il existe un instant "t" à l'échelle sidérale ou l'évolution de l'embryon acquiert le premier maillon de ce qui sera l'ADN de la poule. Pour la terre ce big bang primordial a duré une seconde. Pour la poule ce big bang primordial a peut-être duré 1 million d'années ... ou plus!! Finalement c'est plus difficile de faire une poule que l'univers car il a fallu refaire des millions de fois....l'oeuf!! :smile2:

C'est quoi ça le premier maillon de ce qui sera l'ADN de la poule?! Tu veux dire quand est apparu par mutation une des caractéristiques génétique propre seulement aux poules?! Ben tu as déjà la réponse par mutation, mutation qui s'est fixé dans la population ancestrale par sélection ou dérive génétique, pareille pour toutes les mutations qui suivront au fil des millions d'année! C'est bon tu as compris la chose?!

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