Libère-moi de mes mots...de mes maux....

Ma ptite fée, ma tendresse,

qui prie pour qu'il te laisse,

je veille à ta tristesse,

tu partiras dans les caresses,

lui faire comprendre,

c' est ta demande,

ne plus attendre,

il faut qu'il m'entende ,

lui parler lui dire,

que ton seul désir est de partir,

ma ptite souffrance,

qui a bercé mon enfance,

ma source de patience,

je viens te libérer....

je suis le fils du mélange, héritier du métissage

Porteur de vérités, malgré moi un petit sage

Mon passé parle de chaînes, de blues et de coton

Mon quotidien regrette tant de bouzes dans le peloton

Colorié par le soleil, peau satinée

Ne trouve la paix que dans le sommeil, ultimatum sont toutes mes matinées

Fils éternel fier du cordon ombillical

J'ai le mordant lyrical même dans mes nuits dominicales.

Bonheur = amour.... mwais ça dépend pour qui..

Honneur jusqu'à la mort de porter le nom Bourguit

Homme déçu par les femmes qui réapprend à aimer

A travers ces personnes, celle qui font qu'il est né

J'effecerais mes erreurs par un quelconque gommage

Je vis pour ceux que j'aime, je ne suis que leur hommage

Les rimes, mon jardin secret costament en verdure

Mon ange gardien me protégeant de toute son envergure

Je suis l'exhibiton de ce que nous maquillons

La chenille de jadis est devenu papillon

Comme son île d'origine et il déploie ses ailes

aspirées dans l'azur, allourdies par le sel.

Très évasif dans mes rêves j'ai souvent fait un saut

à ces moments ma plumme, se transforme en pinceau

je me mets à peindre des vers, souvent couleur madras

et je deviens nostalgique quand la douleur m'agace.

Ma vie est un vivier de phases à profusion

j'ai les rimes dans les sang, j'écris sous perfusion.

De mon coeur à ma bouche, il n'y a pas d'émissaires ;

J'ai changé ma vision en changeant d'hémisphère.

Je prend de la valeur quand le stylo est mien

J'écris sans attahes, je suis un poète bohémien.

Du sang dans les yeux, plus rien dans mes veines,

hébétée devant ce vide, ma voix reste en suspend,

devant cet acte tortueux, devant toute cette peine,

oublier les moment torrides, partir avec le vent,

à cause de quelques mots malheureux, me vient cette haine.

Poursuivre mes démons, m'avouer vaincue,

plus jamais il ne sera là, relation cassée,

à gravir, à vouloir ma raison, mon âme est perdue,

essayer de la retrouver sans fracas, me laisser la caresser,

l'attirer sans émotions, l'attendre convaincue....

Quel manque de personnalité,

que de vouloir s'approprier,

une pensée, le peau de l'autre.

Se permettre de voler,

une attention sollicitée,

un regard ainsi posé.

S'octroyer un moment passé,

le divulguer sans intérêt,

le manier sans complexe,

se ressourcer d'un autre texte.

Va voir ailleurs fine fleur,

j'en ai fini de mes pleurs,

si voler ma chair te fait frémir,

allez va, je te laisse courir ....

Envoutée de ta saveur,

Je te suivrais même en enfer.

Nous y allumerons des brasiers.

Pour nos corps sans cesse consumés.

Tels deux ph¿nix nous renaitrons,

Pour nous prendre en corps et en corps.

Eblouie moi, possède moi.

Je t'accueillerais dans l'antre d'Aphrodite,

Tu y trouveras douceur et moiteur,

Tortures exquises et miel en liqueur.

Sur les braises de l'enfer,

Ou sur les cotons du paradis,

Tu connaitras la Jouissance éternelle.

J'aime... faire l'amour avec toi

Comme un jeu sans règles ni lois...

J'aime... quand la lubie nous étreint

Quand la tentation vient...

Que tu glisses à mon oreille

Tous ces mots qui m'éveillent...

J'aime¿ quand déjà tu me fais l'amour de tes yeux

Quand j'ai l'audace de te provoquer au jeu..

Quand je plonge dans la tentation,

Quand mon esprit en perd la raison,

Quand je suis en excitation...

J'aime¿ quand tu me caresse jusqu'à surexcitation,

Quand mon corps devient en exaltation,

Quand je t'offre mon corps en pleine ivresse,

Quand tu me réponds par d'infini tendresse...

J'aime¿ quand je perds conscience et me noie

Dans un éden au bout de tes doigts...

Quand je respire tes caresses

Qui me font frémir sans cesse...

J'aime¿ quand tu te délectes de mon envie

Comme d'un secret interdit

Quand ta langue peint mes émotions de vigueur

Ton regard avide qui de feu me dévore

J'aime¿ quand ma bouche entrouverte te devine...

Quand mes lèvres te donnent des ailes

Quand je bois le délice de ton eau

Et que je te savoure au c¿ur de mes entrailles..

J'aime ¿ quand tu te glisse en moi,

tout au creux de mes reins...

Quand me prend à la gorge une infime entaille

Quand je me perds dans le tourbillon du désir

J'aime¿ quand enfin tu viens et que tu me fais tienne

Ta liqueur mêlée à la mienne

Et que tu me rejoins au septième ciel.

J'aime¿ ces spasmes qui nous secouent

Et nous font tomber à genoux..

J'aime... faire l'amour avec toi

Tout simplement parce que je t'aime TOI

N'attendons pas, n'attendons plus

Encore! Encore! Fais moi jouir!

Braver mes interdits,

succomber à cet envie,

ressentir des mots trahis,

me couler dans ses ressentis,

ne plus me sentir à l'abri,

le chercher en compromis,

Mon corps le désire,

mon âme le supplie,

mes sens en sont torturés,

mon être ne fait que l'appeler,

je ne peux le cacher,

je le veux, je l'ai tant rêvé,

oserais-je franchir la barrière,

pourrais-je en être sincère ....

Soudainement elle

Une monde à son échelle

Un idéal que passion distance et désir emmêlent

Une aile, qui se veut salvatrice de mon âme

Une brutale douceur , délicieuse chaleur d'une flamme

Elle et son regard qui me transporte sur fond blanc

Mon égard pour elle prouve que je ne fais pas semblant

Et plus elle s'éloigne, plus j'ai besoin qu'elle se rapproche

Entre elle et moi juste l'expérance sur laquelle j'accroche

Des sentiments satinés que son regard a égratigné

Fatigué , pas résigné, comme un forçat je suis assigné.

A force je la ferais signer, mêmse si mon coeur doit saigner

Moi je suis sur qu'on doit s'unir, sur que l'on doit s'aimer

Sur que l'on va punir ceux qui nous ont peiné

Sur que l'on va banir ceux qui nous ont freiné

Sur que je vais bénir tout ce qui m'a mené

A elle que je viens d'élire, qui sont sur mon coeur doit regner.

Charmeuse en dépit de ta sagesse,

que d'autres dans ta faiblesse,

te connaissent enchanteresse,

relation accrocheuse qui te blesse.

Insatisfaite dans ton armure,

tu pars légère à l'aventure,

frôlant sauvagement tous les murs,

plongeant dans l'incertitude de ton futur.

Provoquante, assurer ta jeunesse,

démontrer sournoisement tes prouesses,

t'ensiler dans tes paresses,

t'essoufler lamenteblement pêcheresse.

Ambitieuse que pour son regard,

perdue dans son quelque part,

à la conquête voilée du hasard,

te réveiller finalement nulle part.