Anarchie, une utopie ?

En meme temps j'ai jamais dit tout casser...

Je dis juste que prefere m'appuyer sur des references tels que ravachol.

non ce n'est pas vraiment ce que tu as dis.

outre le fait que tu as prouvé ne jamais avoir lu proudhon, tu as clairement fait le lien entre le fait que proudhon soit calme, et que donc, il n'était pas un "vrai anarchiste".

Vis donc avec ton temps !

Je vis avec mon temps...

Un mec qui ecoute sardou est rester bloquer il y a 10ans...

euh non.

tu vis surement pas avec ton temps.

A Nina Gayané ,

Va étudier ce qu'est l'anarchie du point de vue historique, et essaies de répondre à la question : pourquoi ce régime ne perdure pas , tout comme le collectivisme, le féodalisme, etc. jusqu'à ce jour !

Je vis avec mon temps...

Un mec qui ecoute sardou est rester bloquer il y a 10ans...

un mec qui suis ravachol vit a une autre époque , c'est soit un attardé soit un nostalgique .

Sans une société structurée les anarchistes n'ont aucun moyen d'exister .

Alors maintenant sa part sur les insectes et c'est une grenouille qui répond...

Sérieux: Avec un peu de motivation vous pourrez vous documenter.Vivre en Anarchie est possible et d'ailleurs prouvé.

Perso j'arrive a vivre sans avoir une personne au dessus de moi.

L'Anarchie n'est pas liberté absolu.

Car ta liberté s'arrette la ou celle des autres commence.(c'est pas de moi ca...)

Cela ne répond pas à ma principale objection, à savoir que l'Etat donne aussi des libertés.

Le principe de l'Etat est que les individus lui sacrifie certaines libertés, pour en gagner d'autres.

Ces libertés gagnées passent par le fameux "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" : l'Etat est garant de ces limites, assurant que la liberté d'un individu n'empiète pas trop sur celle du voisin.

Le mot anarchiste a trop longtemps été populairement barbare, comme cunnilingus ou hiérarchie.

D'abord, avant de voir tout une institution gouvernementale, il faut savoir que l'anarchie peut se mettre en place partout. J'entend par là l'autogestion.

Comme je l'avais dit il y a quelques mois, à Elais, dans une ville, en Hollande, il n'y a aucun panneau de circulation.

Les gens sont donc plus prudent, et, à forciori, les accidents moindres.

Le fait de créer l'alternatif, et non le besoin, est propre aux gens, qui se sentent impliqués dans leur autosuffisance.

Auto-gestion ne signifie pas forcément anarchie absolue.

Je trouve aussi que désinfantiliser les gens est une bonne chose car la plupart des systèmes et des institutions sont devenues quasiment des fictions sans aucun sens concret.

Et que dire de l'économie ?

Revenir à la base, c'est-à-dire à la responsabilité personnelle, à l'implication totale dans les conséquences de ses actes ne me semble pas une si mauvaise idée.

Cela dit, on ne peut pas faire cela sans un choc d'envergure, et on ne pourra pas non plus se passer d'un minimum d'institution.

Le problème de perception est énorme. L'homme a d'abord délégué des pouvoirs aux institutions pour obtenir une vie sociale mieux organisée, mieux guidée et canalisée.

Puis les générations suivantes sont nées sous ces institutions, les subissant ainsi que leurs dérives parfois totales.

L'institution n'est pas un mal quand elle reste proche de l'humain et ne perd pas son sens premier : fédérer, servir et assurer.

Justement, la collectivisation ne peut se faire "au bénéfice de tous". Penser que tout le monde sera d'accord de collectiviser ses biens, et que tout le monde participera également à la société, est un doux rêve. Et que faire pour rallier ces récalcitrants à la cause communiste ? ... Ce qui s'est passé dans tous les systèmes communistes : mettre en place une dictature. C'est inévitable. La notion même de communisme est non-viable de l'intérieur. Le communisme ne s'est JAMAIS imposé sans employer la force, et ne le fera jamais.

Aucune organisation sociale n'a jamais été appliquée correctement parce que le peuple ne joue jamais un seul jeu. Donc, à priori, des idées anarchiques ne sont pas plus cons que des idées libérales.

Cela ne répond pas à ma principale objection, à savoir que l'Etat donne aussi des libertés.

Le principe de l'Etat est que les individus lui sacrifie certaines libertés, pour en gagner d'autres.

Ces libertés gagnées passent par le fameux "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" : l'Etat est garant de ces limites, assurant que la liberté d'un individu n'empiète pas trop sur celle du voisin.

L'état est au-dessus du citoyen justement pour empêcher les injustices. Le problème, c'est que l'état est tellement au-dessus de nous aujourd'hui qu'il n'a plus beaucoup de lien avec le concret de nos quotidiens.

L'état permet certaines solidarités, l'éducation, la justice... ce qui n'est pas garanti en anarchie. C'est pour ça que je pense qu'on ne peut se passer de l'état.

Mais on peut aussi avoir envie de contrer le pouvoir irréel de nos décideurs, en changeant le système ou en le grippant, voire en l'explosant.

Ce n'est pas parce qu'une poignée n'est pas d'accord (les grands patrons et leurs parachutes dorés ne seront jamais pour perdre de leur fortune, soyons honnêtes) que le changement ne doit pas se faire. Car qu'est-ce qui est le pire ? Que des gens couchent dans la rue, que la vie se dégrade pour la majorité au bénéfice d'une poignée de PDG ? Ou que ces mêmes PDG soient forcé de céder de leur fortune pour que plus personne ne soit pauvre ?

Oyez ! Oyez ! Bonnes gens, le travers du communisme est en démonstration ci-dessus. Selon ses ouailles, le communisme doit donc s'imposer par la force, et peu importe que "une poignée" ne soit pas d'accord (Définition hautement scientifique d'une partie de la population, "une poignée", hein ? Non ? Ah bon...). Tant que la "poignée" est constituée de gens que les communistes n'aiment pas, peu importe. Ici, en l'occurence, la poignée c'est : les méchants PDGs, les méchants patrons, bref, tous ceux qui ont de l'argent parce qu'ils font marcher l'économie d'un pays (Sans patrons, où iraient bosser les ouvriers pour gagner leur croûte ? Nulle part ? Ah bon... Peut-être pas si méchants que ça les patrons !).

Oyez ! Oyez ! Bonnes gens, le travers du communisme est en démonstration ci-dessus. Selon ses ouailles, le communisme doit donc s'imposer par la force, et peu importe que "une poignée" ne soit pas d'accord (Définition hautement scientifique d'une partie de la population, "une poignée", hein ? Non ? Ah bon...). Tant que la "poignée" est constituée de gens que les communistes n'aiment pas, peu importe. Ici, en l'occurence, la poignée c'est : les méchants PDGs, les méchants patrons, bref, tous ceux qui ont de l'argent parce qu'ils font marcher l'économie d'un pays (Sans patrons, où iraient bosser les ouvriers pour gagner leur croûte ? Nulle part ? Ah bon... Peut-être pas si méchants que ça les patrons !).

Une "poignée" de gens ont voté l'opposition l'année dernière.

Oyez ! Oyez ! Bonnes gens, le travers du communisme est en démonstration ci-dessus. Selon ses ouailles, le communisme doit donc s'imposer par la force, et peu importe que "une poignée" ne soit pas d'accord (Définition hautement scientifique d'une partie de la population, "une poignée", hein ? Non ? Ah bon...). Tant que la "poignée" est constituée de gens que les communistes n'aiment pas, peu importe.

La dictature de la majorité... on se croirait en démocratie...

La dictature de la majorité... on se croirait en démocratie...

Démocratie où j'ai ma maison, ma femme, ma voiture, ma société, mes possessions... que personne ne veut ni ne peut me prendre, et c'est très bien comme ça. Mais j'imagine que Jean Bambois est un grand vilain méchant parce qu'il est patron (et qu'il a des gens qui travaillent pour lui, comment ose-t-il !).

C'est vrai...j'oserai pas.

Diriger des gens,mal les payer....

Et c'est ta dure vie de dictateur sardou...

C'est vrai...j'oserai pas.

Diriger des gens,mal les payer....

Et c'est ta dure vie de dictateur sardou...

Qui te dit qu'ils sont mal payés ?

Car il faudrait me payer cher pour etre ton employé...

merci de revenir sur le sujet

Démocratie où j'ai ma maison, ma femme, ma voiture, ma société, mes possessions... que personne ne veut ni ne peut me prendre, et c'est très bien comme ça.

Si, l'Etat, il peut tout te prendre si tu ne lui donnes pas ce qu'il veut.

Mais j'imagine que Jean Bambois est un grand vilain méchant parce qu'il est patron (et qu'il a des gens qui travaillent pour lui, comment ose-t-il !).

Je m'en tamponne, démerde-toi avec Ta Conscience.

Si, l'Etat, il peut tout te prendre si tu ne lui donnes pas ce qu'il veut.

Je donne à l'état, comme tout le monde, une taxe sur le revenu, qui sert à payer les routes sur lesquelles je roule avec ma belle voiture, les spectacles culturels auxquels j'assiste volontiers avec ma femme, etc. Il est donc normal que je paie des taxes. Et comme je les paie, ce ne sera pas de sitôt que l'état me "prendra tout". Que dois-je lui donner d'autre ? Absolument rien.

Je m'en tamponne, démerde-toi avec Ta Conscience.

Elle est en paix.

Sans scrupule

Sans scrupule

Je devrais avoir des scrupules de participer à l'économie nationale, et de donner du travail à des gens qui sans moi iraient pointer au chômage ? Non, décidément, je n'ai pas de scrupules.