pensée ?

dans un prisunic j'ai entrevu le nouveau livre (de poche) de Luc Ferry.

Comme d'habitude, la 1er page est fascinante, puis il patauge dans je ne sais quoi, c'est plus la peine.

Il n'arrive pas à définir la philosophie.

c'est facile pourtant :

Prenons un philosophe, n'importe lequel ou laquelle, mettez le sur une planche à clou, forcé le au besoin.

Que se passe-t-il ?

Le philosophe crie.

Conclusion : philosophe ou pas, l'humain ne veux pas souffrir.

Va savoir pourquoi, hein ?

monde d'impolitesse

plein de selfiness

et de viandéesse

huilées au l'Oréal products !

enfin, c'est normal ?

Je m'autorise ces pixels en lettres

vu ce que je vois au prisunic...

C'est de la free-littérature au surplus anonyme !

Drôle les pixels, non ?

c'est que les micro-réactions électico-chimique ou je ne sais quoi sont un sur ensemble stricte de ces putains de lettres.

D'ailleurs les combinaisons en sont finis.

tiens, quand je me relis je constate de petites maladresses orthographiques.

La cervelle va bien ?

D'où viennent ces émaillées d'erreurs ?

De l'imperfection naturelles des choses ?

et puis j'oubli aussi.

J'oubli ce que j'écris.

Il y a une corrélation nette entre l'oubli et la beauté, c'est plus que certain...

à creuser, non ?

Tiens, la beauté, parlons en.

J'en tiens la définition exacte, mais il me faudrait m'emplir les mains de ma cervelle qu'elle n'en sortirait pas.

je vous l'ai pourtant dit : sur-ensemble, coupure totale !

Et en prime le réel sur-ensemble inconciable de la pensée : c'en est trop !

je sens le singe qui hurle dans sa cage du langage : le fou, il tente d'en déceler un barreau.

Evite l'absinthe avec le perrier,

ça descent vite.

J'ai pâs tout compris et ça m'a donné mal au crâne, j'm'en vais m'coucher...