Les asso écolos font encore étalage de leur bravoure et de leur courage légendaire. Il est évidemment plus facile d'aller hurler à 5000 kilomètres des faits que sur le vrai terrain. Si le Clémenceau ne va pas en Inde, ce sera un autre navire, d'un autre pays, avec encore davantage de saloperie dans son ventre.

Qu'en est-il de l'action de Green-pisse sur les chantiers de démolition en Inde ou en Malaysie? "n'importe où mais pas de pollution devant chez moi ni devant mes yeux !" telle devrait être la devise de ces "tourneurs en rond", et autant faire sentation là où ça paye médiatiquement ! et pendant ce temps là des régions de la planète deviennent des poubelles infernales et catastrophiques.

halte au feu camarades

si Greenpeace rale c'est justement pour que le Clemenceau soit desamianté en France et que l'on envoie pas nos saloperies dans le tier-monde ; ou t'est mal renseigné ou t'aime pas Greenpeace ???

gné Oo

encore heureux qu'il existe des associations comme GP

Encore une courageuse conscience écologique par procuration !

Si Green-pisse allait plutôt en Inde mettre le holà dans le souk des chantiers de démolition. Il est évident qu'en France le désamiantage sera fait nikel, plus blanc que blanc.

Autant hisser le Clem sur la terre ferme et lui faire un trou, ça coûtera moins cher.

Chez nous il y a toujours les rêveurs d'un côté et les trop-calculateurs de l'autre, et tout ce pt'it monde se donne du boulot, formidable !

GreanPeace en Inde se ferait royalement envoyer chier...

S'ils font ca c'est jsutement pour que les conditions de sécurité soient respectés.

En france pour le desamiantage, les personnes sont protégés...; en Inde c'est a peine si les personnes qui s'en occupent ont des gants....

Je prefere voir Greanpeace faire chier les autorités, plutot de me dire qu'on considere les autres pays comme de la merde en leur envoyant nos dechets toxiques....

Green Peace est peut-être une bande d'extrêmistes généralement plus nuisibles qu'autre chose, mais c'est souvent grâce à ce genre d'extremistes que les choses avancent, dans tous les domaines.

Et j'adore ton raisonnement comme quoi, vu qu'il y a déjà des bateaux plein d'amiante qui tuent à petit feu les ouvriers indiens exploités, ça sert à rien de se battre pour éviter que le Clem y aille!

Si le Clémenceau ne va pas en Inde, ce sera un autre navire, d'un autre pays, avec encore davantage de saloperie dans son ventre.

Je sais pas quel est ton métier, mais tu as raté une belle carrière de dealer, toi. C'est exactement leur raisonnement: oui, ok, je vend de la merde à des petits jeunes qui en crèvent, mais si c'était pas moi, ça serait un autre qui le ferait à ma place!

Si le Clémenceau ne va pas en Inde, ce sera un autre navire, d'un autre pays, avec encore davantage de saloperie dans son ventre.

Je sais pas quel est ton métier, mais tu as raté une belle carrière de dealer, toi. C'est exactement leur raisonnement: oui, ok, je vend de la merde à des petits jeunes qui en crèvent, mais si c'était pas moi, ça serait un autre qui le ferait à ma place!

Pas tout à fait exact, et comparaison lamentable. Je suis de ceux qui considèrent que l'on ne produit que ce qui s'achète. Ce qui veut dire, qu'il faut s'attaquer au destinataire plutôt qu'à l'expéditeur. C'est le destinataire qui commande, en général. C'est vrai que le Clem aurait très bien pu se faire nettoyer en France, juste pour notre bonne conscience à nous, mais le scandale des conditions de travail dans la récupération marine en orient est quand même plus grave.

Je trouve ton raisonnement tordu. En gros tu dis: "vu qu'ils le demandent, donnont-leur"? C'est ça?

Je trouve ton raisonnement tordu. En gros tu dis: "vu qu'ils le demandent, donnont-leur"? C'est ça?

Ok, je comprends.

Mais je ne suis pas pour autant d'accord avec ton analyse de l'action de Green Peace. La société actuelle est telle que tout passe par la médiatisation. Donc l'enjeu est de sensibiliser l'opinion publique occidentale afin qu'elle-même fasse pression sur les décideurs (qu'ils soient politiques, par le biais des éléctions, ou économiques). S'ils allaient "combattre" directement en Inde, armés de leurs seules bonnes intentions, ils se feraient renvoyer vite-fait dans leurs 22 par une classe dirigeante qui se fout de l'écologie comme de l'an 40 et par une opinion publique locale dont la principale préocupation est de manger, pas d'éviter d'avoir un cancer dans 20 ans. Ils ne se trompent donc ni de cible ni de méthode en attirant ici notre attention sur le drame qui se passe là-bas.