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santé psychologique


alexange74

Messages recommandés

Membre, 35ans Posté(e)
alexange74 Membre 14 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Voilà j'ai une question un peu bizarre...

Est-ce que le fait de ne pas aller super bien dans sa tête (avoir le moral dans les chaussettes) ça peut jouer sur la santé physique? Et inversement aussi...

Par exemple quand on est malade on est pas forcément de bonne humeur, alors si on est un peu déprimé est-ce que ça peut jouer sur le corps? (maux de ventre, de tête)

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Membre, 32ans Posté(e)
speed_demon Membre 47 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Moi je crois que oui... parce que si tu déprimes, t'as pas forcément envie de faire des activité avec des amis et autres, alors par le fait même tu pense plus à tes problèmes et tu fais moins d'activité physique ce qui peut causé des torts au niveau physique..

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Membre, 36ans Posté(e)
nintcia Membre 147 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Ben oui, c'est pathologique...

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  • 8 mois après...
Membre, Posté(e)
la_noble Membre 7 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour,

Il y a tjrs une differance entre ce qui est pathologique et ce qui est psychique. mais il existe tjrs une influance de l'un sur l'autre.

De nombreuse etudes ont mis en evidance la relation entre notre vie psychique et notre santé.

La preuve , il y a des gents quand ils depriment ils ne mangent rien comme il y a d'autre qu'ils mangent sans arret ( stresse est un facteur d'obesité).

Personnelement, si je deprime je mange rien et sa va revient sur ma santé tjrs et c'est pas bien.

il existe plusieurs types de depression , voilà qlq informations sur la dpression:

La dépression désigne une maladie dont la manifestation centrale est un état mental caractérisé par une lassitude importante, une dépréciation de soi, un pessimisme qui entraînent des perturbations importantes dans les rapports psycho-affectifs.

La dépression est une maladie fréquente, qui affecte presque 20% des gens au cours de leur vie, et qui marque une rupture avec le fonctionnement psychologique habituel de la personne. Le risque évolutif le plus grave de cette pathologie est le suicide, en particulier quand la dépression n'a pas été détectée et prise en charge.

Ainsi, près de 70% des personnes décédant par suicide en France souffraient d'une dépression le plus souvent non diagnostiquée et traitée.

Il ne faut pas confondre la dépression avec ce qu'on appelle familièrement le coup de blues ou la déprime qui traduisent une tristesse passagère qui est normale dans une situation difficile.

Les différents types de dépression :

next.pngTrouble dépressif majeur

Cela signifie une dépression caractérisée avec de nombreux symptômes.

Ce terme est imposé par le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders)

next.pngUne humeur triste dépressive

Elle est décrite comme plus intense que la douleur d'un deuil.

La personne est sans joie et opprimé, parfois il est incapable de percevoir tout sentiment.

Chez les enfants et adolescents, cela peut se manifester par une irritabilité accrue.

next.pngAnhédonie

Une diminution du plaisir ou de l'intérêt pour toutes activités, y compris celles qui procurent du plaisir habituellement. Les habitudes se modifient, les passe-temps sont délaissés, tout semble monotone et vide, y compris les activités habituellement gratifiantes.

next.pngAsthénie

Une sensation de fatigue ou de diminution d'énergie.

next.pngDes idées noires

Une volonté de mourir, idées suicidaires actives, avec ou sans plan spécifique, finalement tentative de suicide.

next.pngLa Mélancolie

Le terme mélancolie était utilisé en psychiatrie pour caractériser un état dépressif grave et aigu présentant de grands risques de passages à l'acte suicidaires.

Il a aujourd'hui été délaissé et on utilise plus couramment l'expression : dépression majeure.

next.pngLa dépression psychotique

Elles se caractérisent par des délires de culpabilité, de honte universelle, de punition, d'appauvrissement mental, etc.

next.pngLa dépression hostile / agressive

La personnalité du sujet semble avoir changé radicalement. Il est devenu plus agressif, plus impulsif, ses colères sont mal maitrisées, il a des violences soudaines et inhabituelles¿

Cela viendrait du fait que le sujet ne supporte plus l'idée d'être l'objet de remarques blessantes (existantes ou supposées) à son égard.

next.pngLa dépression masquée

Les dépressions masquées ou hypocondriaques se caractérisent par une absence de symptômes de l'humeur dépressive avec une prépondérance des plaintes somatiques. Elles prennent souvent l'aspect d'une douleur atypique, continue, fixée, qui reste malgré la prescription d'antidouleur. Le sujet est souvent inconscient qu'il souffre moralement, c'est la raison pour laquelle il « somatise ».

next.pngLa dépression anxieuse / agitée

Ces sujets courent un risque suicidaire élevé. Contrairement aux caractéristiques courantes de la dépression, l'agitation psychique et motrice sont majeures, ils sont enclins à des crises de panique.

next.pngLa dépression saisonnière

La dépression saisonnière s'installe généralement à l'automne ou au début de l'hiver et dure jusqu'au printemps.

Les symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d'intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires.

Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l'hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien, que ce soit sur le plan travail ou des relations.

next.pngLa dépression du bébé

Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales. René Spitz a ainsi défini l'hospitalisme, état survenant lors d'une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, une perte rapide de poids, un arrêt du développement.

Puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l'entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique.

S'il se prolonge, il peut être à l'origine de troubles intellectuels, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd.

next.pngLa dépression chez l'enfant

La dépression existe chez l'enfant, mais elle a été repérée uniquement dans les années 1970.

En effet, contrairement à l'adulte, l'enfant déprimé ne se plaint pas de tristesse ni de désespoir, et sa symptomatologie est peu bruyante.

Une conférence de consensus française a permis d'en clarifier la symptomatologie et les principes d'interventions thérapeutiques.

next.pngLa dépression de l'adolescent

La dépression à l'adolescence peut parfois être caractérisée par les mêmes symptômes que chez l'adulte. On observe un trouble de l'humeur avec un sentiment d'ennui, d'irritabilité. Des troubles somatiques et des troubles anxieux fréquemment associés : phobie sociale, attaque de panique, trouble obsessionnel compulsif.

next.pngLa dépression de la personne âgée

Les dépressions pseudo-démentielles se caractérisent par des troubles graves de la mémoire, de l'orientation, de la vigilance, du jugement, de régression affective,

des performances intellectuelles.

Donc , il y a une grande relation entre nos sentiments nos affection et meme nos pensés avec notre santé.

N'oubliant pas que notre santé a aussi une grande influance sur notre pychisme, ce qu'on voi souvent chez les malades .Ou prenant un simpl exemple : un bon homme sportif n'a pas de tel hummeur qu'un feniant.

Alors la meilleure façon d'avoire un equilibre entre les deux ( notre vie psychique et notre santé ) c'est de prendre soin de soi meme et bien sur de partager vos sentiments, votre mal et meme votre joie.

J'espere que sa va vous aider un peu

Merci

Cordialement La_noble

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Invité insumisa34
Invités, Posté(e)
Invité insumisa34
Invité insumisa34 Invités 0 message
Posté(e)

c'est une certitude médicale.l'esprit et le corps sont liés.

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Membre, Femme Poulpeuse, 44ans Posté(e)
SteCatherine Membre 1 335 messages
44ans‚ Femme Poulpeuse,
Posté(e)

L'esprit et le corps ne vont pas l'un sans l'autre.

Quand on essaie d'étouffer un problème psychique il réapparaîtra d'une façon ou d'une autre, et parfois c'est sous une forme physique.

Le soucis quand on a tendance à cela c'est qu'on ne sait plus quand c'est psy ou réellement physique. Je sais que chez moi, le mauvais stress se transforme assez vite en migraines, maux de dos, mal dans la poitrine, mal au ventre ... en fait il y a des périodes de ma vie où il est rare que je n'ai pas mal quelque part :smile2:

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Membre, Je porte un chat d'or, et alors ?, 16ans Posté(e)
LooSHA Membre 4 598 messages
16ans‚ Je porte un chat d'or, et alors ?,
Posté(e)
Par exemple quand on est malade on est pas forcément de bonne humeur, alors si on est un peu déprimé est-ce que ça peut jouer sur le corps? (maux de ventre, de tête)

Bien entendu. C'est la somatisation.

L'inverse est vrai aussi : manque de sommeil, abus divers, carences : ça affecte ton humeur, ton comportement, ton moral.

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Membre, 59ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Il y a un bon livre la dessus de Michel Odoul " Dis moi où tu as mal "

D'après certaines recherches apparemment, selon l'endroit ou tu souffres, non expliqué par la médecine traditionnelles, il est clair que c'est ton cerveau qui envoie des messages.

D'ou certaines expressions style " j'en ai plein le dos " ou " ça me prend la tête" qui donne lombalgies et migraines

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Membre, 73ans Posté(e)
actb Membre 629 messages
Baby Forumeur‚ 73ans‚
Posté(e)
Bonjour,

Il y a tjrs une differance entre ce qui est pathologique et ce qui est psychique. mais il existe tjrs une influance de l'un sur l'autre.

De nombreuse etudes ont mis en evidance la relation entre notre vie psychique et notre santé.

La preuve , il y a des gents quand ils depriment ils ne mangent rien comme il y a d'autre qu'ils mangent sans arret ( stresse est un facteur d'obesité).

Personnelement, si je deprime je mange rien et sa va revient sur ma santé tjrs et c'est pas bien.

il existe plusieurs types de depression , voilà qlq informations sur la dpression:

La dépression désigne une maladie dont la manifestation centrale est un état mental caractérisé par une lassitude importante, une dépréciation de soi, un pessimisme qui entraînent des perturbations importantes dans les rapports psycho-affectifs.

La dépression est une maladie fréquente, qui affecte presque 20% des gens au cours de leur vie, et qui marque une rupture avec le fonctionnement psychologique habituel de la personne. Le risque évolutif le plus grave de cette pathologie est le suicide, en particulier quand la dépression n'a pas été détectée et prise en charge.

Ainsi, près de 70% des personnes décédant par suicide en France souffraient d'une dépression le plus souvent non diagnostiquée et traitée.

Il ne faut pas confondre la dépression avec ce qu'on appelle familièrement le coup de blues ou la déprime qui traduisent une tristesse passagère qui est normale dans une situation difficile.

Les différents types de dépression :

next.pngTrouble dépressif majeur

Cela signifie une dépression caractérisée avec de nombreux symptômes.

Ce terme est imposé par le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders)

next.pngUne humeur triste dépressive

Elle est décrite comme plus intense que la douleur d'un deuil.

La personne est sans joie et opprimé, parfois il est incapable de percevoir tout sentiment.

Chez les enfants et adolescents, cela peut se manifester par une irritabilité accrue.

next.pngAnhédonie

Une diminution du plaisir ou de l'intérêt pour toutes activités, y compris celles qui procurent du plaisir habituellement. Les habitudes se modifient, les passe-temps sont délaissés, tout semble monotone et vide, y compris les activités habituellement gratifiantes.

next.pngAsthénie

Une sensation de fatigue ou de diminution d'énergie.

next.pngDes idées noires

Une volonté de mourir, idées suicidaires actives, avec ou sans plan spécifique, finalement tentative de suicide.

next.pngLa Mélancolie

Le terme mélancolie était utilisé en psychiatrie pour caractériser un état dépressif grave et aigu présentant de grands risques de passages à l'acte suicidaires.

Il a aujourd'hui été délaissé et on utilise plus couramment l'expression : dépression majeure.

next.pngLa dépression psychotique

Elles se caractérisent par des délires de culpabilité, de honte universelle, de punition, d'appauvrissement mental, etc.

next.pngLa dépression hostile / agressive

La personnalité du sujet semble avoir changé radicalement. Il est devenu plus agressif, plus impulsif, ses colères sont mal maitrisées, il a des violences soudaines et inhabituelles¿

Cela viendrait du fait que le sujet ne supporte plus l'idée d'être l'objet de remarques blessantes (existantes ou supposées) à son égard.

next.pngLa dépression masquée

Les dépressions masquées ou hypocondriaques se caractérisent par une absence de symptômes de l'humeur dépressive avec une prépondérance des plaintes somatiques. Elles prennent souvent l'aspect d'une douleur atypique, continue, fixée, qui reste malgré la prescription d'antidouleur. Le sujet est souvent inconscient qu'il souffre moralement, c'est la raison pour laquelle il « somatise ».

next.pngLa dépression anxieuse / agitée

Ces sujets courent un risque suicidaire élevé. Contrairement aux caractéristiques courantes de la dépression, l'agitation psychique et motrice sont majeures, ils sont enclins à des crises de panique.

next.pngLa dépression saisonnière

La dépression saisonnière s'installe généralement à l'automne ou au début de l'hiver et dure jusqu'au printemps.

Les symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d'intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires.

Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l'hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien, que ce soit sur le plan travail ou des relations.

next.pngLa dépression du bébé

Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales. René Spitz a ainsi défini l'hospitalisme, état survenant lors d'une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, une perte rapide de poids, un arrêt du développement.

Puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l'entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique.

S'il se prolonge, il peut être à l'origine de troubles intellectuels, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd.

next.pngLa dépression chez l'enfant

La dépression existe chez l'enfant, mais elle a été repérée uniquement dans les années 1970.

En effet, contrairement à l'adulte, l'enfant déprimé ne se plaint pas de tristesse ni de désespoir, et sa symptomatologie est peu bruyante.

Une conférence de consensus française a permis d'en clarifier la symptomatologie et les principes d'interventions thérapeutiques.

next.pngLa dépression de l'adolescent

La dépression à l'adolescence peut parfois être caractérisée par les mêmes symptômes que chez l'adulte. On observe un trouble de l'humeur avec un sentiment d'ennui, d'irritabilité. Des troubles somatiques et des troubles anxieux fréquemment associés : phobie sociale, attaque de panique, trouble obsessionnel compulsif.

next.pngLa dépression de la personne âgée

Les dépressions pseudo-démentielles se caractérisent par des troubles graves de la mémoire, de l'orientation, de la vigilance, du jugement, de régression affective,

des performances intellectuelles.

Donc , il y a une grande relation entre nos sentiments nos affection et meme nos pensés avec notre santé.

N'oubliant pas que notre santé a aussi une grande influance sur notre pychisme, ce qu'on voi souvent chez les malades .Ou prenant un simpl exemple : un bon homme sportif n'a pas de tel hummeur qu'un feniant.

Alors la meilleure façon d'avoire un equilibre entre les deux ( notre vie psychique et notre santé ) c'est de prendre soin de soi meme et bien sur de partager vos sentiments, votre mal et meme votre joie.

J'espere que sa va vous aider un peu

Merci

Cordialement La_noble

Bonjour,

trés interessant , la réponse simple est que je pense que cela est lié, par contre les critéres détaillés super, je me retrouve dans ma situation actuelle , j'avais besoin de percevoir la cause , tu m'as aidé... ça me permet de revoir ma position vis à vis des autres, je suis devenu irritable pour un rien, l'impression que l'on m'accule de tout les mots alors que tout se passe comme avant ... juste moi qui prend toutes remarques comme une atteinte perso ( chef d'entreprise ), je délégue mais je vais aux réunion de chantier et je prends un max de remarques , avant je supervisais tout , donc à même de connaître d'avanc eles points critiques, maintenant je découvre ... je dois revoir l'orga pour que mes responsables fassent leur propre réunion de chantier ....et moi en recul... sinon je vais craquer .

Merci encore . :smile2:

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