Fermeture des hopitaux de proximité

Jusqu'où va t-on descendre...?

Jour de la fête de la musique, c'était aussi, comme partout, l'été samedi à Quimper.

Dès 10 heures, le long cortège comprenant une centaine de manifestants défilent dans les rues du centre ville de Quimper. En tête, une centaine d'élus de la République, ceints de leur écharpe tricolore. Conseillers régionaux et généraux, maires, adjoints et élus municipaux sont venus dire ensemble qu'ils n'acceptent pas la restructuration du Centre hospitalier carhaisien. Le même discours dans toutes les bouches : "Nous voulons simplement le respect de l'Etat républicain, de la parole des élus sur l'égalité des citoyens face à la santé."

Une délégation est reçue par le secrétaire général de la préfecture. Le fonctionnaire met fin aux échanges dès qu'il entend, au dehors, le bruit de quelques pétards. La délégation quitte les lieux dans le calme, déçue de ne pas avoir été écoutée. Les manifestants ne sont pas heureux de la tournure des évènements. Les CRS non plus. Ils chargent aveuglément. "On ne comprend pas la violence utilisée par les forces de l'ordre, témoigne Pierrot Belleguic, président de la Communauté de communes du Poher et maire de Kergloff. En tant qu'élu, je pensais être reçu comme il se doit. J'ai été littéralement bombardé de gaz lacrymogènes, alors que je venais à peine de sortir de la préfecture. é côté de moi, il y avait des femmes et un enfant qui hurlaient. C'est inadmissible." Devant pareille violence, l'inquiétude se lit sur les visages. C'est le "sauve qui peut ", chacun se protégeant à sa manière. "Mais qu'est-ce qu'on a fait ? s'interroge José Le Guéllaf, maire de Motreff. C'est un scandale de nous traiter comme ça. C'était une manifestation pacifique."

Pourquoi ?

Christian Troadec,le maire de carhaix, n'a pas été épargné. Il a été jeté au sol. Richard Ferrand a été contraint de se faire soigner, ses yeux n'ayant pas apprécié les gaz lacrymogènes. Un manifestant a été sérieusement blessé à la main. Bref, la violence a marqué les corps et les esprits. Mais pourquoi un tel déchaînement de la part des gardes mobiles. Ils ont frappé aveuglément, n'épargnant ni femmes ni enfants qui n'avaient qu'un seul tort : être tout simplement là au mauvais moment. Dès lors une question se pose : quels sont les ordres et qui les donne ?

C'était samedi jour de l'été et fête de la musique à Quimper et ailleurs. On ne l'aurait pas cru tant l'Etat souverain a fait preuve d'aveuglement et de violence en sonnant la charge contre ses propres élus. Dans quelle République sommes-nous ?

vous avez voulu sarko et bien maintenant vous l'avez (bon , je me repete )

un rappel historique ,quelques nains de l'histoire

napoleon

staline

adolf hitler

adolfe thiers

etc

Jusqu'où va t-on descendre...?

Jour de la fête de la musique, c'était aussi, comme partout, l'été samedi à Quimper.

Dès 10 heures, le long cortège comprenant une centaine de manifestants défilent dans les rues du centre ville de Quimper. En tête, une centaine d'élus de la République, ceints de leur écharpe tricolore. Conseillers régionaux et généraux, maires, adjoints et élus municipaux sont venus dire ensemble qu'ils n'acceptent pas la restructuration du Centre hospitalier carhaisien. Le même discours dans toutes les bouches : "Nous voulons simplement le respect de l'Etat républicain, de la parole des élus sur l'égalité des citoyens face à la santé."

Une délégation est reçue par le secrétaire général de la préfecture. Le fonctionnaire met fin aux échanges dès qu'il entend, au dehors, le bruit de quelques pétards. La délégation quitte les lieux dans le calme, déçue de ne pas avoir été écoutée. Les manifestants ne sont pas heureux de la tournure des évènements. Les CRS non plus. Ils chargent aveuglément. "On ne comprend pas la violence utilisée par les forces de l'ordre, témoigne Pierrot Belleguic, président de la Communauté de communes du Poher et maire de Kergloff. En tant qu'élu, je pensais être reçu comme il se doit. J'ai été littéralement bombardé de gaz lacrymogènes, alors que je venais à peine de sortir de la préfecture. é côté de moi, il y avait des femmes et un enfant qui hurlaient. C'est inadmissible." Devant pareille violence, l'inquiétude se lit sur les visages. C'est le "sauve qui peut ", chacun se protégeant à sa manière. "Mais qu'est-ce qu'on a fait ? s'interroge José Le Guéllaf, maire de Motreff. C'est un scandale de nous traiter comme ça. C'était une manifestation pacifique."

Pourquoi ?

Christian Troadec,le maire de carhaix, n'a pas été épargné. Il a été jeté au sol. Richard Ferrand a été contraint de se faire soigner, ses yeux n'ayant pas apprécié les gaz lacrymogènes. Un manifestant a été sérieusement blessé à la main. Bref, la violence a marqué les corps et les esprits. Mais pourquoi un tel déchaînement de la part des gardes mobiles. Ils ont frappé aveuglément, n'épargnant ni femmes ni enfants qui n'avaient qu'un seul tort : être tout simplement là au mauvais moment. Dès lors une question se pose : quels sont les ordres et qui les donne ?

C'était samedi jour de l'été et fête de la musique à Quimper et ailleurs. On ne l'aurait pas cru tant l'Etat souverain a fait preuve d'aveuglement et de violence en sonnant la charge contre ses propres élus. Dans quelle République sommes-nous ?

voilà tu as tout dit

vous avez voulu sarko et bien maintenant vous l'avez (bon , je me repete )

un rappel historique ,quelques nains de l'histoire

napoleon

staline

adolf hitler

adolfe thiers

etc

Carhaix se trouve dans le finistere, et dans ce département sarkozy perdait son élection à 46.15% contre 53.85% pour royal.

Sur les 5 départements bretons, 4 ont voté contre lui...Seul le morbihan pencha pour sarkozy à 51.12% contre 48.88% pour royal.

vous seriez sympa de ne pas mêlé l'empereur Napoléon 1er a tous c'est fumiers

Oui bah ç a toujours été comme ça, Sarkozy a juste apporté un sentiment de toute puissance à nos CRS adorés...Charger, taper dans le tas, arrêter au pif...Le respect de la loi républicaine made in CRS (je comprends pas comment ces gars peuvent se regarder dans une glace et etre fiers de leur boulot).

Maintenant pour revenir sur les faits, c'est parfaitement normal que les CRS chargent suite à des jets de projectiles ou des blocages de routes...respect de l'ordre établis quoi.

Oui bah ç a toujours été comme ça, Sarkozy a juste apporté un sentiment de toute puissance à nos CRS adorés...Charger, taper dans le tas, arrêter au pif...Le respect de la loi républicaine made in CRS (je comprends pas comment ces gars peuvent se regarder dans une glace et etre fiers de leur boulot).

Maintenant pour revenir sur les faits, c'est parfaitement normal que les CRS chargent suite à des jets de projectiles ou des blocages de routes...respect de l'ordre établis quoi.

Tu plaisantes j'espere..? a mon avis oui..sinon tu ne sais pas de quoi tu parles...

Il y avait des enfants,des femmes enceintes matraqués ainsi que des personnes agées et des élus du peuple ..les gardes mobiles ont été épris de panique et se sont retrouvé paumé parmis les manifestants, ne sachant que faire...si ce n'était d'utiliser leurs matraques et leurs gazs acrymos..

Le préfet a d'ailleurs,aujourd'hui, rendu ces excuses auprès des élus et de la population centre-bretonne.

vous seriez sympa de ne pas mêlé l'empereur Napoléon 1er a tous c'est fumiers

mea culpa

je n'aurais jamais du comparer napoleon a sarko .

Breizh-de-mes-deux.......

c'est pour causer de Carhaix ou de Sarko que t'envoie ta salade ?

Si tu veux qu'on cause de l'hopital de Carhaix c'est quand tu veux.

Et dans le détail de ce foutoir à microbe !

Si cet hopital a été épinglé c'est pas pour dégraisser le mamouth, et ça Christian Troadec (le maire de Carhaix, je précise pour ceux qui ne connaissent pas) le sait très bien.

Cet hosto est toujours en train de jouer son va-tout, je pense qu'il devrait s'en sortir (quoique...) dès qu'ils auront mis à la page les s'en foutistes qui y "bossent", ou plutôt ... "font leurs heures".

Ne va pas croire que cet hosto faisait l'hunanimité, au contraire, et tout cela à cause d'une bande de planqués, de syndiqués et de fou.. de m.... .

Seulement quand on laisse des irresponsables envoyer des boutiques droit au mur, même des socialos comme Troadec se réveillent car les vrais professionnels qui ont du boulot grâce à cet hosto et qui ont leurs affaires à faire tourner sont obligés d'ouvrir les yeux.

Cet hosto a(vait) besoin d'un coup de semonce, et encore, il y aurait bien un paquets gugusses à virer dans le personnel, pour en faire venir de plus sérieux, si on veut vraiment péréniser la boutique.

Si tu veux je cite des noms, au moins une trentaine. Des gus qui devraient avoir leurs coups de pieds au cul sans solde ni chomage, et qui ne mériteraient pas qu'on les fasse bosser. Plus occupés par leur temps libre que par leur temps de travail. Qui sont sensés être au service des malades, mais, je dirai plutôt que ce sont les malades qui sont à leur service et qui leur fournissent du boulot et matière à revendiquer.

Cet hosto a besoin de gens sérieux dans ses services car actuellement c'est une horreur, de l'entrée à la sortie, même la sortie des "pieds devant", c'est une honte de voir des membres du personnel se foutre à ce point de leur boulot et des gens qu'ils soignent.

Jette un coup d'oeil au résultat financier de cet hosto, par rapport à d'autres, jette un coup d'oeil aux compte-rendus sanitaires ... combien de fois n'ai-je pas entendu des intervenants sortir de cet hopital en disant : "il est plus que temps de fermer cette boutique !"

La question pour l'hopital de Carhaix n'est pas de le fermer ou non, c'est de ne pas laisser un établissement hospitalier continuer comme ça. La proposition de fermeture a été émise uniquement pour des questions de salubrité et sécurité publique, et tout cela dans une gabegie financière !

Dans un lupanar comme celui-là, lorsque les syndicats gauchistes ont raison sur tout et tous et que plus personne n'a plus droit de rien dire, voilà où ça mène !

Personne ne souhaite voir cet hopital fermer, car il est très viable, aussi bien que celui de Morlaix, de Quimper, ou la Cavale-Blanche à Brest.

Trop de gens ne jugent que par la distance en kilomètres, ce qui est une erreur (même pour un accouchement.) Il faut juger uniquement par le temps qu'il faut pour arriver devant le toubib, le chirurgien ou l'urgentiste. C'est inutile de dire qu'on est à 15 mn de l'hopital, s'il faut passer une heure dans la salle d'attente, et encore.... pour être parfois redirigé par la suite.

La Bretagne à d'excellent plateaux techniques, avec de très bons spécialistes, et c'est vers là qu'il faut aller, il n'y a plus de place pour les "tambouilles".

Ecoute nif... ce n'est pas parce-que tu as eu bobo un jour en te tapant le doigt avec un marteau ou en t'étant foulé la cheville en faisant de la marche au bord de l'Aulne et que tu n'a pas été pris en charge immédiatement par les internes qu'il faut avoir la haine...

Par exemple,moi, mon grand-pere a été sauver in-extremis d'une embaulie pulmonaire grace a cet hopital, s'il aurai fallu le transporter jusqu'à quimper ou morlaix, il serai décédé...

Mais, je pense que le probleme que tu exploites est vrai sur le m'enfoutisme de certains dans cet hopital, meme si je pense qu'il n'est pas du seulement a celui de carhaix (n'oublions pas qu'il s'agit d'un service public tout comme le sont la D.D.E ,la poste, ou autres...),l'élaboration du projet alternatif y créera surement des consequences.

bof la police française a bien fait déporter de juifs pendant la seconde guerre, z'on pas changé!

toujours la violence!

Ce topic est de la propagande de socialo gauchiste !

bof la police française a bien fait déporter de juifs pendant la seconde guerre, z'on pas changé!

toujours la violence!

Tu raconte n'importe quoi... Va prendre tes cachets mon grand !

il taperais leurs pere et leur mere , et meme leurs goss si il etais dans la manif!

Tu es encore là ? Mais qu'est-ce que tu connais aux services de police toi ?

En outre, elle s'est elle-même chargée du recensement des juifs, de leur arrestation et de leur rassemblement dans les camps de concentration (Drancy, etc.), réquisitionnant pour cela, à Paris les bus, et sur l'ensemble du territoire français des trains de la SNCF. Soucieuse d'éviter une rébellion massive de la population française, la Gestapo pensait, avec raison, que de tels risques seraient minimisés si, au lieu de se charger elle-même des rafles, la police française le faisait.La collaboration policière est d'abord marquée par la période Bousquet, secrétaire général de la police française de mai 1942 au 31 décembre 1943.

voila c'est pas moi qui le dit c'est l'histoire mon grand!!!!

La france, c'est le pays de la liberté, donc ça ne peut pas être une dictature à cause des valeurs de la france.

La bielorussie, elle c'est la dernière dictature d'europe.

La france, c'est le pays de la liberté, donc ça ne peut pas être une dictature à cause des valeurs de la france.

La bielorussie, elle c'est la dernière dictature d'europe.

Encore faut-il que ces valeurs ne soient pas bafoué...

Encore faut-il que ces valeurs ne soient pas bafoué...

Tu es encore là ? Mais qu'est-ce que tu connais aux services de police toi ?

En outre, elle s'est elle-même chargée du recensement des juifs, de leur arrestation et de leur rassemblement dans les camps de concentration (Drancy, etc.), réquisitionnant pour cela, à Paris les bus, et sur l'ensemble du territoire français des trains de la SNCF. Soucieuse d'éviter une rébellion massive de la population française, la Gestapo pensait, avec raison, que de tels risques seraient minimisés si, au lieu de se charger elle-même des rafles, la police française le faisait.La collaboration policière est d'abord marquée par la période Bousquet, secrétaire général de la police française de mai 1942 au 31 décembre 1943.

voila c'est pas moi qui le dit c'est l'histoire mon grand!!!!

Cite tes sources au moins... Et alors ? Je te signale que la France a changé depuis 1942 ! Et tu était là au moment où la police avait aidé les nazis ? Qui te dis que les policiers n'avaient pas eux de pressions de la part des nazis ? Exemple, "aidez-nous ou bien votre famille ira aussi dans le train pour Auschwitz !"

des pressions certes mais si la résistence avais fait de meme on serais

Longtemps gardées secrètes, les archives de la police française sous l'Occupation seront désormais accessibles au public et exposées au Mémorial de la Shoah de Paris.

La préfecture de police de Paris a signé jeudi une convention d'échange des archives avec le Centre de documentation juive contemporain et le Mémorial de la Shoah Ces archives comprennent des fiches d'arrestation, la liste des biens spoliés, des documents contenant la comptabilité du camp de Drancy...

En 1995, date à laquelle Jacques Chirac reconnaissait publiquement la responsabilité de l'Etat français dans la déportation de juifs, débutait un processus visant à rétablir la transparence dans cet épisode douloureux et déshonorant de l'histoire de la France.

75.000 juifs, raflés et déportés par la police française, ont trouvé la mort dans les camps d'extermination nazis.

se furent de bon français!!!!

Que veux tu ? Chaqu'un et chaque pays fait des erreurs dans son histoire... Mais il faut savoir pardonner et avancer dans la vie ! Sinon marco, j'aime beaucoup ton coté humain !

quand des gens manifestent pour vivre des lendemain meilleurs , et bien il se font tabasser par des gens de leur meme nationalité ,sous la protection d'un uniforme!

q'elle est belle la solidarité!! sa donne envie de gerber!

sur se bonne nuit

On peut très bien manifester dans le calme et sans rien casser ! Faut déjà commencer à virer des manifestions, les casseurs !

Je suis bien placé pour me rendre compte que les provocations venaient des force de l'ordre, je me suis fait prendre à parti par une bonne dizaine d'entre-eux lors de la manif du 7 juin à quimper.Ils se sont jeté sur moi en me portant des coups de matraques, mis au sol, menotté jusqu'à l'os avec le genoux me bloquant le dos et ensuite, il m'ont gazé à l'aide des grosses bombonnes d'acrymos à 20 cm...Tous ca totalement gratuitement et pour le simple fait que je tenais un baton à la main, ma soeur qui était avec moi fut mise à terre, non-menotté mais tenu très fortement par les poignets, je l'entendais hurler de douleur...5 heures de garde à vue sans savoir pour quelles raisons s'en suivirent...

Aujourd'hui, le prefet du finistere présenta ses excuses aux élus et à la population centre-bretonne pour les actes commis par les agents dépositaires de la force publique (gendarme mobile), considéré comme acte grave et d'une rare violence par les élus défenseurs de l'hopital de carhaix.