Les trois Peugeot 908 HDi-FAP ont signé les trois meilleurs temps des qualifications des 24 Heures du Mans, dont le...




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Voici la grille de départ des 24 Heures du Mans à l'issue des deux séances d'essais qualificatifs disputées mercredi et...




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Le nouveau duel entre Peugeot et Audi lors de la 76e édition des 24 Heures du Mans automobiles, dont le départ sera donné samedi à 15h00, promet une opposition de style dans la lignée des anciens France-Allemagne de football.




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Avoir une voiture rapide c'est bien mais pour gagner une course il faut d'abord etre à l'arrivée et pour cela il faut avoir une voiture fiable. Malheureusement les peugeots ne sont pas tres fiables puisque chacune d'elles ont eu un probleme à l'heure actuelle contrairement aux audi..

en résume rapidité:

fiabilité:

ALLER PEUGEOT!!!!!!!!!

Les écarts ont continué à varier entre les deux voitures de tête, de 15 secondes à 1 minute 45, au gré des ravitaillements et des conditions météo. L'Audi N.2 était passée en tête vers 5h20, avec Tom Kristensen au volant, qui en fin de relais a fait un tout-droit dans une des chicanes, puis a passé le volant à son collègue écossais.

"C'est très difficile, dès qu'on appuie sur l'accélérateur la voiture part", a dit Jacques Villeneuve, très constant pendant tout son relais, à sa descente de voiture. "Mais ce n'est pas grave d'avoir cédé la tête, parce que quand ça redeviendra sec on repassera devant", a assuré le Québécois.

A huit heures de l'arrivée, Franck Montagny, sur la 908 N.9, était remonté à la 3e place en dépassant Mike Rockenfeller sur l'Audi N.3, celle des jeunes. Comme en tête, la bataille faisait rage entre ces deux voitures et les écarts restaient très réduits.

Derrière les six protos diesel, la meilleure voitures essence était toujours une Pescarolo-Judd, la N.16 de Primat-Tinseau-Tréluyer, alors que la N.17 avait renoncé, boîte de vitesses en vrac.




AFP
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Jacques Villeneuve et ses équipiers chez Peugeot ont terminé à la 2e place. Villeneuve espérait devenir le deuxième pilote après Graham Hill à décrocher la Triple Couronne de l'automobile. Villeneuve a remporté le championnat du monde de F1 en 1997 et les 500 miles d'Indianapolis en 1995.


AP
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L'Audi diesel victorieuse a livré une course parfaite et ultraréaliste. La pluie, et surtout le talent de son trio de pilotes sur piste mouillée, lui a d'abord permis de prendre la tête de l'épreuve au petit matin, avant d'être servie par la chance à deux heures de l'arrivée lorsqu'un tête-à-queue de Kristensen, sous la passerelle Dunlop, n'a pas fini dans le bac à graviers.

La stratégie de Peugeot s'est avérée perdante
Au terme d'un final haletant, la constance d'Audi a été récompensée. La marque allemande, invaincue dans la Sarthe depuis 2000, n'a connu aucun souci technique et place ses trois protos dans le top 6: les vainqueurs, mais aussi Luhr-Prémat-Rockenfeller (4e) et Biela-Pirro-Werner (6e).

Côté français, l'équipage de la numéro 9, Montagny-Klien-Zonta (3e), complète le podium. Peugeot peut se mordre les doigts d'avoir laissé échapper une dernière occasion de gagner la course, sur un mauvais choix de pneus à une heure de l'arrivée. Alors que la numéro 7 de Minassian avait réussi à revenir à deux minutes de l'Audi et repassait dans son stand au moment précis où la pluie se remettait à tomber, le choix de ne pas chausser de pneus pluie, mais plutôt des «slicks», en pariant sur le caractère passager de l'averse, s'est révélé perdant. En effet, quelques secondes plus tôt, la rivale allemande avait fait le choix de la sécurité en montant des pneus intermédiaires. La preuve de ce pari raté: à 20 minutes de la fin, Peugeot a enfin monté des pneus pluie sur la numéro 7, mais trop tard.




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Voici quelques images que j'ai faites du plateau de cette année.

Je ne suis pas un photographe de grand talent et la photo crépusculaire de véhicules roulant à plus de 200 km/h n'est pas facile.

Une des Aston Martin DB9R d'usine, la N°007 (of course!) ne pas confondre avec le N°7 qui est celui d'une des Peugeot. Photo prise au bout de la ligne droite des Hunaudières au lieu dit "Mulsane", gros freinage depuis 320 à 350 km/h (Selon que l'on est en LMP1 ou en GT2) pour aborder un 90 droite. Pleine charge en sortie de virage.

Voiture N°007

Equipe : ASTON MARTIN RACING (GBR)

Catégorie : LMGT1

Modèle : ASTON MARTIN DBR9 (5993A)

Pilotes :

WENDLINGER Karl

PICCINI Andrea

FRENTZEN Heinz Harald

La 908 N°8; au freinage dans le "S" en descente après la passerelle Dunlop (avant d'attaquer le "Tertre rouge". Le premier des deux virages se prend "à fond", "pleine charge" et l'attaque du second se fait "debout sur les freins", d'où les disques rouges.

Voiture N°8

Equipe : TEAM PEUGEOT TOTAL (FRA)

Catégorie : LMP1

Modèle : PEUGEOT 908 (5500T)

Pilotes :

LAMY Pedro

SARRAZIN Stephane

WURZ Alexander

L'Audi R10 N°3 également en réaccélération à la sortie des Hunaudières.

Voiture N° 3

Equipe : AUDI SPORT TEAM JOEST (DEU)

Catégorie : LMP1

Modèle : AUDI R10 (5499T)

Pilotes :

LUHR Lucas

PREMAT Alexandre

ROCKENFELLER Mike

Et enfin une des Corvettes :

Voiture N° 64

Equipe : CORVETTE RACING (USA)

Catégorie : LMGT1

Modèle : CORVETTE C6.R (6993A)

Pilotes :

BERETTA Olivier

GAVIN Oliver

PAPIS Massimiliano

Merci pour ces belles images...

Une belle compétition qui ne fait malheureusement rien pour l'écologie... Près de 900'000 Euros de carburant ont été grillé durant le week-end...