Violée et torturée pendant 19 heures, elle témoigne

C'est effrayant de savoir des personnes dans ce style en liberté

Et encore....si tu voyais le nombre d'internautes qui appellent à la mort, à la mutilation sur ce forum ,(et qui sont donc en liberté) tu serais bien plus qu'éffrayé

Autant je pense que pour des gens qui tuent, c'est à étudier, autant pour des violeurs je ne suis pas d'accord car une fois l'arme détruite, à savoir leur sexe, ils ne sont je pense plus réellement dangereux. Bien sûr on ne doit pas les relacher comme ça dans la nature sans surveillance, on ne sait jamais. Il faut se donner les moyens d'un vrai suivi et dans ce cas une réinsertion est toujours possible. Du moins j'imagine.

Pour des gens qui violent, torturent et tuent, c'est très différent par contre. Car ça se passe avant tout dans la tête et pas entre les jambes.

Tu vas etre étonner mais je pense tout à fait comme toi.C'est dans la tete que ça se passe.On y arrive

Hm.

Il faudrait les rééduquer les gens dans le style.

Un violeur vous le dira : la seule façon de l'empêcher de passer à l'acte est de le castrer. Il obéit à des pulsions. Elles seront toujours en lui lors de sa sortie de prison.

La castration chimique, me direz-vous...vaste fumisterie!

La quasi-totalité des violeurs ne suivent pas leur traitement.

Deux solutions pour ces types :

-La détention à vie (et encore, ils trouveraient le moyen de se taper du bon temps avec des détenus).

-La castration.

Leur permettre de retrouver la liberté avec tous leurs attributs est une folie incommensurable.

Je ne pense pas que la castration empêche quoi que ce soit. Les eunuques n'étaient pas empêchés d'avoir des pulsions. On s'assurait juste qu'ils ne puissent pas procréer (et donc faire des batards dans les harems royaux). A mon avis, les mystiques cinglés (un peu pléonasmique j'en conviens) qui pratiquaient la castration volontaire pour se rapprocher de Dieu devaient vite regretter leur choix car l'envie les tenaillait mais sans aucun espoir de... contentement. Je redoute, au contraire, que les différentes formes d'impuissance ne poussent vers davantage de perversions malsaines.

De toute façon, quel intérêt pour une Société de confiner des eunuques ? Est-ce régler le problème et leur permettre une réinsertion véritable ? Bien sûr que non. Si on les maintient en vie pour faire par la force des choses des espèces de sous-hommes bons pour la mutilation et/ou la mise en cage, il est plus humain et décent de les condamner à mort.

La peine de mort est la conséquence logique de la règle qui dispose que tout homme enfreignant gravement les codes de la Société humaine mérite d'être exclu de cette même Société. Elle doit s'appliquer à ceux qui ne seront jamais en mesure de s'amender véritablement car ils sont intrinséquement incapables de résister à leurs pulsions criminelles dont ils retirent du plaisir. Maintenir en léthargie n'est préférable que pour ceux qui refusent d'endosser la responsabilité de condamner logiquement. Pour ma part, je n'aurais aucune réticence à voter une condamnation à la peine capitale pour quelqu'un dont l'horreur des crimes prouve assez sa dangerosité pour l'Etat et la Société.

Je n'ai fait que me référer au témoignage d'un détenu pour viol.

Je cite : "le seul moyen de stopper mes pulsions est de me castrer. Dès l'instant où je mettrai les pieds dehors, je recommencerai. Je ne peux pas me contrôler. Les médicaments ? Pas envie de les prendre. Pas la force mentale."

Bien-sûr, le viol peut s'effectuer avec bien d'autres moyens que le phallus, j'en conviens.

Le temps où l'on castrait les handicapés mentaux (ou supposés l'être : n'oublions pas qu'il était facile pour une famille, avec la complicité du médecin, d'interner un membre indésirable, pour diverses et obscures raisons) n'est pas si loin : dans les années 50, c'était encore chose courante (castration, lobotomisation...).

La peine de mort ? Pourquoi pas. La chose m'importe peu.

L'important est que ces individus soient hors d'état de nuire.

Maintenant, que le châtiment envers ces criminels soit , comme tu sembles y tenir, décent, m'indiffère au possible (tant que, et je rejoins Seth sur ce détail, nous ne nous abaissons pas au lynchage, à la torture, afin de donner libre-court à nos plus vils instincts...).

Ménager la frustration de ces messieurs est le cadet de mes soucis.

Ont-ils ménagé la sensibilité de leurs victimes ? Non.

Le taux de récidive au Canada est le plus faible au monde :durant leur incarcération, les détenus suivent une thérapie comportementaliste et sont suivis à leur sortie de prison.

L'internement psychiatrique est aussi une bonne solution. Mais, étant donné que les perversions sont des pathologies actuellement incurables, le patient devrait être interné à vie. Cela nécessite, évidemment, beaucoup de moyens structurels, de personnel, donc d'un apport financier non négligeable.

Bref, soyons réalistes : la société ne sait quoi faire de ses criminels sexuels.

C'est exact.

C'est un des indices de l'échec du pari qu'est la société d'encadrer les rapports humains.

Tout ceci donne la chair de poule- violée et torturée?- oh! homme d'où te vient cet instinct animal?

Héhé... Ca n'a rien d'animal. Les animaux ne violent ni ne torturent