envoi de nouvelles troupes en Afghanistan

Pour tous ceux qui s'imagine que les militaires sont payés à rien faire et que leur metier consiste à tuer:

La protection de nos concitoyenset les missions de service public

L'armée de l'air met aussi en oeuvre d'importants moyens pour protéger nos concitoyens contre les menaces classiques venant du ciel. Entre 10 000 et 15 000 aéronefs survolent la France chaque jour, ce qui est un sujet particulièrement sensible depuis les évènements du 11 septembre 2001. Agissant dans un cadre interministériel, de nombreuses unités veillent 7 jours sur 7,

24 heures sur 24, afin de détecter et d'identifier tous ces appareils. Elles garantissent également la liberté d'action des autorités de l'Etat et la protection des installations majeures du pays. Des moyens de commandement et de contrôle, des systèmes de surveillance et des intercepteurs répartis sur un maillage géographiquement équilibré de bases aériennes, forment le dispositif de la posture permanente de sûreté aérienne. Entre huit et douze avions ¿ Mirage F1, Mirage 2000 et Rafale ¿ et cinq hélicoptères, un SDCA et un ravitailleur sont en alerte pour intercepter des vecteurs aériens rapides ou lents tels qu'avions légers, hélicoptères ou drones, dans un délai très court. Cette défense aérienne repose aussi sur des accords diplomatiques garantissant la coordination avec les pays limitrophes à la France.

Le rôle de l'armée de l'air dans la protection quotidienne de nos concitoyens ne se limite pas à cette mission essentielle.

Elle a déjà été sollicitée lors de catastrophes naturelles ou industrielles pour secourir depuis les airs des populations en difficulté ou pour soutenir le dispositif de santé publique.

Elle participe à d'autres missions de service public comme l'assistance en vol aux avions en détresse, la participation au plan Vigipirate et la lutte contre les feux de forêt.

En quelques chiffres, sur 12 mois, les appareils d'alerte ont décollé 2 000 fois. 200 de ces missions ont concerné l'assistance à des appareils en difficulté. De plus, environ 130 opérations de recherche et sauvetage (SAR) sont déclenchées chaque année, qui permettent de sauver en moyenne une vingtaine de personnes.

L'armée de l'air est responsable de la coordination et de la conduite de ces mesures.

Source

De plus (chiffres de 2000):

La Marine nationale consacre une part appréciable de ses activités à des missions de

service public. Elle attache une grande importance à ces tâches répétitives,

contraignantes, souvent dangereuses bien qu'elles n'aient pas de caractère

spécifiquement militaire. Les marins éprouvent une légitime fierté en contribuant ainsi, avec

d'autres organismes, à la sécurité maritime en général, à la sauvegarde de la vie humaine et à

la préservation de l'environnement.

La Marine nationale est donc conduite à investir une partie de ses propres crédits dans

l'utilisation pour le service public de navires ou d'aéronefs normalement destinés à des

actions purement militaires, ou dans l'acquisition de petits bâtiments, d'avions ou

d'hélicoptères essentiellement conçus pour ces missions particulières, ou encore dans

l'affrètement de remorqueurs de haute mer et d'unités spécialisées dans la lutte contre les

pollutions d'origine maritime. On évalue, en général, le poids de ces missions de service

public à 17 % de l'activité totale de la Marine nationale, ce qui représente environ

48 000 heures de mer et 10 000 heures de vol chaque année.

La plupart de ces missions sont peu connues du grand public : c'est en particulier le

cas de l'information aux navigateurs, responsabilité du Service hydrographique et

océanographique de la Marine, de l'assistance aux populations insulaires, principalement dans

les départements et territoires d'outre-mer, de la surveillance exercée sur les onze millions de

kilomètres carrés de zone maritime exclusive qui place la France en troisième position dans le

monde, derrière les états-Unis et la Grande-Bretagne.

Par contre, l'actualité rappelle périodiquement l'importance de la police des pêches

pour contribuer à la protection des ressources halieutiques et au respect de la réglementation

communautaire, de la police de la navigation pour assurer le bon ordre en mer, de la surveillance côtière grâce à la chaîne de sémaphores, mais surtout de l'assistance aux navires

en difficulté et de la prévention ou de la lutte contre les pollutions.

Les moyens spécifiques d'intervention

La Marine nationale s'est ainsi doté d'un assez grand nombre de moyens spécialisés :

six bâtiments hydrographiques ou océanographiques, cinq patrouilleurs de service public : six

hélicoptères Dauphin, suppléant et complétant les hélicoptères Super Frelon pour le sauvetage

en mer, quatre avions de type Falcon 50 (d'un coût total de 770 millions de francs) pour

réduire la contribution du parc d'Atlantique 2 aux activités non directement militaires.

Sur les trois façades maritimes de la France (Manche, Atlantique et Méditerranée), on

a recensé pour l'année 1999 un total de 7 100 interventions, concernant 13 200 personnes,

effectuées par l'ensemble des organismes aptes à agir en mer, majoritairement par la Marine

nationale qui dispose des moyens les plus nombreux et les plus élaborés.

Dans les départements et territoires d'outre-mer de l'Atlantique, de l'Indien et du

Pacifique, les missions de service public incombent aux frégates de surveillance, aux

bâtiments de transport léger, aux patrouilleurs P400, aux unités légères de la Gendarmerie

maritime et aux avions de surveillance Gardian.

Source

Enfin, en vrac un bilan des missions de service public menées en 2002/2004 (j'ai pas cherché plus récent, par manque d e temps...) par ces feignasses de militaires payés à rien faire (je parle même pas des sapeurs pompiers de Paris qui en termes de branleurs décrochent la palme...):

L'emploi des armées sur le territoire national répond à trois principes exclusifs ou cumulatifs :

* une menace sur la sécurité de la population,

* une urgence absolue à laquelle seuls des moyens militaires peuvent répondre,

* lorsque les moyens civils ne peuvent répondre à l'urgence et à l'ampleur des besoins.

Ce bilan ne prend en compte que des opérations majeures et non des actions menées au quotidien (telles que la mise à disposition de lits pour les sans-abris, la dépollution d'un site..), ni des missions de l'état en mer.

Renforcement de la sécurité générale (VIGIPIRATE, VIGIMER, SURAMAR).

Suite aux attentats du 11 septembre 2001, le plan Vigipirate a été renforcé, les plans VIGIMER et SURAMAR (renforcement de la surveillance des approches maritimes atlantiques et méditerranées) crées et la sûreté aérienne, renforcée.

A ce titre, le plan Vigipirate mobilise en permanence 990 militaires dont une partie en alerte en France et en métropole. Les niveaux d'alerte et de déploiement varient selon la situation sécuritaire. Ainsi, lors des fêtes de fin d'année 2003, des frappes américaines en Irak en mars 2003 ou de l'attentat au Maroc en mai, le dispositif Vigipirate a été adapté.

Les missions réalisées par les militaires dans le cadre de Vigipirate ont évolué depuis mars 2003. Aux missions habituelles de patrouilles mixtes (forces de l'ordre armées) dans les sites sensibles, se sont ajoutées des patrouilles mobiles (PM) avec des véhicules militaires et un véhicule de la police. C'est le cas à Paris, par exemple en renforcement de l'UMIP (Unité Mobile d'Intervention et de Protection de la Police).

En outre, les préfets maritimes Atlantique et Méditerranée assurent le renforcement de la surveillance des approches maritimes et des ports avec un effectif permanent de 190 marins (plan VIGIMER et SURAMAR).

De plus, le renforcement de la sûreté aérienne se traduit en permanence par la posture d'alerte de 4 à 6 terrains et de 8 à 12 avions de combat et du déploiement d'un système de surveillance radar à La Hague. Cette mission mobilise 212 militaires en permanence.

Naufrage du Prestige (3 décembre 2002 au 25 juin 2003)

Le plan Polmar Mer a été déclenché le 3 décembre 2003 à la suite du naufrage du Prestige, au large des côtes espagnoles.

Quatre navires ont été engagés simultanément pour assurer le repérage de nappes de fioul, un total de 277 marins. Ce déploiement est complété par un dispositif de surveillance aérienne composé d'un super-frelon, d'un hélicoptère dauphin et d'un avion de type Falcon 50. Le dispositif a été mis en alerte le 25 juin 2003.

Le plan Polmar Terre a été déclenché le 6 janvier 2003 afin de participer au ramassage des galettes de fioul sur les plages du sud-ouest. Ainsi, 250 militaires ont été engagés sur cette mission qui a duré du 6 janvier au 20 mars 2003.

Bilan :

Le 24 mars 2003, le bilan des travaux effectués est de 503 km de plages traitées et de 1296 tonnes de résidus ramassés ainsi que la mise en place de 1500 m de barrages flottants.

Recherche d'un enfant disparu (18 au 20 mars 2003)

Pour répondre à une réquisition judiciaire du SRPJ de Versailles, un détachement de l'armée de terre composé de 2 unités Proterre, et d'un groupe du génie (soit 130 militaires au total) ont participé aux recherches d'un enfant disparu (Estelle), du 18 au 20 mars à Guermantes (77).

Cyclone Erika en Nouvelle-Calédonie (14 mars au 5 avril 2003)

Après le passage du cyclone Erika le 14 mars sur la Nouvelle-Calédonie, les Forces Armées en Nouvelle Calédonie (FANC) ont participé à la hauteur de 1500 hommes avec tous les moyens disponibles, à la remise en état du territoire en réalisant le déblaiement et la remise en état d'infrastructures civiles et d'habitations, le rétablissement d'itinéraires, des travaux au profit de la population et le dégagement d'infrastructures électriques.

Sécurisation du Sommet d'Evian (18 mai au 5 juin 2003)

Le nombre total des militaires ayant participé à la sécurisation du sommet du G8 " Evian 2003 " est de 4800 militaires dont plus de 2600 déployés dans la région d'Evian, à Lyon, en Suisse et dans l'espace aérien d'Evian. Un important dispositif terrestre (1800 hommes et plus de 25 hélicoptères) et un dispositif complet de sûreté aérienne (720 hommes et plus de 30 avions) ont été déployés en complément des mesures de sûreté permanentes et ont montré leur efficacité. Elles ont, en outre, mis à disposition des autorités, 2400 rations, 3100 bouteilles d'eau, 150 couvertures, 600 sacs de couchage et 300 matelas.

Lutte contre les feux de forêts (24 juin au 17 septembre 2003)

Chaque année, dans le cadre d'un protocole entre les ministères de l'Intérieur et de la Défense, les armées participent à la lutte contre les feux de forêts dans le sud de la France en complément du dispositif civil de la Direction de la Défense et de la Sécurité civile (DDSC).

La campagne 2003 du plan Héphaïstos a été marquée par sa dimension exceptionnelle tant dans le volume des moyens militaires engagés que dans le nombre d'interventions dans le sud-est et en Corse.

Près de 500 militaires engagés pendant 10 semaines, 1550 heures de vol effectuées par les 8 hélicoptères engagés et plus d'un million de kilomètres parcourus par les 200 véhicules, mis à disposition de la sécurité civile pour des missions de surveillance, de guet, de patrouille, de transport, de réalisation de coupe-feu et parfois de lutte contre des flancs de feux maîtrisés.

Sur les trois blessés déplorés par les armées au cours de cette campagne, l'un d'eux est toujours hospitalisé à Toulon.

Participation à une campagne de vaccination contre la méningite (10 juillet 2003)

Suite à une épidémie de méningite à Metz, et sur réquisition préfectorale, quinze équipes médicales militaires composées chacune d'un médecin et de deux infirmiers (dix de l'armée de terre, cinq de l'armée de l'air) ont été mises à la disposition des services sanitaires du département de la Moselle, afin de prévenir une épidémie de méningite par vaccination.

Mise à disposition de moyens en Ile de France dans le cadre de la canicule (août 2003)

Dans le cadre de la lutte contre les effets de la canicule qui a sévi en France durant le mois d'août dernier, trente lits ont été libérés dans les trois hôpitaux militaires de la région parisienne. 150 linceuls militaires ont été donnés à l'Institut médico-légal de Paris. Du 15 août au 3 septembre, 9 conteneurs frigorifiques ont été mis à la disposition de la préfecture des Hauts de Seine. Du 11 au 18 août, une hausse de 40% d'admission dans les services d'urgence et une hausse de 150 % d'hospitalisation dues à la canicule ont été observées dans les hôpitaux militaires parisiens.

Participation au transport de fourrage (9 septembre au 21 novembre 2003)

Face à la pénurie de fourrage dans certains départements de la partie sud de la France, la participation au transport de fourrage, a été décidée par le Ministère de la Défense, sur demande de concours du ministère de l'Agriculture afin de répondre à l'urgence de la situation et aux carences circonstancielles des entreprises de transport.

Le volume global de fourrage transporté est de 2670 tonnes par huit convois de trente camions, pour un total de huit cent militaires engagés et 400 000 kilomètres parcourus.

Inondations dans le sud de la France (décembre 2003)

Les armées ont participé du 2 au 26 décembre 2003, au renforcement du dispositif mis en place par le préfet de la zone de défense pour faire face aux conséquences des pluies torrentielles qui ont frappé les départements du sud-est de la France. Plus de 700 militaires et 10 hélicoptères sont intervenus sur le terrain .

Le concours des armées s'est exercé dans les domaines suivants :

* aide à la mobilité terrestre avec des véhicules tout terrain,

* évacuation de la population par voie routière, nautique (20 zodiac) et aérienne (136 évacuations) ;

* aide à l'hébergement d'urgence, 900 personnes hébergées dans des infrastructures de la Défense et 2500 lits de campagne distribués ;

* distribution d'eau par citerne, de bouteilles et de vivres, 5000 rations de combat ;

* colmatage de digues par héliportage de "sacs à terre" et aide au pompage de l'eau avec 20 moto-pompes ;

* soutien de proximité des unités à la population dans les garnisons ;

* participation à la sécurisation de quartiers évacués,

* reconnaissance de zones en hélicoptère ;

* aides aux entreprises par déblaiement de gravats et denrées périssables avec plus de 7000 m3 dégagés dans une trentaine d'entreprises.

Pour un total :

* de plus de 200 000 kilomètres parcourus par les véhicules militaires,

* 80 heures d'hélicoptère,

* 2200 nuitées d'hébergement de civils (couchage +nourriture).

Participation aux recherches des boîtes noires et de l'épave du Boeing 747 à Charm el Cheikh

Dès le 3 janvier 2004, les armées françaises ont dépêché un dispositif de recherche vers Charm el Cheikh. Ce sont 615 militaires français qui au pic de l'engagement des armées ont participé à ces recherches.

Source

Pour ce qui est des soldes, je vous laisse juge:

A titre indicatif, voici la rémunération mensuelle de base des grades de militaire du rang Engagé Volontaire de l'Armée de Terre (EVAT) :

*

Soldat : 1255,02 ¿

*

Caporal: 1255, 02 ¿

*

Caporal-chef: 1322,49 ¿.

A titre indicatif, voici la rémunération mensuelle de base des grades de militaire du rang Volontaire De l'Armée de Terre (VDAT) :

*

Soldat : 713,77 ¿

*

Caporal: 740,92 ¿

*

Caporal-chef : 781,50 ¿

Taux net en vigueur en janvier 2007

Haut

Sous-officier

La solde mensuelle d'un sous-officier varie en fonction du grade et de l'ancienneté dans le service.

A titre indicatif, voici la rémunération mensuelle de base des grades de sous-officier :

*

Sergent : 1286,51 ¿

*

Sergent-chef : 1367,48 ¿

*

Adjudant : 1673,36 ¿

*

Adjudant-chef : 1817,30 ¿

*

Major : 1958,13 ¿.

Taux net en vigueur en janvier 2007.

Haut

Officier

La solde mensuelle d'un officier varie en fonction du grade et de l'ancienneté dans le service :

*

Sous-lieutenant : 1565,40 ¿

*

Lieutenant : 1794,81 ¿

*

Capitaine : 2064,71 ¿

*

Commandant : 2447,07 ¿

*

Lieutenant-colonel : 2923,88 ¿.

A titre indicatif, voici la rémunération mensuelle de base d'un Volontaire Aspirant De l'Armée de Terre (VADAT) :

*

Aspirant : 844,80 ¿

Taux net en vigueur en janvier 2007

Source

C'est quand même pas cher payé pour risquer sa vie, ne pas connaître les 35hrs (ni aucune heure d'ailleurs), ne pas voir sa famille parfois plusieurs mois par an etc....

Sauf que quand ils vont dans les pays hors France ils triple leurs soldes et ne parlons pas des nombreux avantages du a leur statut.

Encore heureux qu ils ne font pas que tuer c est bien beau tout ça mais c est quand même leur travail.

Je croyais qu'on avait des problèmes d'argent.

Un amendement de protestation est déposé par l'opposition pour cet envoi qualifié de politique atlantiste.

On va dégraisser l'armée alors pourquoi ce contingent de casse-pipes ?

Sauf que quand ils vont dans les pays hors France ils triple leurs soldes et ne parlons pas des nombreux avantages du a leur statut.

Encore heureux qu ils ne font pas que tuer c est bien beau tout ça mais c est quand même leur travail.

Oui, et ils sont imposés en conséquence... Quant aux avantages dûs au statut, si tu as des exemples, je suis preneur.

Flyco y'a pas la source , si ça vient du ministére de la défense .....

Flyco y'a pas la source , si ça vient du ministére de la défense .....

Au temps pour moi, sources affichées...

Sauf que quand ils vont dans les pays hors France ils triple leurs soldes et ne parlons pas des nombreux avantages du a leur statut.

Encore heureux qu ils ne font pas que tuer c est bien beau tout ça mais c est quand même leur travail.

Oui, et ils sont imposés en conséquence... Quant aux avantages dûs au statut, si tu as des exemples, je suis preneur.

La retraite ainsi que les emplois préréservé a la suite de celle ci.

Ce qui est drole c est que Sarko avait dis qu il n y avait pas besoin d envoyer des troupes là bas durant sa campagne ne me dites aps qu il a cahngé d avis.

:blush: mouais , mais envoyer nos gus au casse-pipe juste pour faire plaisir a Deubeuliou et sa bande de et par la meme occasion foutre en l'air la politique etrangere de la France depuis De Gaulle , c'est un peu cher payé pour permetre a ce de Sarko de frimer

:blush: comme quant il a ete faire le pitre a Londre ou malgrés toutes ses concessions envers les Anglais , il n'a rien obtenu en retour , les anglo-saxons prennent tous ce qu'on leur donne , mais eux ils ne donne rien

bonsoir, je tombe par hasard sur ce topic, je vois que certains en sont encore à croire que les militaires sont logés, nourris, blanchis, etc....etc.... et que leur solde est triplée quand il parte en mission je crois que mon fils, militaire depuis 11ans, a loupé quelque chose, il devrait faire une réclamation sur ce que lui doit l'état!!

bonsoir, je tombe par hasard sur ce topic, je vois que certains en sont encore à croire que les militaires sont logés, nourris, blanchis, etc....etc.... et que leur solde est triplée quand il parte en mission je crois que mon fils, militaire depuis 11ans, a loupé quelque chose, il devrait faire une réclamation sur ce que lui doit l'état!!

Oui il devrait.

Les militaires gagnent un peu en mission comparatif avec les risques dans le teatre d'operation. Ils ne peuvent pas acheter une voituture chere dans six moins. Nous ne povons pas que accusions les militaires parce que ils ne tranchent pas.

Excusez - moi pour ma langue francaise!