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Sanction opération Licorne


breitz35

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Membre, Posté(e)
breitz35 Membre 2 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je souhaiterai voir votre sentiment a propos de cette affaire ;)

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VIP, Le Patron, 40ans Posté(e)
Lexor VIP 2 388 messages
40ans‚ Le Patron,
Posté(e)

Moi je pense que ce n'est pas normal de sanctionner ces militaires en place publique je précise. On n'aurait jamais du le savoir tout ça. La ministre a fait une erreur qui va couter cher à la France.

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Membre, Posté(e)
breitz35 Membre 2 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Puis-je avoir d'autres avis ;)

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Membre+, E-mage, 75ans Posté(e)
usagi Membre+ 363 016 messages
75ans‚ E-mage,
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l.gifa ministre de la défense Michèle Alliot-Marie a prononcé, mercredi 2 novembre, des sanctions contre le général Henri Poncet et son adjoint, après le meurtre dans des conditions atroces d'un Ivoirien par des soldats français. Henri Poncet, qui dirigeait l'opération Licorne en Côte d'Ivoire au moment des faits, en mai 2005, ainsi que le général Renaud de Malaussène, sont frappés d'un blâme, une sanction "très lourde", a expliqué à la presse le général Henri Bentégeat, chef d'état-major des armées, qui a précisé que cela faisait au moins quinze ans qu'une telle sanction, la plus grave d'ordre disciplinaire dans l'armée, n'avait été infligée par un ministre à un officier.

OAS_AD('Middle');Firmin Mahé, un "coupeur de routes" ivoirien soupçonné d'actes criminels par les forces françaises, a été "tué par étouffement par des militaires français dans un véhicule blindé entre Bangolo et Man, le 13 mai", indique le rapport d'enquête remis mercredi à la ministre de la défense, confirmant les révélations de la presse, la semaine dernière, selon lesquelles ce suspect, blessé par des tirs français, avait ensuite été étouffé au moyen d'un sac en plastique.

LES DEUX GéNéRAUX TRANSFéRéS

"Le commandant de la force Licorne [le général Poncet] a été informé des faits, mais ne les a pas portés à la connaissance de ses autorités hiérarchiques", précise le rapport d'enquête. Les deux généraux ont "délibérément occulté des faits graves survenus sur le théâtre d'opérations dont ils avaient la responsabilité".

Le blâme touche deux généraux "aguerris, à la compétence reconnue" selon le général Bentégeat, et auxquels avaient été confiées des missions délicates. "Ce n'est pas une sanction mince dans les armées (...) Ces sanctions les mettent dans des postes de chargés de mission et non plus de commandement", a-t-il ajouté.

"Au-delà du meurtre lui-même, qui reste inqualifiable, deux éléments fondamentaux de notre crédibilité sont en cause dans cette affaire", a déclaré le général. D'une part, "un soldat français a le devoir de respecter son adversaire, a fortiori s'il est blessé et désarmé", d'autre part "le responsable d'un théâtre d'opérations doit une transparence absolue au chef d'état-major des armées". "Toute rupture de confiance entre ces deux niveaux peut avoir des conséquences dramatiques dans la conduite des opérations", a-t-il insisté.

Le général Poncet, qui depuis son retour de Côte d'Ivoire cet été dirigeait la région Terre Sud-Ouest, devrait être transféré à Paris, pour intégrer la direction du renseignement militaire. Le général de Malaussène, qui dirige depuis le 4 octobre la brigade multinationale des Nations unies au Kosovo, devrait être muté à Lyon.

POURSUITES PROBABLES DEVANT LES TRIBUNAUX

Lorsque cette affaire avait été annoncée par le ministère de la défense, le 17 octobre, trois militaires avaient été suspendus : le général Poncet, le colonel Eric Burgaud et un adjudant-chef qui se trouvait dans le véhicule où a été tué Firmin Mahé. La ministre a décidé mercredi de suspendre aussi deux militaires du rang, dont l'enquête de commandement a établi qu'ils étaient également présents lors des faits. Ces trois militaires et leur chef de corps seront traduits devant un conseil d'enquête "afin que soient proposées des sanctions adaptées à leurs responsabilités".

A ces sanctions militaires pourraient s'ajouter des poursuites devant les tribunaux. La ministre de la défense a ordonné la déclassification du rapport d'enquête de commandement et sa transmission au juge d'instruction. En effet, le procureur du tribunal aux armées de Paris a ouvert une information judiciaire contre X pour "homicide volontaire". "Le rapport, précise le ministère, fait apparaître deux niveaux de responsabilités, celui de l'implication directe ou indirecte dans l'homicide d'une part, celui de la falsification des rapports et de la dissimulation de l'ensemble des faits d'autre part."

desole pour la mise en page

sinon s'est l'honeur de la France de reconnaitre ses erreurs et dissimuler un meurtre n'est pas tres " honorables "

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Membre, 43ans Posté(e)
microlax Membre 575 messages
Baby Forumeur‚ 43ans‚
Posté(e)

il sne l'ont pas volé, l'uniforme n'autorise pas à se conduire de cette manière... une affaire dévoilée pour combien d'autres dissimulées?

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