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Membre+, Chercheur de saveur et rimeur de gout, 40ans Posté(e)
bibi07 Membre+ 5 261 messages
40ans‚ Chercheur de saveur et rimeur de gout,
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Les Liens du sang


06 Février 2008

[/Justifier]

Réalisateur: Jacques Maillot
Pays: Film français
Genre: Policier
Duré©e: time.jpg 1h 46min
Acteurs: Guillaume Canet, François Cluzet, Clotilde Hesme

Synopsis[Justifier] Lyon, à la fin des années 70.
François, inspecteur de police, apprend la sortie de prison de son frère, Gabriel, qui vient de tirer dix ans pour meurtre. Entre le flic et son aîné, les retrouvailles ne sont pas évidentes, mais chacun a la volonté de tirer un trait sur le passé. Gabriel essaie de se ranger et François se met en quatre pour l'aider.
Mais la réalité et les vieux démons finissent par les rattraper. Pour les deux frères, séparés par leurs choix, mais unis par le sang, le chemin parcouru semble étrangement aboutir à la même impasse.

En attendant Notre Avis

Notre Note : /5

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VIP, Mangeur de fromage, 44ans Posté(e)
Belizarius VIP 22 812 messages
44ans‚ Mangeur de fromage,
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Vive la frange !


Mercredi 06 Février - 10:52

Polar. «Les Liens du sang», d'après l'histoire des frères Papet, flic et truand.
Philippe azoury




L'année cinéma 2008 devrait être un bon cru du point de vue capillaire. Il se passe des choses assez inattendues, comme les Coen affublant Javier Bardem d'une coupe de douilles pas possible qui devrait lui faciliter l'entrée de tous les clubs échangistes de Sacramento. La France, pour une fois, n'est pas en reste : Jacques Maillot a imaginé pour François Cluzet une moumoute d'inspiration «Karl-Heinz Rummenigge, demi-finale du Mundial 82», soit un beau brushing à base de levure, au service d'une aventure esthétique tout en dissymétrie : court devant, long derrière et bien gonflée de partout. Avec là-dessus, juste sous les narines, une moustache très épaisse, fournie, pour mieux faire malfrat. Ainsi grimé, l'honnête Cluzet se métamorphose en quelque chose comme le gang des Postiches et la Maxitête à lui tout seul. Qu'un film arrive à relever son acteur d'une telle charge parodique involontaire, sincèrement on ne croyait pas la chose possible. Mais, une fois maîtrisées nos bouffées de rire à chaque entrée en scène de l'acteur lâché en pleine composition (compter vingt-cinq minutes, quand même), on peut commencer à ouvrir les yeux et se calmer un peu : les Liens du sang, c'est bien - dans son genre.



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Source: Libération
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