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VIP, Posté(e)
Yavin VIP 32 683 messages
Baby Forumeur‚
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Texas


Dimanche 03 Février - 01:01

Suspendus aux lèvres de Sharleen...



Parfois, on aimerait bien clamer l'inverse de Sharleen, regarder droit dans les yeux notre charmant voisin de classe et lui crier, mais pas au point de le faire fuir, les cheveux dressés sur la tête : « I just want a lover, I don't need a friend ». Parfois, comme la chanteuse de Texas, on aimerait juste une oreille attentive et une épaule compatissante.

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Comme son nom ne l'indique pas, Texas ne vient pas des Etats-Unis, mais d'Ecosse. A Glasgow, en 1986, Gerry McElhone présente une coiffeuse à joli grain de voix à son frère, Johnny. Impressionné par son timbre, Johnny décide de travailler avec la jolie Sharleen Spiteri.

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Gerry ne reste pas en marge de leur collaboration et devient le manager de « Texas », nom rendant hommage au guitariste Ry Cooder, compositeur de la poignante musique de « Paris Texas », film de Wim Wenders. Au départ, Eddie Campbell, aux claviers, Ally McErlain, à la guitare, et Stuart Kerr, à la batterie, s'ajoutent au duo, mais, dès le second album, le batteur est remplacé par Richard Hynd.

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Dans ses tiroirs, Sharleen n'a pas que des ciseaux. Elle a aussi le titre-phare du premier album de Texas « I don't want a lover ». Le morceau composé à dix-huit ans fait le tour de l'Europe et « Southside » frôle les deux millions d'exemplaires vendus en Angleterre.

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Pour atteindre l'Amérique, le groupe au nom destiné doit attendre 1991 et « Mothers Heaven » ou son deuxième album. En 1993, Texas et ses sons blues, rock et country ont déjà une grande notoriété. Cette année-là, le quintet écossais sort « Ricks Road » sur lequel se trouve une belle reprise d'Al Green : « Tired of being alone ». Cet album a moins de succès, mais Texas ne se préoccupe pas des retombées commerciales.

Le quatrième album du groupe, « With On Blonde », retrouve le chemin des charts en 1997. Avec son look plus glamour, Sharleen clame « Say what you want » et se retrouve en couverture de tous les magazines féminins. Le disque connaît le même succès que l'interprète et les exemplaires s'écoulent à plus de quatre millions. En 1999, « The Hush », plus pop, est un gros succès. « Summer Sun », véritable carton, permet au groupe de fêter au zénith 10 ans de carrière. « Careful what you wish for », sorti en 2003, déçoit les attentes et reste dans les bacs.

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Je craque, j'en peux plus... :snif::snif:

En 2005, « Red book », résultat de deux années de travail produit par trois pointures d'envergure internationale ¿ Dallas Austin, Mike Hedges et Spike Stent -, paraît. Le cahier rouge dans lequel Sharleen notait des paroles, des pensées et ses dessins, inspire le titre du nouvel opus. La voix toujours aussi puissante et grisante de Sharleen chante des désirs intimes et des rêves secrets. Influencé par Kate Bush, Prince et la Motown, le groupe, nouvelle version, offre de la pop passionnée. Dans « What about us ?», somptueux morceau, Sharleen joue du xylophone. Michael Bannister, ancien ingénieur assistant pour Belle et Sebastian, est venu rejoindre Sharleen, Johnny et Ally avec ses claviers. L'ensemble livre un album introspectif plein de hits potentiels.

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Liens

1) Leur site officiel...

2( Un site non-officiel...

3) Un autre site non-officiel...


Vidéos

Say What You Want



Summer Son



Le méga Tube, I Don't Want A Lover



I'll See It Through



Put Your Arms Around Me





Suite de l'article...
Source: Ados.fr
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VIP, Mangeur de fromage, 43ans Posté(e)
Belizarius VIP 22 812 messages
43ans‚ Mangeur de fromage,
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Merci Yavin! :snif:

Etant ado, j'ai écouté Texas en boucle... j'adorais...

Mais en grandissant, j'ai fini par m'en lasser et ça fait longtemps que je ne l'ai pas écouté. Toute ma jeunesse en somme :snif:

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Membre+, Patate fossilisée, 37ans Posté(e)
Kinwena Membre+ 4 724 messages
37ans‚ Patate fossilisée,
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J'adore, j'adore, j'adore...

C'est un groupe que je n'écoute pas très souvent... Mais de temps en temps, je me fais ma petite cure "Texas"...

Ma préférée, Summer Son :snif:

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
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J'aime toujours (j'adore même) l'album "Ricks Road" avec "So in Love with you", "Hear me now" ,... et l'abum "White on blonde".

Le reste, je trouve ça chiant et un peu toujours pareil. :snif:

Même si Sharleen Spiteri a toujours une belle voix, ils tombent un peu trop souvent dans la pop basique alors qu'ils ont les moyens de faire des morceaux plus ambitieux.

Mais bon, au moins c'est toujours plaisant à écouter et ça vieillit pas trop mal ! :snif:

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VIP, Mangeur de fromage, 43ans Posté(e)
Belizarius VIP 22 812 messages
43ans‚ Mangeur de fromage,
Posté(e)
:snif:
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  • 6 mois après...
VIP, Posté(e)
Yavin VIP 32 683 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
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Salut les sixties


Vendredi 22 Août - 18:16

La chanteuse de Texas s'offre une belle parenthèse en solo avec «Melody», hommage à Gainsbourg qui l'a «ensorcelée»



Les années 1960 sont en vogue dans les charts. Après Amy Winehouse et Duffy, c'est Sharleen Spiteri qui se prend d'affection pour des sonorités et des looks rétro. «Melody», son premier album en solo, est une ode à la pop et à la soul des sixties. En promo, la chanteuse de Texas porte une robe vintage. «J'avais besoin de faire ce disque seule, à ma façon, confie-t-elle. Les chansons et les images qui se bousculaient dans ma tête étaient très différentes de l'univers de Texas. Les autres membres du groupe l'ont parfaitement compris et m'ont laissé le champ libre.»

Dans ces onze morceaux gorgés de mélodies lumineuses, de violons et de cuivres, l'Ecossaise s'inspire de la magie de Motown («Stop I don't love you anymore» est un clin d'oeil aux Supremes), de l'insolence de Nancy Sinatra («I'm going to haunt you») mais aussi de Gainsbourg (le titre éponyme) et de Françoise Hardy («Françoise»).

«Lorsque Gainsbourg m'a remis mon premier disque d'or en France, il m'a littéralement ensorcelée. Je n'avais jamais rencontré un homme aussi fascinant, sexy, coquin. Depuis, je suis devenue fana de sa musique. J'aime aussi l'introspection de Françoise Hardy, si belle et poignante.»

Toutes ces chansons aux titres évocateurs sont autant d'hymnes à l'amour brisé. D'habitude plutôt réservée lorsqu'il est question de sa vie privée, la chanteuse de 40 ans se dévoile un peu plus dans ses textes. «J'ai rompu avec mon compagnon de dix ans, le père de ma fille (Misty, 6 ans). J'avais besoin de faire quelque chose de radicalement différent. Composer cet album a été une thérapie.»




Miguel Cid
Suite de l'article...
Source: Le Matin
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