la religion : dernier rempart infranchissable à la liberté?

la religion n'est-elle pas le dernier rempart face à la liberté humaine?

NIETZSCHE disait dans "Ainsi parlait Zaratoustra" que dieu était mort...tout le monde parlait d'une philo déicide mais en fait il s'agissait de remplacer des synchrétisme biblique ou coranique ou talmudique par une autre religion plus ontologique.

L'homme du coup pourra-t-il se dédouaner de toute religion? Ou est-il condamner à n'être qu'un créateur de religions????

Du coup l'un dans l'autre, l'homme semble aliéné à quelque chose...

Selon moi la religion est le refuge de ceux qui ont peur de la liberté.

la religion n'est-elle pas le dernier rempart face à la liberté humaine?

Je ne crois pas, je ne suis pas croyant pourtant je ne me sens pas libre

la religion n'est-elle pas le dernier rempart face à la liberté humaine?

Non, le vrai rempart, c'est la civilisation en général, et l'Autre, pour parler de façon plus imagée.

Foutaises !

Le seul et unique rempart à la liberté est soi-même.

Je ne suis pas d'accord. Enfin si, mais je parle sur le plan physique et pas intellectuel. Intellectuellement la liberté n'existe pas. Physiquement, si.

comment ca ?

C'est l'inverse. Cependant votre intelect est libre de croire ce qu'il veut...

Je mets les pieds où je veux, finalement, non ?

Alors que ma façon de penser reste conditionnée par mon éducation et par les idées qui façonnent mon esprit.

Etant donné que la religion est une cage crée par les hommes avides de respect, je pense que oui, c'est un rempart, surtout dans certaines familles

Pas totalement non, les frontières terrestres, le manque d'argent etc ... tout ça limite tes déplacements.

D'un autre coté, il est possible de s'affranchir des pensées qui nous ont conditionnées. Malcom X qui se rend compte qu'un noir n'est pas juste voué à la délinquance, Gandhi qui découvre la vraie facette de l'Inde lors de son retour dans son pays d'origine.

'fin j'pense ...

Notre corps est la prison dans laquelle "s'épanoui" notre essence, nous sommes tributaire de celle ci et c'est le prix à payer pour côtoyer ce que l'on prend pour la conscience et la mortalité.

C'est la seule chose qui est une véritable contrainte. Notre "amphore". Nous sommes limités de par ses bords et de par sa conception et nous sommes la souffrance et la digestion de ce qu'elle nous fait ressentir au delà des sentiments.

La religion n'est qu'une projection d'un éther que nous pensons mais que nous ne pouvons projeter dans son entier de par les pauvres champs d'expression que nous avons, maitrisons, mais qui n'est en aucun cas l'absolue de notre propre entité.

Nous sommes condamnés à donner une image biaisé et vulgaire de la réel conception qui nous habites... Et l'Epinal d'image qu'est la religion est une aubaine pour les dictatures de l'esprit!

la liberté est quelquechose de bien subjectif et une sorte de miroir aux alouettes. je pense que si on demande à quelqu'un qui a une grande foi si la religion est un obstacle à sa liberté, il répondra au contraire qu'elle est LA liberté absolue.

Après on est tous prisonniers, de son corps, de son éducation, de sa société, de sa religion, de sa femme , de ses parents puis de ses enfants, dans sa bagnole un jour de départ en vacances ..etc..

Pas totalement non, les frontières terrestres, le manque d'argent etc ... tout ça limite tes déplacements.

D'un autre coté, il est possible de s'affranchir des pensées qui nous ont conditionnées. Malcom X qui se rend compte qu'un noir n'est pas juste voué à la délinquance, Gandhi qui découvre la vraie facette de l'Inde lors de son retour dans son pays d'origine.

'fin j'pense ...

Ca ce sont des détails matériels. Supprime l'argent et les frontières et la question est pliée. Par contre certaines parts de ton éducation, ça va être dur de revenir dessus. Du genre, Dieu existe, chez certains.

Par contre certaines parts de ton éducation, ça va être dur de revenir dessus.

Ce qui confirme ma position, le seul rempart est soi-même.

Ou tout du moins ce qu'on a dans le crâne.

C'est un peu ce que je dis.

toute liberté est de toute façon contrainte... en effet, le fait de se donner une liberté nous oblige à la pratiquer pour en faire l'expérience. Or il faut bien déterminer des limites à une liberté car sinon elle serait absolu et nous priverait de toute autre liberté qui serait absorbée tel un trou noir. Donc il faut la limiter pour pouvoir un jour faire l'expérience d'autres libertés. Mais alors il ne s'agit plus totalement d'une liberté...

La religion nous fixe des contraintes morales qui ne sont pas forcément les mêmes que les morales civiques de la loi. Mais l'une comme l'autre ne nous empêche à mon avis nullement d'être libre.

Une liberté n'est-elle pas le lieu où on l'exerce???? Au lieu de penser objet de liberté, ne faudrait-il pas mieux penser lieu d'exercice d'une liberté?

Avant tout, qu'est ce que la Liberté ? Les Hommes, croyants ou non, sont ils libre ? comment attesté la Liberté ?

La notion de religion ne compromet pas forcement la Liberté. Dans la religion juive par exemple, il y a une place trés importante pour le libre arbitre. C'est une façon de responsabiliser les Hommes devant leurs actes et par là les rendrent "libre" car qui dit Liberté dit responsabilité. Descartes, fervant croyant en la religion chretienne est surement le plus grand defenseur de la Liberté: "que la liberté de noter volonté se connait sans preuve par la seule experience que nous en avons"!

je m'repete ( c'est l'age ) il n'y a pas de libre arbitre en presence d'un dieu omniscient , comme il est omniscient il sait avant meme la naissanse d'un homme ou il ira a sa mort , en haut ou en bas donc pas de libre arbitre

les homme on créès dieu pars'qu'il avait peur de la mort et le diable pour excuser leurs saloperies

Pas forcement, car l'homme a sa naissance n'est pas dans la religion juvie par exemple determiné. C'est lui qui durant sa vie va faire que soit a sa mort il sera recompensé, soit non. Chez les egyptiens c'était pareil: l'Homme, lorsqu'il mourrait, passer devant une sorte de tribunal divin ou l'onjugeait sa vie en comparant ses bonnes actions a ses péchés.