les aides associatives

Vous voyez bien qu'il y a une suite. Quand on veut, on peut

Je n'ai pas de démonstration à vous donner, comme stipuler, il sagit d'une supposition. Rien ne prouve qu'il y ait un quota, rien ne prouve qu'il n'y en ait pas. Cela dit s'il faut être désabusé pour imaginer le pire vous devez souvent être déçue.

ha ok, c'etait un truc que tu jettais en l'air, comme cela, sans fondement...vi, suis deçue de découvrir que derrière il n'y avait rien.

On est toujours déçu par ceux qu'on aime. En cela vous m'en voyez touché. Cependant vous avez tendance à oublier ce qui peut déjà avoir été dit, et pas uniquement de ma part. Aussi référez vous à la dénonciation des restos ainsi qu'au paragraphe sur la "peur de la pauvreté". Vous y trouverez peut-être le fondement de ma supposition.

Permettez-moi désormais de vous renvoyer la balle, quel fondement vous permet de supposer qu'un quota n'existe pas ?

Oui, j'aime les hommes, c'est sans doute pour cela qu'ils me décoivent, j'y vois tellement plus que du vide, a tort peut être.

Sur la dénonciation des restos, j'ai exposé mon point de vue sur cette observation cancanière.

Quant à la balle que tu me renvois, tu ne crois tout de même pas que je vais répondre à ta place . C'est toi qui balance...

Pour ma part, j'ai bien dit que je n'avais jamais imaginé ce genre de trucs, ce qui ne veut pas dire que je réfute l'idée, j'ai au contraire demandé un developpement de cette idée pour me forger une opinion, malheureusement cela semble vain.

Alors pardonnez mon silence, j'ai senti de l'agressivité dans vos propos. Autant pour moi.

L'idée repose sur le profit individuel passant avant le profit colectif. Dans l'exemple des restos du coeur, l'idée de sa création repose sur le don de nouriture aux pauvres par le biais de travail bénévol. Cependant, pour que l'association puisse continuer d'exercer, il faut qu'il y ait des pauvres. S'il n'y a plus de pauvres, elle n'existe plus. Malgré la cause défendu, il n'est pas impossible que les patrons actuels rejettent la corruption. Capitalisme oblige. C'est là que la supposition d'un quota de pauvreté intervient. Il permet un équilibre pour le bon fonctionnement dans le temps de la "bonne image" et de la rentabilité. Le tout en sous-marin.

A plus grande échelle, je pense que le monde entier fonctionne comme ça, avec des quotas, pour que la balance riche->pauvre reste dans l'équilibre voulu.

pour 2007, le nombre de milliardaires s'établit à 986 dans le monde, en hausse par rapport à 2006. Je suis ravi pour eux (et elles). Cependant il n'y a pas de statistiques sur l'augmentation ou la baisses du nombre des plus démunis pour la même période.

est-il normal que les gens les plus pauvres soient obligés d'avoir recours aux associations pour se nourrir, s'habiller et avoir des livres et des jouets pour eux et leurs enfants pour noël, n'est-ce pas le rôle de l'état de subvenir aux besoins des citoyens car je pense qu'à force de solliciter tout le monde cela peut lasser et c'est les plus démunis qui seraient encore plus dans la pauvreté.

Et pourquoi ca ne serait pas normal? Les Hommes sont généreux, et surtout ils essayent de faire le travail que ne fait pas l'état (et pourtant qu'il devrait faire). Il y aura toujours des personnes pour aider ou donner, des petites sommes certes. Si personne ne le fait, alors oui les pauvres resteront pauvres (a moins qu'ils trouvent un ticket de loto gagnant dans une poubelle mais ca m'étonnerait). Si l'état faisait son boulot ca serait mieux (oui, je sais c'est facile dire ca -_-).

De toute facon, on sait bien que c'est pas les plus riches qui aident les plus pauvres.. Mais bon il y aura toujours des riches et des pauvres, ca a toujours été comme ca.