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la guerre des Trolls n'aura pas lieu

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Invité lobotomie_

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On veut la suite, même si ce drame est trolley ! ;)

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Scène 4 :

(une foule de Trolls armés jusqu'aux dents :o se pressent autour d'un chariot d'où la déesse prêche à la ligne)

Chapach WOU XSAKASS

:o camarades trollétaires ! on vous ment ! on vous spolie ! les grands patrons de Forumefférie se gavent de caviar pendant que vous vous cassez les coui**es à faire vivre le Royaume par vos messages et...

SSSQQQQQQQQQQQUIZZZZZZZZZZZ !

<larsen>

BUZZZZZZZZZZZ !

CRRRRRRRRRRRRRRRRRRR !

;)

MagMimiPerou-1.jpg

mesdames et messieurs ! nous sommes désolé d'interrompre cette représentation mais nous n'avons pas d'autres moyens pour nous faire entendre :o !

nous sommes les représentants des intermitteux du pestacle et nous venons ici pour attirer votre attention sur les difficultés que nous avons à excercer notre métier. nous allons vous lire la lettre que nous avons adressé au ministre, car nos revendications sont systématiquement écartées des médias.

Monsieur le Ministre,

Selon les dires de votre Ministre délégué à l'Emploi et de votre collègue à la Culture et la Communication, vous vous apprêtez à donner l'agrément au protocole d'accord du 18 avril 2006 sur l'indemnisation chômage des artistes et des techniciens du spectacle, du cinéma et de l'audiovisuel engagés par intermittence, qui relèvent des annexes 8 et 10 du régime interprofessionnel d'assurance chômage. Comme vous le savez, peu avant Noël des organisations patronales et des confédérations de salariés notoirement minoritaires ont signé en catimini ce texte.

En contradiction avec les conclusions des deux missions parlementaires et de l'expert nommé par le gouvernement, le protocole du 18 avril dernier reprend pour l'essentiel les dispositions de juin 2003 en ce qui concerne les conditions d'accès, la durée d'indemnisation et l'abandon de la date anniversaire pour le réexamen des dossiers. Pourtant les dégâts occasionnés par le protocole de 2003 ne sont plus à démontrer. En effet, à ce jour plus de 35 000 salariés intermittents ont été « repêchés » par le fonds transitoire que l'état a été contraint de mettre en place sous l'effet de nos luttes et dont le coût s'élève à plus de 200 millions d'Euros.

Or le « Fonds de professionnalisation et de solidarité » annoncé par le gouvernement, qui prendrait effet au début de cette année pour compléter le dispositif interprofessionnel, serait doté de seulement 46 millions d'Euros. Il serait donc très en retrait par rapport au fonds transitoire 2005, reconduit en 2006, alors qu'il n'a fait l'objet d'aucune discussion avec les organisations représentatives de nos secteurs d'activité. L'exclusion massive de professionnels, combinée à la course aux heures ou aux cachets, ne manquerait pas dès lors de nourrir et d'aggraver la crise de l'emploi qui frappe déjà de nombreux artistes, réalisateurs, techniciens et ouvriers du spectacle vivant et enregistré. Ce qui tournerait résolument le dos à notre légitime combat pour la diversité culturelle.

La signature du protocole du 18 avril intervenant quelques semaines après le discours du Président de la République sur le dialogue social, puis de l'avis adopté par le Conseil économique et Social à une très large majorité sur la validation des accords collectifs de travail, vous conviendrez que les professionnels du spectacle, du cinéma et de l'audiovisuel sont légitimement en droit de vous demander de ne pas agréer un texte notoirement minoritaire.

é la base, régime d'assurance-chômage, dont s'occupe l'UNEDIC, qui déroge au régime général, par le biais d'annexes, 8 (technicien-ne-s) et 10 (artistes du spectacle vivant), qui régissent les indemnisations des intermittent-e-s du spectacle. Ce statut créé en 1936, généralisé par Malraux, appliqué au cinéma en 1967, et au spectacle vivant en 1969. En fait professions très diverses, toutes celles qui participent à la mise en oeuvre et la diffusion d'un spectacle, d'un concert, d'un film, etc.

Avant le protocole du 26 juin 2003, il fallait pouvoir déclarer des heures de travail (technicien-ne-s, réalisateurs-trices¿) ou cachets (artistes du spectacle vivant), 507 heures sur 12 mois, pour ouvrir droit à indemnisation sur un an. Un professionnel sur deux n'y arrivaient pas (57 600 sur 110 000).

La moitié de ceux qui y parvenaient touchaient à peine le SMIC.

Le but était d'assurer un revenu régulier, sur la base des revenus déclarés l'année précédente, sachant qu'une créatrice ou créateur allait, de par la nature même de sa profession, avoir des périodes de travail intensifs, et des périodes de creux, souterraines, pendant lesquelles s'accomplissait un travail personnel de préparation des oeuvres, c'est-à-dire de conception, d'écriture, de mise en oeuvre, de répétition, d'exercices, notamment dans le cas des danseurs et des danseuses, qui n'allaient pas arrêter de se maintenir en forme physique entre deux représentations. Cette prise en compte du temps de travail invisible n'était pas propre au régime des intermittent-e-s, elle existe aussi chez les enseignant-e-s, notamment du secondaire et du supérieur, pour ce qui est de la préparation des cours, la correction des copies, etc.

Système unique au monde, et que le monde entier nous enviai, même s'il était sans doute nécessaire de le réformer.

Il témoignait d'un choix politique de subventionner, de faire assumer par la collectivité une vie artistique et culturelle riche, diversifiée, susceptible de prendre un certain nombre de risques, notamment du point de vue de la rentabilité économique. é titre de comparaison, au Japon, on paye son billet pour un concert à prix coûtant, c'est-à-dire 1 000 ou 1 200 francs. C'est ce choix politique qui a été remis en cause avec le protocole du 26 juin 2003.

La réalité, c'est que de tous ceux que je croise sur ma route, musiciens classiques, chambristes, interprètes de musique contemporaine ou baroque, de musiques traditionnelles, de musiques actuelles, musiciens de jazz, comédiens, metteurs en scène, danseurs, qui font le quotidien du spectacle vivant, qui en sont souvent les créateurs talentueux, et parfois les références d'aujourd'hui, régulièrement chroniqués dans les colonnes du Monde de la Musique ou ailleurs, de tous ces artistes donc, le plus grand nombre se situe ¿ jusqu'à aujourd'hui ¿ à la lisière de ces fameuses 507 heures de travail déclaré, soit juste au-dessus, ou en dessous, suivant les années. Ils ne sont pas forcément jeunes en début de carrière, ni artistes marginaux, pas davantage dépourvus de talent. Ils ne sont pas ces intermittents non-méritants que semble viser le nouveau protocole (cf. les déclarations du Medef et de la CFDT¿). Ils sont simplement dans des pratiques essentiellement non-commerciales, ce qui les situe dans une fragilité dont ils devraient assumer tous les aspects sans broncher, semble nous dire Nathalie Kraft. Ils feront donc partie, en dépit d'une inscription réelle et repérée dans la vie culturelle française et internationale, des 35 % d'intermittents qui sortiront à coup sûr du régime d'indemnisation. Réalise-t-on, par exemple, que ne pas percevoir d'indemnité, c'est ne cotiser que les jours de cachets déclarés ¿ donc moins de 43 en dix mois et demi ¿ et donc voir son futur droit à la retraite sérieusement mis en cause ? (mais on est artiste jusqu'à sa mort, bien sûr, alors¿). Serait-ce une prétention exorbitante que de vouloir à la fois exercer avec rigueur et engagement une profession artistique, et bénéficier d'une véritable inscription sociale ? Quant aux plus jeunes d'entre nous, qui font montre d'une détermination artistique remarquable, pourra-t-on longtemps continuer à leur dire qu'ils ont de la chance de vivre et de créer dans un pays tellement attentif à sa culture vivante ?

Réalise-t-on enfin que tout ça n'est pas qu'une histoire de survie pour quelques-uns, mais que ce qui vient de se mettre en ¿uvre contre la notion de culture vivante, la création, la diffusion de toute alternative à la culture de masse, commerciale, commerçante et aliénante touchera chacun d'entre nous ? La dispersion des équipes d'artistes et de techniciens, la fragilisation et l'appauvrissement de la jeune création et de la création atypique nécessaires à la diversité culturelle, la baisse des budgets et la logique comptable grandissante, avec à terme le désengagement total de l'Etat au bénéfice des pouvoirs économiques locaux, voilà qui nous promet un avenir livré à la seule industrie, discographique et audiovisuelle. Avec un paysage culturel facile à imaginer : il nous harcèle déjà.

Quant au fait de " se tirer une balle dans le pied " en exerçant le droit de grève, véritable leitmotiv médiatique qui n'a d'autre but que de dénier aux saltimbanques toute possibilité d'une protestation à la mesure du mépris dont ils sont l'objet de la part du Medef et du gouvernement, il évoque immanquablement le chantage exercé par un patron de PME envers ses salariés : si vous faites grève, vous détruisez l'outil de travail et accélérez donc votre perte. Nous sommes bien là dans un rapport de domination, banalement caractéristique de tous les conflits sociaux. Qu'il faille imaginer la suite sous d'autres formes - d'information, de réflexion, d'action et d'alerte -, c'est une évidence à laquelle réfléchissent la plupart des acteurs de ce mouvement, et qui passe sans doute par¿ la récupération de cet outil de travail !

Etre intermittent du spectacle, faut-il le rappeler, ce n'est pas un métier. C'est la désignation administrative de ces salariés du spectacle à employeurs multiples. Artistes ou techniciens, ils ne sont pas hors du droit commun, pas plus qu'ils ne sont en marge de la société. Ils n'ont même jamais été plus impliqués dans la vie de la cité, contrairement à ce que sous-entendent ceux qui les renvoient à une vague singularité pour mieux coller à la mythologie de l'artiste en même temps qu'au dogme libéral.

Par ailleurs nous souhaitons vous faire observer que l'amendement à la loi de Finances présenté au Sénat le 8 décembre par Monsieur Jacques Valade et qui introduit un nouvel article L.351-13-1 du Code du Travail pour donner une existence légale au « Fonds de professionnalisation » (ce qui, vous l'avouerez, ne manque pas de sel après le refus du vote de la Proposition du Projet de Loi du Comité de suivi sur les annexes 8 et 10), n'a à aucun moment été discuté par les organisations syndicales représentatives concernées.

Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,

Ce beau matin d'été si doux :

Au détour d'un sentier une charogne infâme

Sur un lit semé de cailloux,

Les jambes en l'air, comme une femme lubrique,

Brûlante et suant les poisons,

Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique

Son ventre plein d'exhalaisons.

Le soleil rayonnait sur cette pourriture,

Comme afin de la cuire à point,

Et de rendre au centuple à la grande nature

Tout ce qu'ensemble elle avait joint ;

Et le ciel regardait la carcasse superbe

Comme une fleur s'épanouir.

La puanteur était si forte, que sur l'herbe

Vous crûtes vous évanouir.

Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,

D'où sortaient de noirs bataillons

De larves, qui coulaient comme un épais liquide

Le long de ces vivants haillons.

Tout cela descendait, montait comme une vague,

Ou s'élançait en pétillant ;

On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,

Vivait en se multipliant.

Et ce monde rendait une étrange musique,

Comme l'eau courante et le vent,

Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique

Agite et tourne dans son van.

Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,

Une ébauche lente à venir,

Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève

Seulement par le souvenir.

Derrière les rochers une chienne inquiète

Nous regardait d'un oeil fâché,

épiant le moment de reprendre au squelette

Le morceau qu'elle avait lâché.

Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,

A cette horrible infection,

étoile de mes yeux, soleil de ma nature,

Vous, mon ange et ma passion !

Oui ! telle vous serez, ô reine des grâces,

Après les derniers sacrements,

Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses.

Moisir parmi les ossements.

Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine

Qui vous mangera de baisers,

Que j'ai gardé la forme et l'essence divine

De mes amours décomposés !

(Oui, c'est bien "une charogne" de Baudelaire dans les Fleurs du Mal. Parce que ceux qui ont eu le courage... ou l'inconscience !!! ... de lire jusqu'ici méritait une récompense. Grâce à moi ils se sont culturés sans même s'en rendre compte. Merci qui ? Merci lobotomie !!!)

C'est pourquoi nous sollicitons un rendez-vous d'urgence, afin de vous entretenir de ce dossier et pour vous présenter dans le détail les raisons qui devraient vous encourager à ne pas délivrer l'agrément à ce texte contesté par une majorité des personnes concernées. Dans l'attente, nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, à l'expression de notre haute considération.

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Invités, Posté(e)
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Invité Invités 0 message
Posté(e)
;) Oooh, c'est beauuu, de l'air pur (mais pô éthique)
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Invité lobotomie_
Invités, Posté(e)
Invité lobotomie_
Invité lobotomie_ Invités 0 message
Posté(e)
........................................... LE FORUMEUR LIBERE

................................................. ! édition spéciale !

de notre envoyé spécial au théatre ForumFr

Hier matin, la représentation de "La Guerre des Trolls n'aura pas lieu" mise en scène par le dramatique (ou -turge, on ne sait pas bien...) Fred Owe a été interrompue par l'intervention d'intermitteux du pestacle.

Les trublions ont lu une lettre adressée aux ministres con-cernés, ce qui a mécontenté les spectateurs du premier rang qui se sont plaint d'être dérangés pendant leur sieste.

Rapidement le ton a monté et tout ce petit monde en est venu aux mains, les acteurs de la pièce n'étant pas les derniers à se jeter dans la mêlée.

La police anti-émeute, aussitôt alertée, est arrivée très vite sur les lieux.

Le Colonel P. Houtine, commandant la célèbre Highway Police PasTroll, a décidé de disperser la foule à l'aide d'un nouveau gaz hilarant, le Sicon Bêta.

Le calme est revenu.

Le Colonel P. Houtine a déclaré :

"Force est resté à la loi. Les manifestants ont été neutralisés ;) "

Le bilan s'élève à 119 morts de rire (MDR :snif: en langage Troll ndlr) et 251 blessés (mâchoires bloquées principalement).

Les représentations reprendront dès que des nouveaux acteurs auront été engagé.

Pour les spectateurs, nous vous rappellons que la troupe des "Joyeux Théatreux très très Trôlles" qui produit le pestacle donnent 10 euros par volontaires (250 euros par rang de 20 places).

:o

:opfff ! c'est encore port'ninwac les infos aujourd'hui ! savent plus quoi inventer pour qu'on parle d'eux, ces fainéants d'artistes !

:o bon ! y sont où les résultats du foot ?

Modifié par lobotomie_
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Membre, 64ans Posté(e)
Alice-30 Membre 87 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

donc finalement "la guerre des trolls n' aura pas lieu" n' a pas eu lieu?! ;)

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Membre, Gentil Mignon Bisounours, 46ans Posté(e)
GMB Membre 3 867 messages
46ans‚ Gentil Mignon Bisounours,
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Invité lobotomie_
Invités, Posté(e)
Invité lobotomie_
Invité lobotomie_ Invités 0 message
Posté(e)
donc finalement "la guerre des trolls n' aura pas lieu" n' a pas eu lieu?! ;)

:o:o:o personne n'est à l'abri d'une reprise...

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Invité lobotomie_
Invités, Posté(e)
Invité lobotomie_
Invité lobotomie_ Invités 0 message
Posté(e)
;) le tout de mon cru ?
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VIP, Mangeur de fromage, 43ans Posté(e)
Belizarius VIP 22 812 messages
43ans‚ Mangeur de fromage,
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C'est ça d'aller batifoler dans le frigo... ;)

Tu t'es accroché à un ananas?

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Membre+, Chronophage boulimique, 52ans Posté(e)
Blablateur Membre+ 7 075 messages
52ans‚ Chronophage boulimique,
Posté(e)

trollometre.jpg

Pour rester en forme il te faut surveiller ta ligne! ;)

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Invité lobotomie_
Invités, Posté(e)
Invité lobotomie_
Invité lobotomie_ Invités 0 message
Posté(e)
;) elle va bien ! nombreux sont ceux qui mordent à l'hameçon !
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Membre+, Chronophage boulimique, 52ans Posté(e)
Blablateur Membre+ 7 075 messages
52ans‚ Chronophage boulimique,
Posté(e)

C'est du gros!

Mais t'es monté en combien sur ta ligne!? C'est pas possible, neni une canne à pêche c'est un carelet non de diou! ;):o

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Invité lobotomie_
Invités, Posté(e)
Invité lobotomie_
Invité lobotomie_ Invités 0 message
Posté(e)

;) une ou deux morues me suffisent

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Invité
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Invité Invités 0 message
Posté(e)

On m'a appelée ?? :o;)

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