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Invité j-luc

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ONU / Conseil de Sécurité / synthése des travaux en 2007.

Aperçu des travaux du

Conseil de sécurité en 2007

L'AFRIQUE, LE MOYEN-ORIENT, LE TERRORISME ET LA NON-PROLIFéRATION NUCLéAIRE, PRINCIPAUX DéFIS DU CONSEIL DE SéCURITé EN 2007

Des préparatifs du déploiement, au Darfour, de la plus grande opération de maintien de la paix jamais envisagée par les Nations Unies à la mise en place d'une « présence multidimensionnelle » au Tchad et en République centrafricaine, en passant par l'autorisation de la création d'une mission de l'Union africaine en Somalie, l'Afrique a incontestablement dominé, une nouvelle fois, les activités du Conseil de sécurité en 2007.

Le Moyen-Orient, entre violences, blocages et tensions, mais aussi l'espoir suscité par la relance du processus de paix israélo-palestinien, ainsi que l'avenir du Kosovo, la non-prolifération nucléaire, la protection des droits de l'homme et le terrorisme, qui a frappé aveuglément l'Iraq, le Liban, l'Algérie ou le Pakistan, sont au nombre des autres dossiers sensibles traités par le Conseil, en particulier lors de ses 170 séances publiques.

Ces sujets prioritaires sont ceux-là mêmes que Ban Ki-moon avait énoncés devant le conseil de sécurité, le 8 janvier, au tout début de son mandat, lors d'un débat consacré aux « menaces contre la paix et la sécurité internationales ». Le Conseil s'était alors engagé à « travailler en étroite collaboration » avec le nouveau Secrétaire général et avait préconisé, pour mieux relever ces défis, « une action résolue et cohérente, fondée sur le système de sécurité collective institué par la Charte de l'ONU ».

Au total, 32 des 56 résolutions et 20 des 50 déclarations présidentielles adoptées par le Conseil en 2007 concernaient le continent africain. Le Soudan a occupé la place la plus importante de l'ordre du jour, avec, en particulier, le 31 juillet, l'autorisation de la mise en place d'une force hybride ONU-Union africaine au Darfour. Moins de deux mois plus tard, le Conseil créera la Mission des Nations Unies en République centrafricaine et au Tchad (MINURCAT), laquelle fera partie d'une « présence multidimensionnelle » pour assurer la sécurité des personnes déplacées, favoriser leur retour et faciliter l'aide humanitaire. Il autorisera également la création d'une Mission de l'Union africaine en Somalie (AMISOM) et examinera régulièrement les situations après un conflit, comme celles du Burundi, de la Sierra Leone et de la Guinée-Bissau.

Mais, au-delà, deux actions, à la fois symboliques et concrètes, ont démontré l'engagement du Conseil de sécurité en faveur des efforts de paix en cours sur le continent. La première, la mission qu'il a dépêchée, du 14 au 21 juin, à Addis-Abeba, Khartoum, Accra, Abidjan et Kinshasa, lui a permis de suivre de plus près l'évolution des conflits en Somalie, au Soudan, en Côte d'Ivoire ou en République démocratique du Congo (RDC) et d'envisager des relations plus structurées avec le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine. La seconde, une réunion au sommet historique de ses chefs d'état et de gouvernement, le 25 septembre, en marge du débat général de l'Assemblée générale, a représenté, comme l'a souhaité son initiateur, le Président français Nicolas Sarkozy, une occasion de mobiliser la communauté internationale « au service d'une Afrique qui va croire à nouveau en son avenir ».

Au travers de réunions mensuelles d'information, le Conseil a réservé une partie essentielle de ses travaux au Moyen-Orient et à la « question palestinienne », sujet permanent d'inquiétude en raison des rivalités entre le Hamas et l'Autorité palestinienne, de la détérioration de la situation humanitaire à Gaza, des tirs de roquettes contre Israël et des mesures israéliennes de représailles. Si chacun de ces exposés dressait un état des lieux préoccupant sur le terrain, le Conseil de sécurité n'en est apparu que plus conforté pour soutenir la Conférence d'Annapolis, tenue en novembre, qui, selon les termes du Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, B. Lynn Pascoe, a constitué « la percée la plus importante jamais observée depuis des années ».

Le Conseil a ¿uvré, en vain, à un retour de la stabilité au Liban, déchiré depuis de longs mois par des divisions politiques qui conduisent le pays dans une véritable impasse institutionnelle, illustrée par les reports répétés de l'élection présidentielle. En dépit des blocages de la crise parlementaire, il a adopté, le 30 mai, une résolution sur la mise en place d'un Tribunal international chargé, notamment, de juger les assassins de l'ancien Premier Ministre libanais Rafik Hariri. Cette juridiction n'a cependant pas encore été établie.

En Iraq comme en Afghanistan, dont les populations sont quotidiennement victimes de la violence insurrectionnelle et du terrorisme, le Conseil a approuvé les renouvellements des mandats des forces multinationales, tout en réclamant une coopération internationale pour ramener la paix et la sécurité dans ces deux pays. De même, le 29 juin, a-t-il mis fin aux mandats confiés en Iraq à la Commission de contrôle, de vérification et d'inspection des Nations Unies (COCOVINU) et à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Au titre de la non-prolifération nucléaire, il fut aussi question des menaces que posent à la sécurité internationale la poursuite du programme iranien d'enrichissement et de retraitement de l'uranium. Le 24 mars, le Conseil a ainsi renforcé les sanctions qu'il avait imposées trois mois plus tôt à l'Iran.

Au chapitre des créations de mission, le Conseil a également établi, le 23 janvier, la Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP), chargée de consolider le processus de retour à la paix civile et d'apporter un appui technique à l'élection d'une assemblée constituante.

Le Conseil s'est prononcé à l'unanimité dans la prise de la plupart de ses décisions en 2007. Seules trois résolutions n'ont pas recueilli l'unanimité, et une a été rejetée en raison du veto opposé par la Chine et la Fédération de Russie. Ce dernier cas concernait le Myanmar, pays dont la situation, au 12 janvier, ne constituait pas une menace à la paix et à la sécurité internationales, ont estimé les deux membres permanents. Pourtant, à l'automne, les 15 membres du Conseil parviendront à s'entendre, dans une déclaration présidentielle, pour « déplorer vivement l'utilisation de la violence contre des manifestations pacifiques » au Myanmar.

Le Kosovo est resté, en revanche, un sujet de désaccord profond au sein du Conseil, lequel, malgré une mission à Bruxelles et dans la région, n'a pu se déterminer sur le statut futur de la province et la proposition globale de Règlement de l'Envoyé spécial du Secrétaire général, Martti Ahtisaari.

Enfin, le Conseil a tenu plusieurs débats publics portant, par exemple, sur la protection des civils en période de conflit armé, sur les femmes et la paix et la sécurité, sur la coopération avec les organisations régionales ou sur les armes légères. L'un de ces débats, le 17 avril, fut une innovation. Pour la première fois de leur histoire, les membres du Conseil se sont en effet penchés sur les relations entre l'énergie, la sécurité et le climat. Ce débat, avait déclaré la Secrétaire d'état aux affaires étrangères du Royaume-Uni, Margaret Beckett, qui présidait la séance ce jour, visait à « faire prendre davantage conscience des risques importants que les changements climatiques et la question énergétique pourraient poser, à l'avenir, à la sécurité dans le monde ».

L'ensemble des comptes rendus, des communiqués de presse - en anglais -, des sujets et des mesures prises :

http://www.un.org/depts/dhl/resguide/scact2007fr.htm

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Invité j-luc
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Japon/technologie-énergie

Une compagnie ferroviaire japonaise va investir 32 mds EUR dans le "Maglev"

La compagnie japonaise privée JR Tokai, qui exploite les trains à grande vitesse "shinkansen" reliant Tokyo à Osaka (ouest), a annoncé qu'elle allait investir 32 milliards d'euros dans une ligne de train rapide à lévitation électromagnétique ("Maglev") d'ici 2025.

[...]

Ce "Maglev", un train propulsé et maintenu au-dessus de voies dépourvues de rails par un système électromagnétique, permettra de diviser par près de deux le temps de trajet entre Tokyo et Nagoya (environ 290 kilomètres).

[...]

La compagnie consacre chaque année environ 300 milliards de yens au développement du "Maglev" nippon qui détient le record du monde de vitesse en test (581 km/h en décembre 2003).

/.../

Source:http://www.aujourdhuilejapon.com/informations-japon-une-compagnie-ferroviaire-japonaise-va-investir-mds-eur-dans-le-maglev--2655.asp?1=1

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Invité j-luc
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Invité j-luc
Invité j-luc Invités 0 message
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Les missiles US

Prix /unité

* Tomahawk BGM = 750000 $

* CALCM 109C AGM =1150000 $

* SLAM 86C AGM = 720000 $

* HARM 54E AGM = 317000 $

* JSOW 88 AGM = 282000 $

* PAVEWAY 154A GBU = 55000 $

* JDAM 24 GBU-32 = 63000$

Portée

* Tomahawk BGM = 1600 km

* CALCM 109C AGM =+1100 km

* SLAM 86C AGM = 100 km

* HARM 54E AGM = +50 km

* JSOW 88 AGM = 75 km

* PAVEWAY 154A GBU = 20 km

* JDAM 24 GBU-32 = 24 km

Vitesse

* Tomahawk BGM = 880 km/h

* CALCM 109C AGM = subsonique

* SLAM 86C AGM = 855 km/h

* HARM 54E AGM = 2280 km/h

* JSOW 88 AGM = classifiée

* PAVEWAY 154A GBU = environ 1000 km/h

* JDAM 24 GBU-32 = classifiée

Source Pentagon

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Membre, 35ans Posté(e)
ryutario Membre 401 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)
Les missiles US

Prix /unité

* Tomahawk BGM = 750000 $

* CALCM 109C AGM =1150000 $

* SLAM 86C AGM = 720000 $

* HARM 54E AGM = 317000 $

* JSOW 88 AGM = 282000 $

* PAVEWAY 154A GBU = 55000 $

* JDAM 24 GBU-32 = 63000$

Portée

* Tomahawk BGM = 1600 km

* CALCM 109C AGM =+1100 km

* SLAM 86C AGM = 100 km

* HARM 54E AGM = +50 km

* JSOW 88 AGM = 75 km

* PAVEWAY 154A GBU = 20 km

* JDAM 24 GBU-32 = 24 km

Vitesse

* Tomahawk BGM = 880 km/h

* CALCM 109C AGM = subsonique

* SLAM 86C AGM = 855 km/h

* HARM 54E AGM = 2280 km/h

* JSOW 88 AGM = classifiée

* PAVEWAY 154A GBU = environ 1000 km/h

* JDAM 24 GBU-32 = classifiée

Source Pentagon

bon alors je prendrai un tomahawk et puis nan mettez moi en deux et puis un jsow celui la c'est pour offrir. :snif:

ok je vais en cour :snif:

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Invité j-luc
Invités, Posté(e)
Invité j-luc
Invité j-luc Invités 0 message
Posté(e)

Si c'est pour dire ça, effectivement il vaut mieux.

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Invité j-luc
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Invité j-luc
Invité j-luc Invités 0 message
Posté(e)

Nucléaire/Syrie -bréve.

Mr Mohamed ElBaradei,directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique -AIEA- dans un entretien avec le quotidien panarabe Al-Hayat. a affirmé que les autorités syriennes n'avaient pas autorisé les inspecteurs internationaux à visiter le site qui avait été la cible d'un raid israélien en septembre.

----------------------------

voir:

Opération « verger »

ou le raid de l'aviation israélienne du 6/09/07 en page 3 du topic.

UE/économie/ musique, films et jeux en ligne.

08/01/08 Vers un marché unique européen des contenus en ligne

Dans un communiqué de presse daté du 3 janvier 2008, la Commission européenne a signifié sa volonté de favoriser l'émergence d'un marché unique européen de la musique, des films et des jeux en ligne, "plus fort et plus respectueux des consommateurs".

Contexte

En France, le rapport Olivennes a été remis le 23 novembre 2007 à la ministre de la Culture, Christine Albanel. Celui-ci porte sur l'offre culturelle et la lutte contre le piratage. Il a suscité de fortes critiques, notamment du député PS de la Nièvre, Christian Paul, et de l'association de consommateur UFC-Que Choisir, qui dénonce "la surenchère répressive".

Le 3 janvier 2008, la Commission européenne a décidé "de donner un nouvel essor au secteur européen des contenus en ligne". Elle souhaite pour cela encourager l'industrie du contenu, les sociétés de télécommunications et les fournisseurs d'accès à Internet "à coopérer étroitement pour accroître la disponibilité des contenus en ligne tout en assurant une forte protection des droits de propriété intellectuelle". Ainsi, résume le Journal du Net, "Bruxelles organise une mission Olivennes à l'échelle européenne". La Commission européenne souhaite aussi voir émerger des licences de droit d'auteur paneuropéennes.

[¿]

Enjeux

Selon Viviane Reding, commissaire européenne en charge de la Société de l'information et des médias, "le secteur du contenu européen souffre de sa réglementation fragmentée, de son manque de règles claires et respectueuses du consommateur pour l'accès au contenu en ligne protégé par droit d'auteur et aussi de la présence de sérieux désaccords entre les parties intéressées sur des questions aussi fondamentales que les taxes et la copie privée".

En apportant une réponse à ces difficultés, l'objectif de la Commission européenne consiste à "renforcer considérablement la compétitivité de l'industrie européenne de la musique, du film et du jeu vidéo d'ici 2010" par "un quadruplement des revenus de la vente de détail".

Viviane Reding souhaite proposer à la mi-2008 une recommandation en la matière et invite les associations européennes de consommateurs à prendre part à ce débat où il sera question tant de la sécurité juridique des industries intéressées, de la juste rémunération des créateurs de contenus, que de l'accès à ces contenus en ligne aussi large et diversifié que possible.

Source:http://www.touteleurope.fr/fr/actualite-europeenne/articles.html

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VIP, Mangeur de fromage, 43ans Posté(e)
Belizarius VIP 22 812 messages
43ans‚ Mangeur de fromage,
Posté(e)

L'article sur l'ONU est intéressant, on connait finalement assez mal ses attributions et ses actions :snif:

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Invité j-luc
Invités, Posté(e)
Invité j-luc
Invité j-luc Invités 0 message
Posté(e)

Economie

Et si la 3 éme guerre mondiale était économique ?

Pas de sang, pas de bruit, pas d'images choc et pourtant des dommages énormes, des économies bouleversées des populations entières fragilisées.

Quand l'argent devient aussi une arme

« L'argent est le nerf de la guerre ». Il peut aussi devenir l'arme de cette guerre, ce qui paraît évident dans le cas d'une guerre économique.

Cette arme porte un nom : les fonds souverains.

Qu'est-ce que c'est ?

Les premiers fonds souverains ont vu le jour dans les années 1950. Aujourd'hui ils représentent plus que les fameux fonds de pension qui ont tant fait débat chez nous.

Les 29 fonds souverains existants représentent aujourd'hui 1700 milliards d'euros.

Ces fonds ne sont pas des produits financiers comme les autres parce qu'ils sont créés par les états et non par des institutions bancaires.

C'est entre autre l'augmentation des matières premières qui est à l'origine de la création et aujourd'hui de la taille de ces fonds.

Qui les détient ?

Uniquement des états.

On y trouve des pays comme :

- Emirats Arabes Unis à travers le Abu Dhabi Investment Authority

- Arabie Saoudite à travers le Saudi Arabian Monetary Agency

- L'Iran à travers l' Oil Stabilisation Fund

- La Chine à travers le China Developement Bank

- Singapour à travers le Government of Singapore Investment Corporation.

- La Russie à travers le Stabilization fund of the Russian Federation

- Le Kazakhstan à travers le Kazakhstan National Fung

Notamment.

Où est le problème ?

On l'a vu les 29 fonds souverains, on devrait d'ailleurs dire 28 + 1, puisque le fond norvégien échappe à la critique qui va suivre, détiennent 1700 milliards d'euros.

Si les pays détenteurs de ces fonds agissent bien comme des investisseurs, leur démarche est toutefois différente.

En effet ils ne procèdent pas à une levée de capitaux afin ensuite d'atteindre un objectif mais agissent à l'inverse.

La réglementation des fonds détenus pas des états étant différente, ils sont entourés d'une opacité dont ne bénéficient pas les fonds à caractère privés.

Les états propriétaires de ces fonds ne sont pas et de loin des modèles de démocratie.

Si les états en question agissent bien au départ comme des investisseurs, le volume de ces fonds peut très vite les faire passer du statut d'investisseurs à celui de propriétaires.

Hors les détenteurs de ces fonds investissent principalement dans les secteurs considérés comme stratégiques.

Ce qui veut dire qu'à terme, ils disposeraient d'une capacité de pillage des technologies sensibles et à forte valeur ajoutée.

C'est d'ailleurs ce qui a inquiété il y a peu la commission de l'UE.

Pour en savoir plus voir l'article sur :

http://www.nouvelle-europe.eu/index.php?op...4&Itemid=64

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Invité j-luc
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Invité j-luc
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Terrorisme / France / maire de Paris.

Ouverture d'une enquête préliminaire sur un e-mail incitant à des attentats contre Paris et son maire

mer 09 jan, 19h32

PARIS (AP) - Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire, confiée à la Direction de la surveillance du territoire (DST), à la suite d'un courrier électronique incitant à des attentats visant le maire de Paris et la capitale adressé à un site islamiste, a-t-on appris de sources judiciaires. Dans ce message envoyé à un site salafiste, l'auteur incite à des attentats contre le maire et des lieux touristiques de la capitale, précise-t-on de mêmes sources. C'est la section antiterroriste du parquet de Paris qui supervisera l'enquête confiée au contre-espionnage. "La préfecture de police, les services de l'Etat m'ont prévenu samedi, ont été remarquablement professionnels et ont fait preuve à mon égard de beaucoup de tact", avait précisé mercredi sur RTL le maire de Paris Bertrand Delanoë. "

Source :http://fr.biz.yahoo.com/09012008/5/ouverture-d-une-enquete-preliminaire-sur-un-e-mail-incitant.html

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Invité j-luc
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Invité j-luc
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Défense/France/OTAN

Le 1er janvier 2008, à la suite de la Grande-Bretagne, la France a pris pour la première fois le commandement de la force de réaction rapide de l'OTAN (NATO Response Force), pour une durée de six mois, sous les ordres du contre-amiral Hinden.

Déployable dans des délais très brefs, partout où l'actualité l'exige, la NRF en est à sa dixième prise d'alerte (NRF 10).

[...]

Sous mandat onusien, l'action des composantes maritimes (plus de 50 bâtiments) a pour but d'apporter les conditions d'un retour à la sécurité pour permettre à l'UNAMIL (structure d'assistance de l'ONU) de remplir ses missions. En complément de cet objectif opérationnel à conduire en étroite coopération interarmées, il revenait également aux acteurs de réaliser un TOA (Transfert of Authority ou passation de suite) vers les Follow-on Forces (forces de relève) : la STRIKEFORNAR, dirigée depuis le bâtiments de commandement américain Mount Whitney.

Source:http://www.defense.gouv.fr

La Force de réaction de l'OTAN

Que représente-t-elle concrètement pour l'OTAN

Cette force donne à l'OTAN les moyens de réagir rapidement n'importe où dans le monde à divers types de crises. Elle est aussi le moteur de la transformation de l'OTAN sur le plan militaire.

Des rotations de six mois

En effet, la Force de réaction fonctionne par rotations. Les pays membres de l'OTAN affectent des unités des forces terrestres, aériennes, navales ou des forces spéciales auprès de la Force de réaction de l'OTAN pour une période de six mois.

Les normes appliquées sont très rigoureuses et la participation à la NRF est précédée par un programme de formation de six mois pendant lequel les moyens des unités sont testés au cours d'exercices complexes.

Le passage par la NRF des différentes forces qui s'entraînent à un niveau élevé permet de diffuser les nouveaux concepts et les nouvelles technologies au sein des forces de tous les pays membres, et d'y favoriser la transformation des moyens militaires.

Le commandement opérationnel de la NRF est assuré en alternance par le Commandement OTAN des forces interarmées de Brunssum et de Naples et par le Quartier général interarmées de Lisbonne. La NRF en est pour l'instant à sa septième rotation, sous le commandement du QG du Commandement des forces interarmées interalliées de Brunssum.

Un ensemble puissant

La Force de réaction se caractérise principalement par le fait qu'elle regroupe des forces terrestres, aériennes, navales et des forces spéciales.

Elle englobe un élément terrestre de la taille d'une brigade, avec capacité d'entrée en force, une force navale opérationnelle comprenant un groupe tactique avec porte‑aéronefs, un groupe opérationnel amphibie et un groupe d'action de surface, ainsi qu'un élément aérien pouvant effectuer 200 sorties de combat par jour.

La Force compte un élément supplémentaire de forces spéciales, auquel il peut être fait appel en cas de nécessité.

La Force de réaction de l'OTAN peut être adaptée à une opération donnée. Elle peut être moins importante que ce qui a été envisagé au cours de sa période d'entraînement de six mois, de la même taille ou même plus importante. Quoi qu'il en soit, elle reste la Force de réaction de l'OTAN.

Tout type de mission, partout dans le monde

La Force de réaction de l'OTAN, dont le principe est d'être la « première force sur le terrain et la première force à quitter le terrain », est conçue pour pouvoir accomplir tout un éventail de missions différentes, partout dans le monde :

se déployer en tant que force autonome pour des opérations relevant de l'article 5 (défense collective) et des opérations de réponse aux crises hors article 5, telles que des opérations d'évacuation, et à l'appui de la gestion des conséquences d'une catastrophe (notamment des incidents chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires), des situations de crise humanitaire et des opérations de contre-terrorisme ;

se déployer en tant que force d'entrée initiale facilitant l'arrivée de forces de remplacement plus importantes ;

se déployer en tant que force destinée à montrer la détermination de l'OTAN et sa solidarité en vue d'éviter les crises (opérations de réaction rapide à l'appui de la diplomatie selon les besoins).

Le Secrétaire général de l'OTAN, Jaap de Hoop Scheffer, a déclaré : « Quand les circonstances exigeront que nous fassions appel à la NRF, nous le saurons. Et nous ne devrons pas hésiter à ce moment-là à le faire. Si par exemple le tsunami s'était produit plus près de la zone de l'OTAN, je ne doute pas que nous aurions déployé la NRF. Comme vous pouvez le constater, le mandat de la NRF est très vaste. »

Source :http://www.nato.int/issues/nrf/practice-fr.html

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Invité j-luc
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Invité j-luc
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ABM/ bouclier anti missiles

International

ABM: Moscou fidèle à la position formulée par le président russe (MID)

18:49 | 10/ 01/ 2008

VARSOVIE, 10 janvier - RIA Novosti.

Moscou restera fidèle à la position sur l'ABM définie par le président Poutine, a déclaré jeudi à Varsovie le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Kisliak avant ses négociations avec la délégation polonaise.

"La Russie apportera au problème de l'ABM une solution appropriée aux propositions formulées par le président russe Vladimir Poutine", a affirmé M. Kisliak.

Le président russe avait antérieurement proposé de créer à Moscou un centre d'échange d'informations sur les tirs de missiles. Un centre analogue pourrait également être implanté dans une capitale européenne, par exemple à Bruxelles. Il avait également invité les Etats-Unis à utiliser conjointement les radars russes de Gabala et d'Armavir au lieu de déployer leurs forces de frappe en Pologne et en République tchèque.

"C'est le premier entretien que nous menons sur cette question avec nos collègues polonais", a constaté M. Kisliak avant d'ajouter qu'il appréciait le fait même que ce dialogue ait lieu.

[...]

Moscou /.../ considère le déploiement d'éléments de l'ABM près des frontières russes comme une menace à sa sécurité nationale.

Peu après sa nomination en novembre dernier, le nouveau premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré qu'il n'était pas un partisan aussi actif de l'ABM américain que le président Lech Kaczynski. Selon M. Tusk, avant de prendre une décision définitive au sujet du système ABM, Varsovie aimerait examiner cette question "aussi bien avec l'OTAN qu'avec ses voisins les plus proches, dont la Russie".

-----------------------------------

- Ce qui est "marrant" c'est que le premier bouclier anti missiles est russe. Ce n'est pas la première fois que les forces US piquent une idée à la Russie.

Le bouclier russe a d'ailleurs été et est en cours de remise à niveau.

- La nouvelle position de la Pologne ou le "glissement" apparent, ne cacherait-il pas de la part de l'équipe dirigeante polonaise la volonté d'avoir quelque chose à mettre dans la balance face à la République Fédérative de Russie dans leur récent litige concernant le transit des hydrocarbures?

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Invité j-luc
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Technologie spatiale européenne.

L'ATV, le pari technologique de l'Europe

Avec le laboratoire scientifique Columbus et le bras robotique ERA, le Véhicule de transfert automatique (ATV) est une des trois contributions majeures de l'Europe au programme de la Station spatiale internationale. Il s'agit d'un véhicule de transport automatique utilisé pour ravitailler la Station et rehausser son orbite.

L'ATV est le véhicule spatial le plus novateur et le plus complexe jamais développé et construit en Europe. Il est également le plus puissant. Autrement dit, son développement doit permettre à l'Europe d'atteindre un niveau de technologie dans ce domaine jamais approché et le plus surprenant envoyer l'Europe sur Mars ! Seul bémol, le manque de volonté politique de l'Europe qui n'a pas cru bon de financer le développement d'un véhicule entièrement réutilisable. Chaque ATV finit sa carrière brûlé dans l'atmosphère, au-dessus de l'océan pacifique après une rentrée destructive contrôlée.

Première mission

Le premier ATV doit être lancé en janvier 2008 par une Ariane 5 ES depuis le port spatiale de l'Europe à Kourou. Cette première mission prévue pour durer 6 mois est la plus exigeante et la plus complexe des cinq missions d'ATV prévues à ce jour. Du lancement à l'amarrage à la Station elle demandera environ une quinzaine de jours au lieu des trois ou cinq jours d'une mission normale, pour permettre aux ingénieurs d'effectuer une série de tests détaillés en orbite. Il faut faire la preuve que le vaisseau-ravitailleur est capable d'interrompre ses manoeuvres de rendez-vous à n'importe quel moment en s'arrêtant, puis en s'éloignant de la Station. Quant aux objectifs ils sont au nombre de 4 :

- Rendez-vous orbital avec la Station ;

- Ravitaillement en consommables et fret ;

- Rehausser l'orbite ;

- Rentrée destructive au-dessus de l'océan Pacifique.

Tout l'article sur :http://www.flashespace.com/html/juillet07/02b_07.htm

Passionnant.

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
Posté(e)
- La nouvelle position de la Pologne ou le "glissement" apparent, ne cacherait-il pas de la part de l'équipe dirigeante polonaise la volonté d'avoir quelque chose à mettre dans la balance face à la République Fédérative de Russie dans leur récent litige concernant le transit des hydrocarbures?

L'un des defis majeur de notre siecle sera, non pas la gestion des ressources (ca c'est plutot le probleme du XX siecle), mais leur appropriation. Les etats-unis, toujours en avance sur leur epoque l'on bien compris. Les anglais aussi (ils ont arreter l'hypocrisie qui consiste a demander aux gens de moins consommer de l'energie ou de voyager) et il est a prevoir que de nombreuses guerres vont avoir lieu pour le control des approvionements en Gaz, petrol, eau, terre, nouriture, etc... Ce qui me fais delirer, c'est qu'a une epoque tel que la notre, la France n'a toujours pas reagit et attend que l'effet du rechauffement globale se fasse sentir avant de prendre les mesures necessaires. Une des premieres mesures devrait etre, a mon avis un control accrue sur l'approvisionement en petrol et en gaz. En d'autre terme, je ne pense pas que ce soit le moment de privatiser de tels secteurs.

Modifié par kyrilluk
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Invité j-luc
Invités, Posté(e)
Invité j-luc
Invité j-luc Invités 0 message
Posté(e)

Et encore kyrilluk si ça pouvait être aussi simple.

Je vais utiliser une métaphore.

Chaque pays joue sur plusieurs échiquiers et qui plus est certaines parties valent plus que d'autre.

Prenons l'exemple de la France et de la Russie. En tant que membre du conseil permanent de sécurité chacun des ces deux pays est un joueur sur cet échiquier.

Mais en tant que producteur d'hydrocarbure la Russie joue aussi sur un échiquier auquel nous n'avons pas accés. Le vénézuéla lui joue sur l'échiquier hydrocarbure mais par sur l'échiquier conseil permanent de sécurité.

Toutes les connections sont à prendre en compte; pour tous les états.

Il existe également d'autres parties qui se jouent sur l'échiquier du monde industriel, on y retrouve d'autres joueurs avec d'autres cartes. Et ces parties peuvent bien venir dérégler les parties interétatiques.

Il y a aussi un autre aspect que l'on minore, sans doute parce que nous ne serons pas en première ligne, ce sont les migrations de populations qui seront liées au réchauffement de la planéte. Nous allons voir des pays dont une partie de ses concitoyens s'expatrient voir arriver à leurs frontières des populations migrantes pour raisons humanitaires - accés à l'eau -.

Hors pour une part ces pays ne sont pas des modèles de démocratie et ne sont sans doute pas près à devenir des pays d'immigation forcée.

Je ne suis pas certain que l'ONU tel que nous la connaissons puisse survivre en l'état à ce phénoméne, s'il n'est pas dès maintenant anticipé.

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Invité j-luc
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Invité j-luc
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Terrorisme/ France/ menace

Le contre-espionnage français enquête sur des menaces diffusées sur Internet et resserre ses liens avec les services étrangers.

Un vrai risque terroriste pèse-t-il à nouveau sur la France ? Depuis quelques jours, les ministères de l'Intérieur et de la Justice prennent au sérieux les menaces proférées sur le site salafiste al-Ekhlass, bien connu des services de renseignements occidentaux.

Le Figaro est en mesure de révéler que de hauts responsables policiers français viennent d'entreprendre une tournée dans divers pays du Maghreb pour «resserrer les boulons» de la coopération antiterroriste. La Tunisie, notamment, constitue l'une de leurs destinations. Mais aussi, plus loin, la Mauritanie. Là où des risques d'attentats très précis contre les intérêts français ont conduit à annuler purement et simplement la dernière édition du Dakar...

Un message d'al-Qaida menaçait notamment de frapper des Français sur place. Il a été intercepté par les services secrets qui avaient placé sur écoute des groupes de la mouvance islamiste radicale en zone sahélienne.

Constat clinique

é Paris, un préfet établit ce constat clinique : «De plus en plus souvent, la France est visée dans les communiqués attribués à Ben Laden, à son lieutenant al-Zawahiri, ainsi qu'à la branche d'al-Qaida au Maghreb islamique (ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat, GSPC). Il y a bien un bruit de fond qui persiste et tend à s'amplifier.»

la suite :http://www.lefigaro.fr/actualite

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Invité j-luc
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Invité j-luc
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USA/FBI/ écoutes téléphoniques-

USA: écoutes anti-terroristes coupées, le FBI ne payait pas

Aux Etats-Unis, des écoutes anti-terroristes légales ont été coupées par des opérateurs. Le FBI (police fédérale) ne payait pas la facture. C'est ce que révèle un rapport de l'inspecteur du ministère de la Justice.

Alertés par des soupçons de fraude sur les fonds réservés aux opérations secrètes du FBI, les inspecteurs du ministère ont mené une enquête qui a abouti à la condamnation en juin d'une spécialiste en télécommunications qui avait détourné 25.000 dollars.

Mais au cours de leur enquête, les inspecteurs ont aussi découvert l'archaïsme des systèmes de paiement des opérations secrètes, qui passent par des bureaux tiers totalement désorganisés, révèle le rapport, dont un résumé est publié sur le site internet du ministère.

[...]

En examinant près d'un millier de paiements réalisés par cinq bureaux différents, les inspecteurs ont découvert que plus de la moitié avaient été payés en retard. Certains l'étaient même tellement que l'opérateur avait coupé la ligne.

Source: http://www.edicom.ch

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Aux USA c'est le FBI qui raite des questions anti-terroristes.

Le FBI est issu de l'USSS - United State Secret Service - qui outre la protection du président compte une division d'agents en uniforme, ce sont des agents fédéraux.

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Invité j-luc
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Invité j-luc
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DGSE

Les arrestations vendredi en Guinée-Bissau de deux assassins présumés des quatre touristes français tués le 24 décembre en Mauritanie, sont le "résultat d'une vaste opération menée par des équipes de la Direction générale de la sécurité extérieure" (DGSE), a-t-on appris samedi 12 janvier à Paris de source proche des services de renseignements français.

Source: http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-...6-998688,0.html

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Bravo Messieurs!

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
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On ne louera jamais assez l'efficacité et la rapidité d'intervention des agents de la DGSE.

L'Altesse les salue bien bas! :snif:

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Invité j-luc
Invités, Posté(e)
Invité j-luc
Invité j-luc Invités 0 message
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Nucléaire/Iran

TEHERAN, 12 janvier -

RIA Novosti.

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a déclaré samedi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) était la seule habilitée à négocier avec l'Iran sur son programme nucléaire.

[...]

Pour M. Ahmadinejad, l'énergie nucléaire est un "bien offert par Dieu" dont les besoins internationaux doivent augmenter de plusieurs fois d'ici vingt ou trente ans. "Il faut créer des possibilités légales pour tous les Etats afin qu'ils puissent exploiter cette énergie pure", a-t-il constaté.

Source : http://fr.rian.ru/world/20080112/96375126.html

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Membre, Anarchiste épistémologique, 50ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 691 messages
50ans‚ Anarchiste épistémologique,
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On ne louera jamais assez l'efficacité et la rapidité d'intervention des agents de la DGSE.

L'Altesse les salue bien bas! :snif:

C'est vrai, d'autant plus qu'en general, contrairement a d'autres services secrets (comme la CIA ou MI6), ils ne sonnent pas de la trompettes a chaques succes et essaye de rester "secret" (pas du genre a faire une campagne TV pour recrutter, ou encore des best-seller sur les operations, etc..).

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