Je me lance...

oui, ce passage fût court

mais, yen aura bientôt des tartines, j'vais passer pas mal d'heure dans le train avec les fêtes de fin d'années :smile2:

Euh, c'est des biscottes de régime là

Nous attendons n'est ce pas ? et nous sommes très sages

:smile2: faut pas abuser des tartines après le fêtes

faut pas abuser des tartines après le fêtes

C'est sûr, mais on mangerait bien une petite biscotte de plus quand même... :smile2: ;)

:smile2:

:D

:smile2:

scusez moi, j'ai pas trop la tête à mon bouquin en ce moment :smile2:

Merci beaucoup, je viens de me faire avoir :smile2:

:smile2:

Merci beaucoup, je viens de me faire avoir

:smile2:

Merci beaucoup, je viens de me faire avoir

:D moi aussi :smile2:

Ils terminèrent ce copieux repas autour d'une infusion de plantes anisées, fraîches et douces à la fois. Ce fût encore une fois Nicolas qui mit un terme au silence, ses yeux se posèrent sur Boris et il demanda calmement.

- Quand pourrons-nous nous rendre au château ?

Surpris par la question, Boris avala une gorgée d'infusion de travers et renversa une partie de sa tasse. S'essuyant la bouche, il regarda Nicolas d'un air médusé.

- Se rendre au château ?

- Oui, c'est notre but. J'aimerais bien l'atteindre au plus vite et rentrer chez moi.

- Mais¿ Vous n'y pensez pas ! Myraïna est en guerre ! L'accès au château est impossible ! Les gardes sont postés en surnombre à chaque entrée, tous les marchands sont minutieusement fouillés et doivent être munis d'un écu frappé par le roi lui-même ! Personne n'est autorisé à passer les ponts levis, personne !

Nicolas se senti atterré, il n'avait plus la force. Il avait l'impression de se trouer sur un grand huit où ses sentiments passaient de la forte colère au plus lourd des abattements sans arrêt. Tout était de trop pour lui, trop impossible de se retrouver dans un autre monde, trop impossible de croire à cette magie étrange, trop impossible de croire que sa propre grand-mère faisait parti de tout ça et venait de perdre une trentaine d'année sous ses yeux, et maintenant trop impossible de se rendre là où tout pourrait prendre fin, là où sa vie pourrait reprendre son cours normal. Sa détresse devait se lire sur son visage, Charles le dévisageait avec une profonde tristesse au fond des yeux. Il tenta vaguement un sourire pour rassuré son beau-frère et chasser ce regard peiné, mais il en était incapable et préféra donc baisser la tête vers sa tasse de tisane fumante.

Charles comprenait parfaitement Nicolas, lui aussi se sentait complètement désarmé, mais il ne voulait pas perdre espoir, ils allaient y arriver, il le fallait. Il observa Boris et réfléchit à ses propos, repassa dans sa tête leur arrivée dans la cage, puis son regard se tourna vers Déliah. Un Déclic se fit en lui, Déliah, Boris, ses yeux passaient de l'un à l'autre au fur et à mesure que tout devenait clair dans son esprit. Stoppant son attention sur Boris, il se lança.

- Vous dites que personne ne peut passer la surveillance des gardes, impossible d'entrer dans l'enceinte du château. Pourtant, vous nous avez dit savoir que Déliah, ici présente, était sensée être au château, alors que vous-même n'y avez certainement pas mis les pieds. Comment pouvez-vous savoir ce qui se passe au château sans y être entré ?

On dirait que ça se précise :smile2: Enfin un peu d'action...

Merci ma belle

mais je suis tenté de dire, comme d'habitude: ENCORE :D

Trop bon de te lire !!!.... Surtout, ne t'arrêtes pas...

:mur:

- Jolie stratégie, on pourrait utiliser la même non ?

- Impossible, plus personne ne peut rentrer au service du roi, le château est sur ses gardes, personne n'entre, je vous l'ai dit.

Charles scrutait son beau-frère, il craignait une énième crise de colère et se demandait comment lui-même parvenait à garder son calme. Il y a quelques temps tout leur paraissait si facile, maintenant tout se compliquait Bénédicte était si près et en même temps si loin. Il posa doucement le regard sur sa main gauche sous la table, l'alliance dorée brillait faiblement à la lumière des bougies, un pincement au c¿ur lui fit monter les larmes aux yeux. Il les retint de son mieux, se forçant à se dire que tout allait s'arranger, que tout se passerait bien. Il sursauta quand Nicolas frappa violement du poing sur la table, il se préparait à intervenir quand la main de Déliah se posa avec douceur sur le poing serré de Nicolas.

- Il y a un passage, je sais par où nous pouvons entrer.

Elle somnolait bercée par les flammes, elle se sentait glisser lentement vers le sommeil. Elle s'étira longuement puis s'appuya aux accoudoirs du fauteuil afin de se lever. Elle ne resta debout qu'une poigne de secondes, la pièce se mit à tournée sur elle-même, elle se sentait tanguer, le sol semblait se déformer sous ses pieds. Elle se retrouva brutalement assise sur le fauteuil se tenant la tête des deux mains. Même dans cette position, la pièce ne semblait pas vouloir retrouver son ordre initial, le moindre mouvement de tête lui soulevait le c¿ur.

- Oh mon Dieu, mais qu'est-ce qui m'arrive !

OWIIIIIIIIIIIII encooooooooooore encoooooooooooooooooore merciiiiiiiiiii !!!! :smile2:

OWIIIIIIIIIIIII encooooooooooore encoooooooooooooooooore merciiiiiiiiiii !!!! :smile2:

:D

:smile2: J'avais râté ça

Ca bouge là, et on a envie de connaitre ......

!!!!!! LA SUITE !!!!!

C'est passionnant, j'ai hâte

!!!!! ENCORE !!!!!

J'en connais quelques uns qui vont se faire avoir ..... mouarf, mouarf, mouarf ........ miaou, miaou, miaou :D

Elle appuya sa tête au dossier du fauteuil et ferma les yeux. Dans le noir, c'était pire, la sensation de tourner était amplifiée. Elle émit un faible grognement et souleva ses paupières avec difficulté. Elle resta là, immobile, à fixé le plafond de pierre avec l'impression de se retrouver sur un bateau en pleine tempête. Petit à petit les mouvements se firent plus lents, sans pour autant se stabilisés. Elle apprécia malgré tout l'apaisement que cela lui procurait, elle fit son possible pour ne pas bouger, craignant l'amplification du phénomène. Le feu crépitant faisait danser les ombres sur le plafond, elle ne pouvait s'empêcher de suivre des yeux la danse folle et rapide des tâches sombres mêlées de touches orangées. Immanquablement, suivre ce spectacle de lumière lui fit bouger la tête de quelques millimètres, et la pièce se remit à tourner de droite et e gauche. Elle poussa un grognement et appliqua une main sur ses yeux.

- Il faut que je m'allonge !

Oui, ma belle ! Et tu fais comment pour traverser la pièce jusqu'à ton lit ?

Evidemment, c'était un problème. Elle ne pourrait faire un pas sans se retrouver étalée par terre.

- Par terre ?

Elle tata lentement de son pied l'épais tapis qui recouvrais partiellement le sol. Doux, moelleux et chauffé la par cheminée, c'était mieux que rien. Elle se prépara un instant aux vagues qui allaient soulever la pièce et se laissa lentement glisser vers le sol. Plus d'une fois elle eu l'impression de monter au lieu de descendre, se sentie partir sur la droite et la gauche alors qu'elle se tenait bien droite entre les accoudoirs. Elle prit peur lorsqu'elle eu l'impression de partir brusquement vers l'avant, droit dans les flammes, puis un soulagement l'envahi quand elle senti la matière douce et pelucheuse du tapis entre ses mains. Elle se coucha tout doucement sur le ventre, une joue en contact avec le tapis moelleux, elle ferma les yeux et apprécia enfin la stabilité un léger sourire aux lèvres.

Heureusement que je suis malade... :smile2:

Comme ça, j'ai au moins le temps de venir sur le fofo et j'ai le plaisir de voir que ça bouge un peu... :D :mur:

ma belle !!!....

Si je peux me permettre (et je me permets, bien sûr )

va yavoir une petite pause :smile2:

je suis en train de relire tout le début pour y apporter des corrections, pour as tout faire en un gros bloc.

Parceque mine de rien ça avance et ya déjà 146 pages word

:smile2: Y'a même un 'ma belle' tout à fait forumique !

Allez Pandore, au boulot, le public attend et tu te dois à lui