Je me lance...

Ils sourirent tous les deux. Elle approuva. Ca avait été vrai après tout, dans sa jeunesse rien ne paraissait impossible au pouvoir de Déliah. Alors elle essayerait, car c'était leur seul espoir de retrouver Bénédicte. Sans grande conviction, mais elle allait quand même essayer, ne serait-ce que pour Charles qui semblait si désoeuvré. Et là sous leurs yeux le soleil commençait lentement a décliner, baignant la véranda de sa chaude couleur orangée.

( n'y suis con moi, hier j'ai pas qu'il restait juste ça du chapitre quand j'ai posté)

(jepourrais faire mavilaine et laisser comme ça )

(je le fais? )

( rooooooooo vous êtes trops choux )

La tête lui tournais après le départ de Gard, sûrement le vin s'était-elle dit en allant s'étendre dans le grand lit. Allongée les yeux fermés, elle repensait à tout ce qui venait de se passer. Lui avait-on vraiment dit qu'elle retrouverait Dana ? Etait-ce vraiment possible ? En un éclair elle se revit au cimetière, enterrant ce cercueil bien trop petit, pleurant toutes les larmes de son corps dans une robe noire hors de prix.

Ca n'aurait jamais du se passer, elle n'aurait jamais du finir ainsi.

Elle retint ses larmes, elle ne voulait plus pleurer, même si la souffrance était toujours aussi vive. Ses pensées revinrent sur sa vie après Dana. Pour la deuxième fois depuis son affreux réveil dans le noir, elle repensa à ses soirées vides de sens, à ses journées mortes et ses réveils inutiles. A ce mari qui la laissait s'ensevelir dans sa souffrance et l'accablait de ses regards. Sa douleur fit place à la rage. De quel droit s'autorisait-il à lui faire porter le chapeau ? Ce n'est pas parce que Dana était dans son ventre que tout était de sa faute. Elle qui souhaitais tant rentrer chez elle jusqu'alors se rendait compte maintenant qu'elle n'y trouverais que remords et souffrance. Ici, elle pourrait se recommencer une vie¿ Avec sa fille comme on le lui avait promis. Charles n'avait pas besoin d'elle, pour lui elle avait tuer son enfant, comment pourrait-elle continuer a vivre avec cet homme et l'aimer ? Pourquoi ne pas refaire sa vie ici, et si comme tout se passait comme on le lui avait promis, refaire sa vie avec Dana, voir grandir ici son enfant.

Modifié le 24 octobre 2007 par Calisthée

Et alors ??????????

Trop bien, la suite....

bon je sais mais commentaires sont tout le temps les mêmes, mais c'est que j'ai trop hâte de savoir comment ça va se terminer tout ça!!

J'adore !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Surtout les blancs pour savoir si tu nous envoies la suite... mdrrrrrrrrrrrrrr :o :D :D :D :D :D :D :D :p :p :p :coeur: :coeur:

Continues Cali, c'est trop bonnard.

bises

Calisthée,

Je viens de lire ces 25 pages d'une traite sans même m'en apercevoir. On t'a déjà dit que tu avais du talent, que c'était passionant, je te le répète une fois de plus. Mais je voulais surtout te remercier de nous avoir fait partager ce petit bout de toi. MERCI de m'avoir transportée, MERCI de m'avoir émue, et un grand Bravo.

Et puis bravo aussi pour tes poèmes. Je te souhaite sincèrement de t'épanouir dans l'écriture. Continue...

Espèce de.... Vicieuse méchante infâme ignoble taquine !!! Excellent le coup des blancs !!

Bon c'est pas tout ça, mais maintenant que tu t'es t'es bien marrée sur notre compte, on veut double ration

merci beaucoup crucru

chapacha, double ration va falloir que j'écrire à fond ce soir

Ouaip et du coup, hop hop hop ... au boulot

Chapacha, tu as raison pour la double ration

Bises les filles

ah bah ça fait du bien de te lire un ti peu

C'est genial de te lire Cali, passionnant, captivant !

On est a bout de souffle à chaque post, tu as du talent !

La suite, la suite

Merci Cali pour ce voyage dans le fantastique qui nous fait un peu oublier la dure realité de nos vies

:D :D :D :D :D :D :D :p :p :p :D :D :p :D :D :D :D :D :p :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :) :D :D :D

C'est genial de te lire Cali, passionnant, captivant !

On est a bout de souffle à chaque post, tu as du talent !

La suite, la suite

Merci Cali pour ce voyage dans le fantastique qui nous fait un peu oublier la dure realité de nos vies

+1 j'adhère et j'adore !!! Merci Cali...

promis, refaire sa vie avec Dana, voir grandir ici son enfant.

Béné, tu divagues !

Un sourire passa brièvement sur ses lèvres.

Vraiment ? Et si c'était possible ?

Ce vieil homme n'était pas comme les autres. Il avait été gentil, compréhensif, ne l'avait forcée à rien. Tout ce qu'il lui avait raconté, tout ce qu'il lui avait montré, il n'y avait pas de doutes à avoir.

Il n'y a vraiment pas de doutes à avoir.

Sur cette pensée, qui tournait doucement dans sa tête au milieu de tout le reste. « Il n'y a vraiment pas de doutes à avoir » murmura-t-elle encore une dernière fois avant de sombre dans le sommeil.

Ce qu'elle ne savait pas, c'est que les doutes, il était grand temps d'en avoir. Ce qu'elle ne savait pas c'est que le vin ne lui avait pas seulement fait tourner la tête. Cette sensation d'ivresse, c'était juste pour semer le trouble, la véritable action de la potion, c'était en quelque sorte de l'hypnotisée. Qu'elle ne donne raison qu'à Gard, qu'elle n'obéisse qu'à Gard, qu'elle ne boive que les paroles de Gard. Ainsi le magicien était rentré tranquillement dans son antre. Demain, il avait rendez-vous avec sa belle, lui enseigner les bases serait facile, et ancré un peut plus son emprise sur elle un jeu d'enfant. Il se débarrassa joyeusement de la tenue d'apparat et enfila sa toge dite classique. Il disposa avec soin Dorsys sur son socle, caressa lentement le jade en guise de remerciement. Il passe dans son laboratoire et repose cette fiole qui lui a été si précieuse en cette journée. Un sourire mauvais est dessiné sur ses lèvres, reflet de ces années qu'il avait passé à croupir seul. Maintenant, c'était fini, le mince doute qui s'était imprimé dans son esprit était maintenant dissipé. Il avait maintenant sous la main une arme puissante qui réagirait à son commandement. Pour la première fois depuis très longtemps, Gard se coucha l'esprit serin, avec le sourire.

Viiiiiiiii merciiiiiiiiiii encoooooooore !

Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !

Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !

Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !

Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore ! Encore !...

calmez vous je commence juste à ecrire la suite

LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE........

Ecris alors et poste la suite

calmez vous je commence juste à ecrire la suite

Oui, bon daccord, mais quand même, Calisthée...

:D s'il te plaîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîît

... la suite........ :p

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Le lendemain, Aurore vint réveillé Bénédicte à l'aube. Cette dernière ouvra les yeux avec un violent mal de crâne. Elle avait du mal à garder les yeux ouverts, même si la lanterne que tenait Aurore ne produisait que peu de lumière. Aurure l'aida à se lever un peut, ou tout du moins à se mettre en position assise. Bénédicte regardait Aurore sans vraiment comprendre pourquoi on la réveillait si tôt. Au pris d'un grand effort, elle réussi à articuler.

- Il se passe quelque chose ?

- votre première leçon, vous avez accepté la proposition de Gard.

- Ma première¿

Et tout lui revint en mémoire, douloureusement car sa tête lui faisait un mal de chien.

- Ah oui¿ c'est vrai.

Aurore l'aida à se mettre debout, la taquinant joyeusement sur l'abus de boisson. Elle l'installa sur le canapé, là sur la table basse une tisane bien chaude attendait, accompagnée d'une grosse tranche de brioche beurrée. Aurore laissa Bénédicte devant son petit festin et parti préparer la salle de bain. Bénédicte resta tout d'abord un long moment à observé la vapeur s'échapper mollement de la tasse en volutes. Pour son cerveau torturé, ce spectacle était relaxant et envoutant. Malgré le feu crépitant dans la cheminée, il faisait froid dans cette grande pièce, sa chaude robe de chambre la réchauffait mes ses mains étaient glacés. Elle souffla sur ses doigts, puis posa ses mains sur la tasse de porcelaine chaude. La chaleur irradia de ses paumes vers ses doigts, la sensation était délicieuse. Elle porta la tasse à ses lèvres et souffla doucement sur le liquide brûlant. Elle se risqua à prendre une gorgée, qui coula dans sa gorge et la réchauffa de l'intérieur. Elle ne savait pas exactement de quoi était faite cette tisane, mais elle était excellente, douce et fruitée. Une fois la tisane terminée, elle conserva encore un peut la tasse entre ses mains, captant le peut de chaleur que la porcelaine restituait encore. Elle mordit enfin à pleines dents dans la brioche, tendre et moelleuse, un vrai régal, et tant pis pour ses rondeurs.