stop ou encore

FRONTIERE - suite

J'ai sorti la balise du sac, tapé le code; les échos des balises des jets se sont affichés sur l'écran.

Le copilote était à un mètre dans l'allée, je lui ai montré les trois échos semblables, j'ai vu qu'il ne comprenait pas. J'ai sorti un bloc, j'ai écrit: c'est O.K, ils nous escortent.

- Comment vous le savez, ils sont pas identifiés?

J'ai écrit: ils ont la même balise que la mienne à bord, je reçois les échos là-dessus, ils sont avec nous.

Il m'a regardée, incrédule.

Je pouvais quand même pas lui dire que Air Force One, à côté de son zinc, c'était gnognote et compagnie. Les mirages nous ont lâchés au-dessus de la Méditerranée.

Moins d'une heure plus tard, on était à Villacoublay.

Le pilote a ouvert la porte, il a jeté un coup d'oeil à mon sac.

- Sac à malices, hein?

Je l'ai regardé à travers mes lunettes de soleil. Cà devait pas être facile pour lui. J'avais eu son C.V dans les mains, il était éloquent.

C'était une pointure, un pilote de coups pourris, pas froid aux yeux.

la suite.

FRONTIERE - suite

Guerre du Golfe à vinq-cinq ans, et depuis pas mal de bourlingue dans tous les conflits où on avait mis le nez, officieusement, toutes ces guerres qui n'ont jamais existé puisque personne n'en a jamais parlé.

Il avait passé les dernières années en Afrique, terrain de chasse renoulevable à l'infini, au rythme des plateformes off-shore et des mines de diamants cachées au creux de la jungle.

Me servir de chauffeur devait pas l'amuser beaucoup, il pouvait même penser à une mise au placard. Pourtant c'était l'inverse, on l'avait choisi, lui et pas un autre, pour ses compétences et sa tête brûlée.

Le copilote, c'était pareil. Il avait l'air d'un brave type, mais c'était un baroudeur de première, mercenaire officiel ou pas, selon le moment.

Lui aussi avait beaucoup traîné en Afrique.

J'ai juste souri, que dire?

Si je savais, si seulement je savais ce que je fais.

................................................................................

....................

La Suisse c'est beau, c'est propre, c'est ennuyeux. L'herbe est verte, le ciel est bleu, les vaches sages.

Hé, vous disputez pas !!!! laissez-la digérer le contact.

Tous les artistes ont la sensibilité à fleur de peau.........

Vas-y Pocahontas, continue, tu m'intéresses de plus en plus et le refus d'envoyer ton CV me dit quelque part que je suis sur la bonne piste....

Tu veux pas qu'on échange en MP ?

Juste pour info, le CV chez un éditeur est obligatoire. Le refus de l'envoyer, c'est comme refuser une publication. Tu iras chez n'importe quel éditeur : "Riviére Blanche", "Gallimard", ou autres... c'est obligatoire. On monte un dossier pour se faire publier.

J'ai pas à me plaindre je suis pas une publication près.

Mais c'est sur, qu'une réponse comme Pocahontas, son dossier par en destruction. De toute façon attention sans prétention, il y aura que des petites édition qui sont affamés pour publier qui vont la publier et qui demanderont rien.

Je suis ni affamé, ni obligé, à arrêter la procédure de dossier de publication.

Mais ASKI, par simple conseille, quand il y a une procédure et que le dossier n'est pas complet. Le dossier passe à la corbeille. Je suis catégorique au niveau de cela. Et je te conseille de suivre la procédure indiqué par l'éditeur. Si tu penses comme ceci, tu n'es pas près de démarrer dans le domaine de la publication et de devenir un auteur.

Rien n'est inventé par moi. Tout le monde à cette procédure. Je connais pas mal de directeur de maison d'édition, on discute beaucoup des personnes qu'on rencontre dont refuses, ou qui dérapes. Mais une personne qui dérape, sans avoir commencé, elle commencera jamais.

Après pour Pocahontas, une motivation c'est pas le texte écris. Tu apprendras que la motivation ce fais par une lettre chez un éditeur et non pas par une histoire. Une histoire est un produit présenté dont aimerer publier. C'est tout mais strictement pas une lettre de motivation. Et puis un CV, n'est pas personnel. Nous directeurs d'édition, ça nous permets de savoir si la personne est correcte et d'évaluer ces compétences. Mais c'est pas encore une nouvelle fois une histoire.

C'étais ma seul intervention.

A bientôt.

Hé, vous disputez pas !!!! laissez-la digérer le contact.

Tous les artistes ont la sensibilité à fleur de peau.........

Vas-y Pocahontas, continue, tu m'intéresses de plus en plus et le refus d'envoyer ton CV me dit quelque part que je suis sur la bonne piste....

Tu veux pas qu'on échange en MP ?

Juste pour info, le CV chez un éditeur est obligatoire. Le refus de l'envoyer, c'est comme refuser une publication. Tu iras chez n'importe quel éditeur : "Riviére Blanche", "Gallimard", ou autres... c'est obligatoire. On monte un dossier pour se faire publier.

merci, merci pour tes conseils, Red Richards, oh Grand Editeur expérimenté et pas affamé "sans prétention".

au fait, dans ta présentation du 27 Août, tu dis que tu es "étudiant" ????

mais tu as quel âge, bébé ??

J'ai pas à me plaindre je suis pas une publication près.

Mais c'est sur, qu'une réponse comme Pocahontas, son dossier par en destruction. De toute façon attention sans prétention, il y aura que des petites édition qui sont affamés pour publier qui vont la publier et qui demanderont rien.

Je suis ni affamé, ni obligé, à arrêter la procédure de dossier de publication.

Mais ASKI, par simple conseille, quand il y a une procédure et que le dossier n'est pas complet. Le dossier passe à la corbeille. Je suis catégorique au niveau de cela. Et je te conseille de suivre la procédure indiqué par l'éditeur. Si tu penses comme ceci, tu n'es pas près de démarrer dans le domaine de la publication et de devenir un auteur.

Rien n'est inventé par moi. Tout le monde à cette procédure. Je connais pas mal de directeur de maison d'édition, on discute beaucoup des personnes qu'on rencontre dont refuses, ou qui dérapes. Mais une personne qui dérape, sans avoir commencé, elle commencera jamais.

Après pour Pocahontas, une motivation c'est pas le texte écris. Tu apprendras que la motivation ce fais par une lettre chez un éditeur et non pas par une histoire. Une histoire est un produit présenté dont aimerer publier. C'est tout mais strictement pas une lettre de motivation. Et puis un CV, n'est pas personnel. Nous directeurs d'édition, ça nous permets de savoir si la personne est correcte et d'évaluer ces compétences. Mais c'est pas encore une nouvelle fois une histoire.

C'étais ma seul intervention.

A bientôt.

Bon! si on passait à la suite de l'histoire ? ......

FRONTIERE - suite

C'est un pays sans surprises. Quoique. On m'avait transférée dans un endroit qui tenait autant de l'hôtel de luxe que de la clinique privée. C'était du très haut de gamme. Très isolé aussi. On arrivait ici en hélico depuis l'aéroport. Des hectares de prairies et de forêts de sapins garantissaient la discrétion et la tranquillité de l'endroit.

On m'a montré ma chambre, et j'ai rencontré mon instructeur. Mario. Grand, beau, bronzé, musclé, sourire de top-model et la dangerosité du tueur. Qu'il était.

Pour le reste, rien à dire, rien à savoir. Ecouter, se taire et obéir.

- Tu vas changer de prénom. Pour après. Pour que tu oublies ton nom, que tu ne réagisses plus quand tu l'entends. Il faut que tu t'habitues. Choisis.

- Sonia.

- D'accord. Pas de nom de famille. Tu n'en a pas besoin. Tu n'auras à prouver ton identité à personne. Sonia, on va se voir tous les jours à partir du mois prochain. Tu vas apprendre. Cà n'a rien de compliqué, c'est juste de la technique, mais il faut s'entraîner, encore et encore, pour acquérir les réflexes. Cinq mois, c'est court, mais on y arrivera. On se revoit dans un mois, Sonia.

Il est parti.

On m'a accompagnée chez le médecin. Check-up complet au programme, mais pas que çà.

Et ???????.................

FRONTIERE - suite

J'étais là pour préparer l'avenir. Je savais ce qui m'attendais, ce que j'avais accepté.

Trois jours plus tard, on m'a opérée. Je me suis réveillée, çà allait. J'étais bourrée de morphine. J'avais dit au chirurgien que souffrir m'intéressait peu, qu'il n'hésite pas à me dispenser de çà. Il m'a rassurée. C'était justement l'interêt de ce genre d'endroit hors de prix, on n'économisait pas sur les antalgiques.

Je suis restée couchée huit jours, c'était le moment le plus dur: renoncer. Au passé, à qui j'avais été, à ceux qui ne me reverraient jamais. " Sonia, tu as disparu. Simplement. Mais définitivement". J'avais peur de ne pas supporter çà, de devenir folle, de vouloir revenir en arrière. Je connaissais le prix. J'avais signé pour çà aussi. Pas seulement pour l'argent. Ils avaient sur moi droit de vie et de mort. Avec mon accord.

Trois semaines plus tard, je regardais dans la glace une ravissante jeune femme, qui m'était inconnue.

encore, encore, ENCORE

ENCORE

FRONTIERE - suite

Jolie jolie et pas une ride. C'étais réussi. Je ne me reconnaissais pas. Sauf le regard. Et encore. A condition de me concentrer dessus.

Je pleurais depuis trois semaines. En cachette. Que je croyais. La caméra était cachée derrière le miroir. Evidemment. J'avais envie de fumer, mais impossible. Ils m'avaient pris mes cigarettes à l'arrivée, mes papiers aussi.

Je voulais qu'on me rende mon moi d'avant. Mon visage, ma gueule, ma tronche. J'étais déjà sur le fil du rasoir. L'échec n'étais pas loin, je ne m'en sortais pas. Ils ont décidé de faire diversion.

Le lendemain, on m'a amenée au gymnase. Mario était là. Il m'a regardée, rapidement, il a souri.

- Bonjour, Sonia. Tu vas commencer par le tir.

Il m'a tendu une arme, je l'ai prise, çà pesait une tonne.

- 357 Magnum. Tu en as entendu parler, forcément. Cà pèse lourd, il faut pouvoir le tenir à bout de bras, sans trembler. Pas une arme de femme, à priori. Donc, il faut se muscler les bras. C'est l'arme des mauvais tireurs: tu vises mal, çà fait des trous tellement énormes que t'es sûre de ton coup.

La séance a duré deux heures, un calvaire.

LA SUITE

FRONTIERE - suite

Le 357 était tellement lourd qu'au bout de cinq minutes, mon bras commençait à trembler, je tirais à côté de la cible, je l'ai pas touchée une fois. C'était décourageant, c'était dur, tout était dur. Je n'étais pas préparée, pas prête. C'était un enfer. Rien n'est gratuit. Je payais le prix.

Je suis rentrée dans ma chambre.

J'ai pas pensé à regarder ma tronche dans la glace. J'avais mal au bras. Je me suis couchée et j'ai dormi.

*

**

Je l'ai regardé baisser le rideau de fer. J'étais garée vingt mètres plus loin, je l'observais dans le rétroviseur. Il est monté dans sa voiture, je savais qu'il passerait devant moi. J'ai démarré, j'ai suivi gentiment, cinquante mètres derrière. Je savais pas où il habitait, mais j'avais ma petite idée.

Cà n'a pas raté; évidemment, le petit ghetto pour petits bourgeois, les loups entre eux.

J'ai fait demi-tour, direction la maison que j'avais louée pour l'été. J'attendais le créneau, la bonne fenêtre de tir.

Toujours aussi passionnanat mais mets en un peu plus s'il te plait

Toujours aussi passionnanat mais mets en un peu plus s'il te plait

merci aski, c'est gentil de m'encourager. Mais je sais pas si tu as remarqué, tu est la seule à relancer le sujet tous les jours.

Pourtant, je vois bien qu'il y en a plein qui me lisent. La règle du jeu c'est stop ou encore, et je ne vais pas continuer si une seule personne me dit encore, parce-que y en a peut-être 50 qui pensent stop et ne le disent pas par politesse. alors aujourd'hui, je veux des messages, plein de messages, pour savoir où tout çà en est.

c'est pas juste!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pourquoi penses-tu que ceux qui lisent n'aiment pas ?? :D

s'ils n'aimaient pas, ils arrêteraient de lire

et puis les topics descendent très vite et certains ne vont pas en page 2 ou 3 et répondent aux topics qui sont en première page.

continue STP ou alors en MP rien que pour moi

moi je veux connaître la suite parce que c'est passionnant et je déteste arrêter un bouquin en cours de lecture (ça ne m'est arrivé qu'une ou deux fois dans ma vie)

STP, ENCORE :D

Non mais tu as vu le nombre de personnes qui te lisent.................1559 à cet instant

et tu crois que ça ne plait pas ??????????

ne te fais pas prier.....

Oui, alleeez, encoooore, encoooore ! (J'ai rattrapé mon retard)

Bein Chapacha, ya plus que nous qui postons ici

Même notre écrivain nous a abandonnées

C'est bien dommage parce que j'aurais tant aimé connaître la suite

Il y a quand même plus de 100 personnes qui sont venues lire depuis hier et qu sont reparties décues....... :D