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Les Océans en ébullition ?


nanouchka47

Messages recommandés

Membre, 45ans Posté(e)
nanouchka47 Membre 6 379 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Bonsoir.

Quelles seraient les conséquences d'un réchauffement des Océans, sur le bouleversement climatique?.

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Membre, 39ans Posté(e)
SeBoun Membre 596 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Le jour où les océans seront en ébulitions, crois moi qu'on ne pourra être là pour le voir.

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Membre+, I. C. Wiener, 32ans Posté(e)
konvicted Membre+ 26 925 messages
32ans‚ I. C. Wiener,
Posté(e)
Bonsoir.

Quelles seraient les conséquences d'un réchauffement des Océans, sur le bouleversement climatique?.

sûrement une accélération de la fonte des glaciers, entraînant une concentration moins élevée des océans et mers en sel, entraînant des courants marins, causant des tsunamis,..., sans parler de l'élévation des eaux, déja en cours, qui s'accrurait largement, causant la disparition de certaines îles, de certaines villes côtières telles que Miami, enfin c'est ce que je pense, mais j' suis pas scientifique, en tout cas pas encore

Le jour où les océans seront en ébulitions, crois moi qu'on ne pourra être là pour le voir.

j' pense que si, malheureusement

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Membre, 39ans Posté(e)
Eto Membre 322 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Le réchauffement climatique va perturber les courant marins.... Et la c' est le drame:

Exemple du Gulf Stream

Le bug du Gulf-Stream [modifier]

Malheureusement, à cause du probable réchauffement climatique dû à l'effet de serre, le moteur même de ces courants marins semble menacé.

Effectivement, on a vu précédemment que les courants marins étaient basés sur la plongée des eaux froides et salées, plus denses, dans les profondeurs de l'océan Arctique

Or, l'effet de serre entraînant une augmentation de la température, qui accroît l'évaporation dans les régions chaudes et les précipitations aux hautes latitudes. L'Atlantique se réchauffe, recevant plus de pluies, ce qui engendre fatalement une fonte partielle de la calotte glaciaire.

Conséquence directe : de l'eau douce en quantité diminuant d'autant plus la salinité marine. Ainsi s'il y a baisse de la salinité, il y a baisse de la densité des eaux de surface, empêchant leur plongée dans les abysses océaniques, coupant le Gulf-Stream, annulant les échanges thermiques entre équateur et zones tempérées.

Conséquence [modifier]

Les conséquences en seraient catastrophiques et paradoxales.

Il est réellement paradoxal de constater que ce phénomène, pourtant dû au réchauffement climatique, puisse engendrer par son inégale distribution de la chaleur une ère glaciaire en Europe et dans les régions à hautes latitudes, tandis que l'équateur accumulera une chaleur harassante. L'Europe, ne l'oublions pas, se situe à la même latitude que le Québec. La seule différence réside dans le fait que le continent européen profite de la « bénédiction » du Gulf-Stream, amenant un climat plus tempéré.

Selon ce modèle, cette perturbation pourrait engendrer des températures hivernale de - 30°C à Paris ou de ¿ 20°C à Bordeaux (bénéficiant de la « douceur » de la mer). Ces mêmes hivers seraient comparables à ceux du Québec.

Cf: WiKi

http://fr.wikipedia.org/wiki/Perturbation_du_Gulf_Stream

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Membre, 45ans Posté(e)
nanouchka47 Membre 6 379 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Merci pour vos réponses!

Mais avez-vous entendu parler des gaz a effets de serre qui s'échapperaient des fonds marins, en cas de réchauffement des océans?

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Membre, 45ans Posté(e)
Davoust Membre 1 585 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Hein ????

Cette article devrait t'intérresser

Le réchauffement ralentit l'activité biologique de l'océan

Comment la biologie des océans va-t-elle globalement répondre au réchauffement ? Des chercheurs américains viennent d'apporter d'inquiétants éléments de réponse à cette question, en parvenant à corréler la productivité du phytoplancton avec la température des eaux de surface. Plus celle-ci est élevée, moins le plancton végétal prospère.

Or non seulement la production de cette biomasse est le socle de la chaîne alimentaire océanique, mais son rôle dans la régulation du climat est considérable. Cette biomasse pompe de grandes quantités - environ un tiers - du dioxyde de carbone (CO2) émis par l'homme. Un deuxième tiers est absorbé par les végétaux terrestres. Le dernier s'accumule dans l'atmosphère.

Le début de ces mesures, en 1998, indique un niveau d'activité planctonique très bas, causé par le phénomène El Niño - exceptionnel cette année-là -, dont une conséquence est l'augmentation des températures de surface dans certaines zones des océans. Entre 1998 et 1999, l'activité planctonique est perturbée par le processus inverse, dit La Niña, et remonte en flèche.

Ensuite, entre 1999 et 2005, une fois achevées ces perturbations, l'activité planctonique suit une tendance globale à la baisse. Cette décrue est importante. Chaque année, l'océan a en moyenne absorbé 190 millions de tonnes (Mt) de carbone de moins que l'année précédente, soit environ 695 Mt de CO2 ; soit plus que les émissions annuelles de la France.

Pourquoi mettre en cause le réchauffement ? "L'augmentation des températures de surface de l'océan favorise un phénomène appelé "stratification" des eaux, explique Grégory Beaugrand (laboratoire écosystèmes littoraux et côtiers, CNRS). Ce phénomène entrave la remontée des sels nutritifs, nécessaires au développement du phytoplancton."

"C'est la première fois qu'une réponse globale de la biologie de l'océan est ainsi mesurée et corrélée à des indicateurs physiques, relève Hervé Claustre (laboratoire d'océanographie de Villefranche-sur-Mer, CNRS). Cependant la tendance, mesurée sur six ans, ne peut pas être extrapolée avec certitude aux prochaines décennies."

La productivité phytoplanctonique sera régulièrement perturbée par de futurs phénomènes El Niño et La Niña, impossibles à prévoir sur le long terme. Même si, comme le dit M. Beaugrand, "certains modèles climatiques prévoient qu'ils pourraient être plus nombreux et plus intenses à cause du réchauffement".

Les travaux de M. Behrenfeld ne concernent que l'océan des latitudes moyennes et équatoriales. Selon certaines simulations, explique Scott Doney (Woods Hole Oceanographic Institution), dans un commentaire publié par Nature, "la productivité croît aux hautes latitudes en raison du réchauffement des eaux de surface".

L'étendue de ces zones est cependant limitée, et le gain de productivité qu'elles devraient connaître à l'avenir ne compensera sans doute pas les pertes à déplorer ailleurs. "Il semble que le puits de carbone océanique (la capacité des océans à absorber du CO2) aille en se réduisant", juge ainsi M. Beaugrand.

Pour les écosystèmes marins, l'effet de ces bouleversements sera considérable. D'autant que le phytoplancton subit d'autres stress dus au changement climatique. En particulier, l'acidification des océans (Le Monde du 19 juin), qui, d'ici à 2030, affectera la survie même de nombreuses espèces planctoniques dans certains bassins comme l'océan Austral.

Stéphane Foucart / Le Monde

Lexique

Phytoplancton. Le plancton végétal, différent de son pendant animal, le zooplancton, est constitué de nombreuses espèces microscopiques qui vivent en suspension dans l'eau.

Cycle du carbone. Par activité chlorophyllienne, ces organismes transforment, chaque jour, une centaine de millions de tonnes de carbone inorganique en matière vivante. Soit environ la moitié de la production primaire de biomasse.

Extinctions. Des disparitions massives de phytoplancton se sont produites il y a 55 millions d'années. Cette période a connu une accumulation de gaz à effet de serre dans l'atmosphère dont on ignore les causes.

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Membre, 45ans Posté(e)
nanouchka47 Membre 6 379 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Merci Davoust pour ta réponse !

les scientifiques, nous apprennent qu'en matière de rechauffement,la température globale entraînera un cataclysme climatique mondial. les gaz a effets de serre augmenteraient le réchauffement de 4 a 5 degré.

Avec 8 a 10 degrés de plus ,disent-ils l'écosystème terrien subirait une extinction massive des espèces de l'ordre de 95pour cent, comme cela s'est produit a l'ere géologique première, il ya 250 millions d'années: une longue et forte activité volcanique avait alors rehaussée la température des Océans de 5 degré, permettant ainsi, la fuite du méthane et du Co2 ,dans les abîmes Océaniques.

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Membre, 43ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 43ans‚
Posté(e)

heu... 8 à 10 degrés, ça fait beaucoup quand même, on n'en est pas là tout de même.

Je savais pas pour les effets sur l'océan.

merci pour ce topic :o

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