Le stress au travail peut déclencher des troubles psychiatriques

LE MONDE | 21.08.07 | 15h09 ¿ Mis à jour le 21.08.07 | 15h09

Le stress au travail peut précipiter une dépression ou provoquer des troubles anxieux chez les jeunes salariés, hommes comme femmes. Et ce risque est doublé chez les salariés ayant des conditions de travail psychologiquement difficiles. Telles sont les conclusions de l'étude publiée par le mensuel britannique Psychological Medicine, dans son numéro d'août.

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La phobie de travailler trop !

évidemment !

Il y a qu'à voir certains de mes collègues, ils sont bon pour l'asile...

C'est bientôt mon tour...

Et physiques également...une proche, ma maman pour être plus précise, suite a un stress enorme et continue depuis 3 ans, a été arreté 8 mois pour la première fois de sa vie l'année dernière:

Déréglement de l'oreille interne ayant pour conséquence un trouble grave de l'équilibre, déréglement du au stress apres milles et un examens.

Vous oseriez aller raconter ce genre de vannes au pays des gueules noires?

Malheureusement je crois bien que oui.

Si vous voulez voir des gars qui en veullent au boulot et qui se donnent à fond jusqu'à l'usure...embarquez sur un bateau de pêche le temps d'une marée de quelques jours.

Parlez de stress et de bobos à un marin pêcheur quand il rentre...! vous verrez depuis combien de jours il ne s'est pas lavé les dents (pour certains)

Règle n'° 1, quand le bâteau est en mer...tu pêches. Si t'as le temps tu dors (1 heure ou 2 de temps en temps) quand tu peux tu pisses etc..., Si t'as mal au dos..la boîte de cachetons est dans la cabine "tape dedans", si t'as faim...t'as cinq minutes...

Et ça dure 5 jours, ou 8 ou 10, les gars reviennent comme des zombies, avec la même tenue qu'ils avaient à l'embarquement. Pendant un jour il ne rêvera que de poissons à remonter 24 h/24. Plus il en remonte, plus ça gagne.

je dis cela pour me demander si nous ne sommes pas en train de nous ramollir ou attendrir, ce n'est pas un repproche, mais un constat.

Ce qui est valable pour les marins pêcheur, j'aurais pu le dire pour les mineurs ou d'autres métiers dont certains n'ont pas idée de la pénibilité et où les gars en veulent et se donnent au max.

Si vous voulez voir des gars qui en veullent au boulot et qui se donnent à fond jusqu'à l'usure...embarquez sur un bateau de pêche le temps d'une marée de quelques jours.

Parlez de stress et de bobos à un marin pêcheur quand il rentre...! vous verrez depuis combien de jours il ne s'est pas lavé les dents (pour certains)

Règle n'° 1, quand le bâteau est en mer...tu pêches. Si t'as le temps tu dors (1 heure ou 2 de temps en temps) quand tu peux tu pisses etc..., Si t'as mal au dos..la boîte de cachetons est dans la cabine "tape dedans", si t'as faim...t'as cinq minutes...

Et ça dure 5 jours, ou 8 ou 10, les gars reviennent comme des zombies, avec la même tenue qu'ils avaient à l'embarquement. Pendant un jour il ne rêvera que de poissons à remonter 24 h/24. Plus il en remonte, plus ça gagne.

je dis cela pour me demander si nous ne sommes pas en train de nous ramollir ou attendrir, ce n'est pas un repproche, mais un constat.

Ce qui est valable pour les marins pêcheur, j'aurais pu le dire pour les mineurs ou d'autres métiers dont certains n'ont pas idée de la pénibilité et où les gars en veulent et se donnent au max.

J'en ai la larme a l'oeil

Selon toi, avons nous tous les mêmes capacités de resistances face au stress ou a l'effort physique? Je suis sur que tu es un farouche défenseur du "quand on veux on peut" toi hein

D'ailleurs il y en a qui n'ont même pas besoin d'aller bosser pour subir des troubles psy.

Forcément, si on prend pour mètre-étalon le métier de marin-pêcheur ou de mineur de fond, on interdit à quiconque de se plaindre.

Encore que la solidarité qui règne, m'a-t-on raconté, au sein de ces corps de métier empêche la comparaison avec l"employé de bureau soumis à une compétiton avec ses collègues, victime de "bâtons dans les roues", de harcèlement...

L'effort physique et le stress sont deux choses très différentes. Il n'y a a priori aucune raison pour qu'ils aient les mêmes conséquences sur la santé.