on ne pratique pas la chasse à l'enfant sans « dégats collatéraux »

Communiqué du 9 août 2007

ON NE PRATIQUE PAS LA CHASSE A L'ENFANT SANS « DEGATS COLLATERAUX »

C'est un enfant, il a douze ans, il est entre la vie et la mort à Amiens. Il aurait pu être Chinois, être plus âgé, et le drame aurait pu avoir lieu à Dôle, Lyon, Lille ou n'importe où en France. Ce n'est pas un accident. C'est l'effet direct et inéluctable de la politique imposée aux préfectures et aux policiers par le gouvernement. Les services sont soumis à des quotas en matière d'interpellation (125 000 exigés par le ministre en 2007) et d'expulsions (25 000).

Oui, les sans-papiers sont pourchassés par la police. Jusque chez eux.

D'autres drames, moins spectaculaires, se déroulent partout en France : à l'heure où nous écrivons, 10 parents (pères ou mères) d'enfants scolarisés sont placés en centre de rétention par la préfecture de police de Paris, en attente de leur expulsion pendant qu'à la maison le parent échappé à la rafle et les enfants sont dévorés d'inquiétude devant leur avenir de demi-orphelins. A Metz, un autre père de famille risque l'expulsion par l'Allemagne vers la Mongolie. Et on pourrait poursuivre cette liste qui dénombrera toujours en deçà de la réalité arrestations et expulsions, familles déchirées et vies briséesâ¿Š.

Le Réseau sans frontières est fier de défendre ces familles, ces enfants ; il s'efforce de construire la solidarité nécessaire, même en cette période où l'Etat, quoiqu'il en dise, en profite pour mettre les bouchées doubles.

Les enfants de ce pays, où leurs familles sont venues chercher tolérance et liberté ont le droit de vivre comme tous les enfants, sans la peur quotidienne au ventre, de même que leurs parents.

Il faut mettre fin aux expulsions, et aux pratiques auxquelles les forces de police se livrent, et donner à ceux qui vivent à nos côtés le droit au séjour...

RESF :

Faut surtout arrêter de tout mettre sur le dos de la police. Que je sache, ce ne sont pas eux qui ont jeté le gamin par la fenêtre. De plus, quel enfant sensé irait se jeter par la fenêtre de son propre chef alors que la police essait d'entrer chez soi? Cette "affaire" m'horripile tant elle est ridicule. L'enfant a voulu suivre son père qui tentait de s'échapper, a fait une chute quasi-mortelle et maintenant la famille veut mettre ça sur le dos de la police et profite de la médiatisation de ce drame: c'est pitoyable.

c'est quand meme incroyable la france elle a bon dos de liberté egalite et fraternité plus personne crois a de nos jours les francais comme les policiers son raz les bol de se passer pour des gentil vous les gents qui vous cet miserable chez vous arreter de prendre la france pour votre mere et pere dit a vos gubernement de vous ocuppers de votre pobrete et vos mioche qui ne respecte personne meme pas nos force publique nos policier vous ne avez ni respect ni pour la police ni pour le goubernement les francais pauvre aé ra le bol de vous surtout que vous ne portez rien de vous que votre pauvrete et votre ignognance le gouberne,ents est trop tolegant en vers vous c'eset vous que mordre la main de celui qui vous donne a manger ;le jour que nostre bon prisident aiole la sagesse de arreter les alloc et les aide on vera que viondron tous ceux quil profite les rat abaderont le navire les francais il ndira ouffff :smile2: notre president il est trop tolegang vers vous:sont carcher il est en panne

Tu es en train d'apprendre le français?

Je t'encourage vivement à continuer.