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Membre+, Noyé dans un océan de couleurs, 38ans Posté(e)
_Fred Membre+ 15 765 messages
38ans‚ Noyé dans un océan de couleurs,
Posté(e)

T'es vraiment fou, pire que moi :o:o

anariel ptdr...

je les ai trouvé moi les erreurs ^^

Modifié par _FunKy
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Membre+, Maki Sard... Tsar... euh Star ! , 32ans Posté(e)
Maki Membre+ 10 092 messages
32ans‚ Maki Sard... Tsar... euh Star ! ,
Posté(e)

funky, tu crois que je devrais me faire interner ? Ca serais cool...je t'aurais comme camarade ! :o

anariel, sympas la chanson... :o :D

Modifié par thetatsumaki
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Membre+, Noyé dans un océan de couleurs, 38ans Posté(e)
_Fred Membre+ 15 765 messages
38ans‚ Noyé dans un océan de couleurs,
Posté(e)
funky, tu crois que je devrais me faire interner ? Ca serais cool...je t'aurais comme camarade ! :D

anariel, sympas la chanson... :o :(

oué on parlera de mickey entre deux camisoles :o

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Invité Galen
Invités, Posté(e)
Invité Galen
Invité Galen Invités 0 message
Posté(e)

moi suis pas d'accord avec les autres :o

Tu veux t'intégrer ? Tu lis tout, y a pas à chier !! Sinon tu rateras forcément quelque chose d'important, qui te portera préjudice après.

A toi de voir...

PS : quant au post "et si on faisait de l'infini", Anariel n'a pas encore capté (trop récente...), c'est un code. Quand tu l'auras déchiffré, tu seras vraiment des nôtres :o

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Membre+, Maki Sard... Tsar... euh Star ! , 32ans Posté(e)
Maki Membre+ 10 092 messages
32ans‚ Maki Sard... Tsar... euh Star ! ,
Posté(e)

Ouai ! Mais faudra faire vite...autrement, les jolies infirmière risqueraient de s'impatientées... :o

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Membre+, Fée Rosse à Balai, 40ans Posté(e)
anariel Membre+ 17 040 messages
40ans‚ Fée Rosse à Balai,
Posté(e)
PS : quant au post "et si on faisait de l'infini", Anariel n'a pas encore capté (trop récente...), c'est un code. Quand tu l'auras déchiffré, tu seras vraiment des nôtres

dis, tu me donnes une piste ? allééééé, sois sympaaaa... :o

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Invité Galen
Invités, Posté(e)
Invité Galen
Invité Galen Invités 0 message
Posté(e)

:o bon ok alors, parce que c'est toi ...

voilà l'indice : ... hamlet... :o

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Membre+, Fée Rosse à Balai, 40ans Posté(e)
anariel Membre+ 17 040 messages
40ans‚ Fée Rosse à Balai,
Posté(e)

j'ai compris le code (mode blonde off)

:o

logiquement je suis codée 40066 :o

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Membre, Petite Fraise Bondissante, 35ans Posté(e)
latiteBabou Membre 1 069 messages
35ans‚ Petite Fraise Bondissante,
Posté(e)

roooo aretter on va lui faire peur !!!

il va penser qu'on le fait expres ... :o

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Membre, DYS / HPI qui ne le savait pas..., 43ans Posté(e)
mik72 Membre 2 127 messages
43ans‚ DYS / HPI qui ne le savait pas...,
Posté(e)

Juste un petit message pour rallonger le nombre de post!! :o

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Membre, chat bleu, 39ans Posté(e)
koubo Membre 8 727 messages
39ans‚ chat bleu,
Posté(e)

C'est vrai qu'il ya trop de réponses qui servent à rien parfois...

comme celle ci par exemple... :o

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Invité ClouD9
Invités, Posté(e)
Invité ClouD9
Invité ClouD9 Invités 0 message
Posté(e)

moi je sais pas j' aime bien tout lire :D bon pas partout (genre pas ici :o) mais je passe plus de temps a lire qu' a ecrire. :o

bande de feignasses :(

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Invité Galen
Invités, Posté(e)
Invité Galen
Invité Galen Invités 0 message
Posté(e)
j'ai compris le code (mode blonde off)

:o

logiquement je suis codée 40066 :o

y a une erreur, c'était 400066 :D

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Invité raph33
Invités, Posté(e)
Invité raph33
Invité raph33 Invités 0 message
Posté(e)

pour ma part, je dirais que:

Toute recherche est susceptible de contribuer à la dynamique des sciences auxquelles elle fait appel. Les travaux conduits par la Suisse dans le cadre du programme MOST n'échappent pas à cette réalité.

Rappelons préalablement l'idée générale et les objectifs principaux de la recherche MOST soutenue par la Coopération technique suisse et la Commission nationale suisse pour l'UNESCO. Cette recherche repose sur l'hypothèse que le regard croisé sur les thèmes de l'environnement, des villes et des relations de genre apporte une perspective nouvelle à chacune de ces thématiques. Elle part du constat que les femmes et les hommes ne sont pas concernés de la même manière par l'environnement urbain, et que des initiatives novatrices émanent souvent de mouvements de femmes soucieux de changer la situation environnementale dans les villes ainsi que leurs positions et leurs rôles dans les processus de décision.

Cette recherche est coordonnée par des chercheurs en Suisse et rassemble sept équipes de recherche provenant d'Argentine, du Brésil, de Cuba, du Burkina Faso, du Sénégal, de la Bulgarie et de la Roumanie. Les terrains étudiés sont tous difficiles au sens environnemental, mais aussi en terme de conditions de vie (insertion économique, pauvreté, santé, éducation, participation aux décisions). L'approche méthodologique est celle de la recherche-action et suppose donc non seulement l'étude de réalités urbaines spécifiques, mais aussi l'identification de problèmes et l'accompagnement de projets conduits avec les populations concernées.

Les objectifs sont nombreux mais résumables en deux axes principaux :

- obtenir de l'information de sorte à penser le développement dans les pays du sud à l'aide de nouvelles pistes, notamment celle de l'empowerment des femmes ;

- créer un réseau Nord-Sud de chercheurs en sciences sociales compétents dans le domaine de l'environnement urbain combiné avec une approche genre.

Ce travail a déjà fait l'objet de diverses publications notamment sous forme de livre et d'article de revue scientifique.

Il n'est pas certain qu'il y ait de véritables nouveautés en terme de propositions de politiques à insérer dans le cadre du programme MOST ou dans le champ de la recherche en sciences sociales d'une manière générale. Par contre, nous sommes persuadés qu'il y a quelques mises au point et des rappels à faire de manière aussi indispensable qu'urgente. Nous les résumerons en six points.

1. Travailler à la mise en place de principes de partenariat scientifique

avec les chercheurs des pays en développement

Partant de l'idée que la recherche scientifique appelée à résoudre les problèmes sociaux, environnementaux et de développement passe par une meilleure répartition géographique du potentiel scientifique et par une coopération systématique entre recherche, politique, économie et société civile (KFPE, 1999, p. 2), il conviendrait de mettre en place des coopérations, sous forme de réseaux internationaux, qui respectent un certain nombre de règles de partenariat scientifique.

Ces règles, ou plutôt ces principes, sont interdépendants et concernent les objectifs, la mise en oeuvre et le contrôle des activités de partenariat scientifique entre pays industrialisés et pays en développement (KFPE, 1999, p. 8-9). Sans entrer ici dans le détail et sans être exhaustif (nous renvoyons le lecteur intéressé à la publication mentionnée), ces principes interfèrent avec la nécessité de partager les responsabilités administratives et scientifiques, d'assurer la transparence sur les fonds consacrés au projet, d'assurer le suivi de la coopération, de faire connaître et exploiter les résultats. Par ailleurs, si l'objectif de "renforcer le potentiel de recherche" est essentiel, il se marie avec l'exigence d'aller au-delà de la recherche proprement dite, pour que les scientifiques se préoccupent aussi d'une mise en application des résultats de leurs travaux dans la société civile.

2. Non seulement créer des structures de recherche en réseaux,

mais aussi assurer leur pérennité

C'est un des objectifs importants à la fois du programme MOST et de notre recherche, mais cela est aussi incontestablement une stratégie de survie pour les sciences sociales en général. Un reproche récurrent à l'égard des sciences sociales est de ne pas savoir travailler en réseaux. Chacun oeuvre pour soi, parallèlement à d'autres équipes et d'autres projets, mais sans jamais véritablement échanger et confronter hypothèses et résultats.

Si certaines disciplines n'ont pas forcément besoin de grandes structures ni de grands moyens techniques, par contre l'observation et la gestion des transformations sociales doivent s'articuler, pour être pertinentes et crédibles, dans un contexte de perpétuelle comparaison. Cela exige d'être attentif tant à l'aspect financier que technique et participatif de la mise en réseau et de sa gestion. Or, il faut savoir que cela coûte de l'argent, du temps, et beaucoup d'énergie car la tendance du fonctionnement reste très centripète. Une bonne organisation et le fonctionnement effectif d'une recherche en véritable réseau constitue à coup sûr le terreau pour une bonne recherche. Cela n'est pourtant pas encore intériorisé par les chercheurs en sciences sociales. Pour ce qui concerne la recherche MOST Suisse, le réseau des sept équipes partenaires commence à peine de fonctionner comme tel au terme d'une première phase d'un travail de quatre ans. La situation est idéale pour renforcer le réseau les quatre années qui suivent puisque nous avons la chance de poursuivre cette recherche, mais on peut s'interroger sur l'importance du temps qu'il aura fallu pour y arriver.

Le second aspect du problème est justement la capacité de pouvoir bénéficier de moyens suffisants pour assurer un travail qui s'inscrive dans la durée. Cela renvoie aux points suivants des ressources offertes aux sciences sociales et de la nécessité à traiter des thématiques sur du moyen et long terme.

3. Exiger d'exploiter les résultats et renforcer le potentiel de la recherche

Il est vrai que la recherche entre pays industrialisés et pays en voie de développement porte souvent sur des problèmes concrets et par là suscite de grands espoirs auprès des populations concernées. Or, il ne suffit pas de publier ; nous partons du principe qu'il faut appliquer concrètement les résultats. Certes, cela ne dépend pas que des chercheurs, mais aussi fortement des bailleurs de fonds. Il faut savoir que non seulement les populations sont en attente, mais aussi les équipes, et bien sûr les responsables des projets.

Outre les résultats escomptés par les projets, le partenariat doit avoir pour but le renforcement de la recherche. Chaque expérience de recherche apporte des compétences de part et d'autres, et surtout peut-être dans les pays en développement. Or le problème, semblable à ce qui se passe dans les pays industrialisés mais avec une intensité encore plus marquée dans le Sud, reste la capacité de maintenir les équipes en place et de développer les compétences sur les thèmes traités. Nous sommes dans des situations où la continuité de la recherche est un problème récurrent qui empoisonne les sciences sociales, en Europe ou ailleurs, parce que la possibilité de travailler à long terme sur une même thématique est très réduite ; pour des raisons alimentaires, les chercheurs sont constamment appelés à travailler sur des thématiques différentes.

4. Disposer de moyens décents pour travailler

Les moyens mis à disposition des sciences sociales permettent rarement la mise en place de recherches conséquentes susceptibles d'être traitées sur une longue durée (par exemple une dizaine d'années). Il y a sur ce point un travail important d'information auprès des médias et du public, de sensibilisation des responsables des politiques de la recherche, voire de militance auprès des institutions pourvoyeuses de fonds, de bourses et décideuses des grands programmes-cadres de recherche. MOST reste une véritable exception non seulement pour l'UNESCO, mais aussi dans le contexte du champ scientifique des sciences sociales. Il faut être conscient de la pauvreté endémique des sciences sociales et la dénoncer. Elles restent des sciences financièrement périphériques alors qu'elles sont appelées à traiter des problèmes centraux de nos sociétés : inégalités économiques et sociales, multiculturalité, flux migratoires, violence, gestion des villes, rapports à l'environnement, développement, etc.

Il convient donc de se doter des moyens minimaux non seulement pour élaborer les projets, faire fonctionner les réseaux de chercheurs, assurer le suivi, faire se rencontrer physiquement les différentes équipes partenaires ou concurrentes, mais aussi pour valoriser les résultats après la clôture officielle du projet, faciliter l'acquisition de nouvelles connaissances, informer les populations, renforcer le potentiel scientifique des pays partenaires, et contribuer ainsi à un développement durable.

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Membre, chat bleu, 39ans Posté(e)
koubo Membre 8 727 messages
39ans‚ chat bleu,
Posté(e)

:D :o :( :o

pendant une fraction de seconde, j'ai cru que c'était sérieux

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