Phylosofie filosophals d'un jeune branl'heures

Je n'avais pas prevue cette parution si proche mais vue que les circonstances s'y pretent, vous fais partager les 2 premiere jours .

Samedi 19 novembre 2005.

Ha, quel plaisir de retrouver le moyen de s'exprimer, de communiquer, de partager. Ha quel plaisir de retrouver l'envie sinon le besoin de participer à ce grand jeu que se nomme la vie. J'ai maintenant pas loin de vingt six ans, et pourtant cela fait un bout de temps que je pense à écrire, mais je ne voulais pas, j'attendais d'être assez murs pour me lancer. N'allez pas croire que la maturité m'est venue, j'ai tout simplement décidé d'arrêter de l'attendre. Je me confirai quand bon me semblera, au grès des évènements sur la vision diverse et varier que la vie nous apporte. Grosso Modo je vais écrire un petit journal de bord car je suis tout seul et je crois avoir fait fuir mes amis. Je suis quelqu'un qui réfléchi beaucoup trop sans pour autant en tirer tous les avantages que cela implique. J'entends par la que la qualité des réponses trouvée n'est pas a la hauteur du temps, passer a les chercher. Et bien souvent, cela est du au simple fait que se sont des questions existentielles, donc sans réelle réponse. Je voudrais m'excuser d'avance car ce journal va me servir de défouloir ou plutôt de soupape. J'essayerais de n'être pas trop aigris car je n'en ai pas le droit mais la nature humaine remonte vite. Dernier point pour aujourd'hui, je veux vous garantir un maximum de franchise, de neutralité et de premier jet.

Samedi 26 novembre 2005.

J'ai un peu bu, mais vue que j'ai aussi fumer ça équilibre. Cette semaine à été riche en évènements, Elle a commencé part une amende pour avoir promené mon chien sans laisse autour d'un étang désert, abandonné par des promeneurs découragés par le froid. Suivi de trois majorations exorbitantes dû à des amende que je n'ai pue payer du fait de mes moyens modeste et largements en perdition. Enfin bref, je crois que je vais arrêter de me serrer la ceinture et la leur donner. Sinon, la parade habituelle continue, en ce moment c'est le problème de l'exclusion et des banlieues qui reviennent une nouvelle fois sur le devant de la scène. Périodique, en fait quand la moyenne des voitures brûlées augmente, du à l'incompréhension des habitants qui dans un pays ou il habite depuis des générations, on chaque jour un peu moins de respect que ce qu'ils avaient la veille. Alors on répressionne, on réfléchit puis un nouveau plan d'urbanisation d'insertion vient remplacer le précédent. En 2005 leurs nombres dépassent la dizaine. Mais cette fois, c'est différent. Le taux de voiture calcinée à été amené par un autre facteur. Un « homme » politique est aller lui-même dans quelques-uns un de ces quartiers dit « prioritaires" . Il y a tenue des propos aboutis d'une fine psychologie. Dans quel but a t il fait ça, était-il conscient de ce qu'il allait provoquer ou c'est-il laissé emporter dans l'élan de sa joute oratoire. Quoi qu'il en soit, la généralisation de ses propos ainsi que leurs diffusions incessantes les dans les médias, engendra une sorte de prétexte aux jeunes qui se faisaient chier, a ce qui n'était pas content d'avoir appris une mauvaises nouvelles et même à ceux qui voulaient faire une petit fraude à l'assurance discrétos. Les politiciens sont bien loin de la réalité, à les écouter, ces zup serait des zones de non droit ou la terreur reignerai orchestrée par des bandes organisées se disputant les territoires au cour de fusillades quotidienne. Franchement de qui ce moque t'on, les habitants des quartiers on à peine assez d'organisation pour pouvoir vivre décemment dans ces cités, alors je pense que s'il en avait-il la mettrait à profit pour pouvoir sortir de ces dortoirs communautaires ou l'on ne se trouve nul part chez soi mais partout chez les autres.

Car ils n'ont peu être pas beaucoup d'organisation, mais ils sont bien loin d'être stupide, tout le monde a pris conscience que la vie qu'ils mènent en ces lieux ils ne voudraient pour rien au monde la légué à leurs enfants. Et c'est pourtant ce qu'il se passe depuis plus de trente ans, les enfants des immigrées ne sont pas devenus français mais Français issus de l'immigration. Pensé vous vraiment que ces « fils d'immigrés » peuvent croire à leur propre insertion dans la société quand tous les soirs en rentrant chez eux, ils voient leur parent qui eux non fait qu'essayer de s'intégré dans une France arrogante et heureuse de se reconstruire plus rapidement mais qui n'a fait que les accueillir à la hâte en les parkant dans ces clapiers « géant » sans les en sortir au moment ou la principale source du problème de l'intégration à été détéctée. Certains sont morts pour la France, d'autre se sont battue pour elle sans jamais avoir été français, ni avant ni après. Aujourd'hui, nous même sommes les enfants ou les petits enfants des hommes qui ont pris ces décisions, et tout comme un héritage nous continuons cette mascarade de «l' »intégration » car nous détruisons des grandes barres d'immeubles pour en reconstruire d'autre plus petite, hélas le problème ne se situe pas au niveau de la taille mais du nombre d'habitant au km2. Effectivement, c'est le fait que ces immeubles soit regroupé dans ces zones village de plusieurs kilomètre carré crée un réel déséquilibre. Entout cas moi je suis content d'être venue habiter à la zup, je me sens peut être un peu moins coupable.

Aller dechainer vous

Ton texte est très interessant, néanmoins comme la charte de FFr implique qu'on ne mette pas les titres des topics en majuscule, j'édite ton sujet et je met le titre dans la bonne configuration.

je crois qu'il est un peu long pour forum apparement!! non?

Entout cas moi je suis content d'être venue habiter à la zup, je me sens peut être un peu moins coupable.

Je ne comprends pas ta dernière phrase par rapport à ton texte... de quoi te sens tu coupable ?

je trouve que t'écris bien.

Entout cas moi je suis content d'être venue habiter à la zup, je me sens peut être un peu moins coupable.

Je ne comprends pas ta dernière phrase par rapport à ton texte... de quoi te sens tu coupable ?

pi etre par rapport a ceux qu'ont fait nos ancetre en matiere de gestion de l'imigration.Et le peut etre n'est pas la par hasard.

c'est sympa ce texte même si il y a des points a eclaircir

c'est sympa ce texte même si il y a des points a eclaircir

Mais eclaircisson eclaircisson ma chere annso je t'en pris.

je pense que ce que disait koubo, c'est que tu te sens moin coupable d'être français, ou plutot "nous même sommes les enfants ou les petits enfants des hommes qui ont pris ces décisions" non?

sinon le facteur c'est besancenot? je savais pas ^^

Je ne me sent pas coupable d'etre francais loin de la , mais plutot coupable de participé a cette mascarade de l'intégration ou tout du moins de ne rien pouvoir faire contre(en tout cas pas assez a mon gout).

Bien vue pour le facteur! :o :D

moi je le trouve mignon pour un politicien et quand il s'agite... ça m'exite^^

bon ok j'arrete lol

j'ai voter pour le facteur aussi mais pas pour sa beau gossité.

je veux pas mettre de l'huile sur le feu... mais quand tu dis "la mascarade de l'intégration"... tu trouves pas ça un peu excessif quand même ?

je veux pas mettre de l'huile sur le feu... mais quand tu dis "la mascarade de l'intégration"... tu trouves pas ça un peu excessif quand même ?

Je sais pas le pen au 2nd tour en 2002 tu trouve pas ca excessif toi?

c'est pas faux...

mais ce que je voulais dire, c'est que tous les immigrés ne sont pas condamnés à rester au banc de la société... les études sont ouvertes à tout le monde non ? ... enfin c'est mon point de vue...

J'ai eu peur quand j'ai vu le titre de ton sujet.

Mon coeur a ralenti de débit au fur et à mesure des lignes de ton texre, Aimaire.

Oui, la question de l'intégration pose toujours problème. Identitaire, déjà, car la France doit concilier son passé, assumer son présent et envisager quel sera donc son nouveau visage dans le futur. Personnellement, si on me demandais de dire pourquoi je me sens français (qu'on soit fier de certains points ou non) je n'aurais pas beaucoup de choses à avancer...

Comment alors "intégrer" d'autres personne à une société dont les codes sont en train de changer sur d'innombrables sujets ?

Je pense qu'avec un peu de temps encore, on y verra plus clair... et je ne parle pas de couleur de peau !

c'est pas faux...

mais ce que je voulais dire, c'est que tous les immigrés ne sont pas condamnés à rester au banc de la société... les études sont ouvertes à tout le monde non ? ... enfin c'est mon point de vue...

Y a pas de mal mon copain ce que je voulait dire c'est que HELAS aujourd'hui un francais a la peau mate reste un homme a la peau mate dans la tete de la plupart des gens(alors qu'il est francais depuis quelque generation parfois)comme un francais des dom tom par exemple.

en tout cas, je connais plein d'étranger qui sont en attente de leur papier (notament un ami trés proche..) et ce qui me fait bizar c'est qu'il se sent plus français que moi...!!! c'est le comble non? !!

c'est pas faux...

mais ce que je voulais dire, c'est que tous les immigrés ne sont pas condamnés à rester au banc de la société... les études sont ouvertes à tout le monde non ? ... enfin c'est mon point de vue...

Naîvement, dis moi qu'il suffit de faire des études pour s'intégrer?

Ou encore distinguer parmi les études les bonnes facs ou écoles de commerce, de celles qui assurent un emploi (enfin si on veut bien du cv), celles qui coûtent bien chère, pour lesquelles les parents immigrés n'ont pas les moyens parce que eux même titulaires de petits boulots et pas question d'un prêt bancaire, pas assez de garantie et puis faudra travailler bien vite parce que justement les parents galèrent...

Et puis il y a tellement peu d'exemples de réussite que la motivation n'y est pas...

C'est peut être une vision naïve de la chose, mais je pense que faire des études débouchant sur des métiers demandés sur le marché du travail permet de s'en sortir.

Pour le coût des études, toutes les filières ne nécessitent pas de faire des emprunts. Personnellement, j'ai fait une prépa dans laquelle il y avait trois étudiants d'origine marocaine qui n'avaient pas des ressources financières phénoménales...

Enfin, ce ne sont pas les écoles les plus chères qui offrent forcément les diplômes les plus vendeurs sur le marché du travail...