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Fiphi Membre 913 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
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Jean Dutourd, académicien ... J'en suis d'autant plus fier que peu l'ont lu ou le connaisse ...

Extrait :

SéANCE PUBLIQUE ANNUELLE

le jeudi 5 décembre 1996

L'esprit de contradiction

fondement de la vertu

PRONONCé PAR

M. Jean DUTOURD

Directeur de la séance

PARIS PALAIS DE L'INSTITUT

picto_immortels.gif

m.gifessieurs,

Michelle Maurois, fille de notre éminent et regretté confrère, avait eu dans son enfance une gouvernante anglaise qu'il appelait « Little Miss No » parce qu'à chaque fois qu'on voulait lui faire faire quelque chose, qu'on lui donnait un ordre ou un avis, elle répondait « Non » et prenait une petite figure têtue qui montrait bien qu'elle n'obéirait jamais à personne. C'est d'elle que je tiens cette anecdote ; elle me la raconta un jour que je lui reprochais en riant d'être systématiquement contredisante. Elle avait alors la soixantaine. « Vous voyez, ajouta-t-elle, que ce trait-là de mon caractère ne date pas d'hier ! » Je la félicitai d'avoir été ainsi fidèle à elle-même et d'avoir appliqué tout au long de sa vie, par instinct, la maxime du fabuleux Epicharme : « Souviens-toi de te méfier », que Mérimée avait, afin qu'elle fût toujours sous ses yeux, fait graver en grec sur une bague : μεμνάσο άπιστείν.

En effet, ce que les gens nous poussent ordinairement à faire, l'ardeur et les cajoleries qu'ils déploient pour nous convaincre, la persuasion qu'ils mettent dans leurs arguments doivent nous avertir que c'est à leur avantage qu'il nous convient à travailler et non au nôtre, que leur souci n'est que de nous recruter, de nous embrigader dans une cause dont nous n'avons rien à faire et qu'ils se moquent bien que nous sortions échaudés de l'aventure.

Dire non, a priori, par principe, sans raison particulière, est d'une excellente hygiène intellectuelle et surtout morale. C'est la protection des forts qui ont à décourager d'innombrables solliciteurs et la sauvegarde des faibles à qui l'on veut imposer des devoirs tantôt stériles tantôt contraires à l'honneur. Car on a beau être faible, être petit, démuni, sans allié, sans protection, on n'en a pas moins de l'honneur, tout autant que les grands vainqueurs de ce monde. Il serait même recommandé d'en avoir davantage, attendu qu'on peut tout perdre par des causes extérieures, être précipité des grandeurs dans la misère et l'impuissance, mais qu'il ne dépend que de nous, que de notre âme de ne pas sacrifier dans le naufrage notre seul bien inaliénable, à savoir le respect de soi. J'entends bien que l'honneur n'est pas une chose facile et qu'y être fidèle risque de conduire à toutes sortes de mésaventures, si ce n'est à la mort. Mais enfin il n'est pas si mal de mourir pour quelque chose comme cela. On pourrait quasiment dire que mourir pour conserver son honneur intact est le principe de la vertu.

Nous voici un peu loin de « Little Miss No ». Mais pas si loin peut-être qu'il y paraît. Ne nous est-il pas souvent arrivé, au cours des vingt dernières années, de regretter de ne pas pouvoir donner ce surnom aux gens qui ont gouverné la France ? Une des raisons pour lesquelles le général de Gaulle, au bout du compte, a tant plu au peuple (car il lui plaisait, c'est indéniable, et il plaisait jusqu'aux braves militants communistes qui votaient quelquefois pour lui), c'est qu'il disait « non » sans se gêner, à tout ce qui lui semblait contraire à l'honneur du pays, et cela descendait jusque dans les plus petits détails. Il existait alors une bizarre confiance politique chez les Français, qui tenait au fait qu'ils avaient le sentiment qu'une sorte de monarque républicain, logeant faubourg Saint-Honoré, ne s'inquiétait pas de plaire ou de déplaire à quiconque et n'écoutait pour sa conduite que l'honneur ou l'intérêt national (mais ces deux choses-là n'en font qu'une quand il s'agit de l'état).

Il suit de cela que la vertu d'un pays, comme celle d'un homme, commence par l'esprit de contradiction. On en fait l'expérience dès l'enfance. Dans une réunion de bambins, on voit aussitôt ceux qui acceptent le monde tel que les grandes personnes veulent qu'ils le voient, qui acquiescent à leurs descriptions et à leurs doctrines, les prennent à leur compte, les propagent ingénument. Mais dans cet agglomérat de petits moutons, il y a un ou deux récalcitrants, un ou deux incorruptibles qui, à cinq ans, à dix ans, préfèrent se fier à leur instinct, à la droiture de leur raisonnement, à leurs bons yeux, plutôt que de se laisser endoctriner par la société. Celle-ci ne tarde pas à se méfier d'eux; elle le leur montre par des punitions, des mépris, des sarcasmes et surtout un refus permanent de les prendre au sérieux, alors qu'ils sont en fait les seuls esprits sérieux de leur génération. La société est infaillible là-dessus, ou plutôt elle décèle dans les enfants qui n'acceptent pas sans critique ses maximes, des ennemis qu'il importe de combattre sans attendre, en qui il faut tuer, s'il se peut, le détestable esprit qui les habite avant qu'ils ne deviennent grands.

Dans la suite de leurs jours, ces enfants continuent à se heurter durement à la vie. Pour eux, tout est plus laborieux, plus ardu, plus difficile à atteindre que pour leurs contemporains, devant qui le monde se couche comme un chien, à qui les carrières s'ouvrent toutes grandes, qui accumulent les dignités et les honneurs, tant on a envie de les récompenser d'être dociles. Beaumarchais a très bien exprimé cela dans le monologue de Figaro dont on pourrait dire qu'il est le manifeste des hommes supérieurs en proie à la vertu : « Il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes... » Le duc de Saint-Simon avait déjà écrit cinquante ans plus tôt dans ses Mémoires qu'il n'avait jamais été attiré que par la vérité, jusqu'à la « chérir contre lui-même ». Ces deux témoignages sont précieux, entre autres parce qu'ils montrent que toute époque est inconfortable pour les gens qui préfèrent penser par eux-mêmes plutôt que de chanter avec le ch¿ur des conformistes. Saint-Simon vivait sous Louis XIV, Beaumarchais sous Louis XV et Louis XVI, époques qui nous paraissent, par comparaison avec la nôtre, des sommets d'intelligence, de bon sens, d'audace intellectuelle, de science artistique, et pourtant, tout protégés qu'ils étaient, l'un par sa pairie et son appartement à Versailles, l'autre par ses talents et son argent, la société ne les a pas ménagés. Voir la réalité telle qu'elle est, ne pouvoir s'empêcher de la décrire, est considéré comme un attentat contre l'ordre établi. Ordre tacite au demeurant, existant depuis le fond des temps, et défendu avec un constant succès par tous les pouvoirs, y compris ceux qui se proclament révolutionnaires. La grande affaire des hommes sur cette terre est d'y faire régner un certain mensonge ou, si l'on préfère, une certaine convention dont l'objet est de persuader les générations successives que le bien se trouve obligatoirement d'un côté et le mal de l'autre, qu'il n'y a pas de couleurs intermédiaires entre le noir et le blanc, et qu'il est indispensable, si l'on veut mériter « le beau nom d'homme » , de se ranger du côté du blanc, sans examen de conscience, pour la simple raison qu'il a été décrété blanc.

La vertu commence avec l'esprit de contradiction. Elle apparaît vers l'âge de cinq ans, sinon plus tôt. Cette tournure de caractère n'est nullement de nature à apporter de la tranquillité de conscience à ceux qui en sont dotés. En effet, il arrive, et même assez fréquemment, que les idées que les grandes personnes s'ingénient à mettre dans la tête des enfants soient justes. Comment refuser une idée juste sous le seul prétexte qu'elle provient de gens dont on sait qu'ils ont globalement tort ? Toute la question est là, et c'est la raison pourquoi, à sept ans, huit ans, douze ans, vingt ans, quelque force intellectuelle que procure une révolte générale contre le monde, on est, en fin de compte, peu sûr de soi. On sait qu'on est devant une grande imposture, mais comme on est honnête, comme on a de la bonne foi, on a bien de la peine à ne pas prendre, quelquefois, le parti de l'ennemi, autrement dit, à ne pas se laisser entamer.

Chez les enfants radicalement réfractaires, donc fondamentalement vertueux, qui opposent un non granitique à tout ce que l'on tente de leur inculquer, il y a comme un esprit politique précoce. Un homme convaincu du bien-fondé de ce qu'il pense doit être sourd à tout argument provenant du parti adverse, même s'il est incontestable et lumineux. Il doit critiquer aveuglément toutes ses actions, fussent-elles louables ou bénéfiques, les rejeter, les contrecarrer autant qu'il est possible.

Le seul but d'un politique est de faire triompher sa doctrine, qui est son âme même, en ce qu'elle suppose une philosophie différente des diverses philosophies auxquelles on veut le convertir. Il sera bien temps, après la victoire, d'examiner s'il y avait du bon dans les doctrines antagonistes, et de les reprendre sans danger pour notre intégrité spirituelle. Voler une idée quand on est dans une position de force est tout autre chose que d'y acquiescer de bonne foi avant qu'on ait établi notre supériorité. C'est une prise de guerre et non pas une soumission à un puissant, c'est un tribut levé sur le vaincu et non un de ces dégoûtants mimétismes dont les vaincus, d'ordinaire, sont coutumiers avec leurs vainqueurs.

Un des enseignements sibyllins qu'apportent les années est qu'une idée juste devient fausse à partir du moment où elle est adoptée par le plus grand nombre. Quand on est jeune, c'est-à-dire ligoté par la logique, il est difficile d'admettre une aussi scandaleuse métamorphose : ce qui a été vrai une fois pour une personne et qui lui valait des persécutions ou au moins des sarcasmes, ne peut pas cesser de l'être parce que des milliers ou des millions de personnes peu à peu acceptent cette vérité, s'y convertissent, la proclament, l'érigent en dogme. Et pourtant cela se passe de la sorte. Une idée juste est un trésor. L'homme qui possède ce trésor est riche ; mais si le trésor est partagé par une foule d'héritiers, chacun de ceux-ci n'a que quelques liards. Cela ne suffit pas à changer la vie, à faire d'un pauvre un prince.

....

....

J'aime aussi Baudelaire dans le Spleen de paris , les Fleurs du Mal ...

"La fausse monnaie"

Comme nous nous éloignions du bureau de tabac, mon ami fit un soigneux triage de sa monnaie; dans la poche gauche de son gilet il glissa de petites pièces d'or; dans la droite, de petites pièces d'argent; dans la poche gauche de sa culotte, une masse de gros sols, et enfin, dans la droite, une pièce d'argent de deux francs qu'il avait particulièrement examinée.

"Singulière et minutieuse répartition!" me dis-je en moi-même.

Nous fîmes la rencontre d'un pauvre qui nous tendit sa casquette en tremblant. - Je ne connais rien de plus inquiétant que l'éloquence muette de ces yeux suppliants, qui contiennent à la fois, pour l'homme sensible qui sait y lire, tant d'humilité, tant de reproches. Il y trouve quelque chose approchant cette profondeur de sentiment compliqué, dans les yeux larmoyants des chiens qu'on fouette.

L'offrande de mon ami fut beaucoup plus considérable que la mienne, et je lui dis: "Vous avez raison; après le plaisir d'être étonné, il n'en est pas de plus grand que celui de causer une surprise. - C'était la pièce fausse", me répondit-il tranquillement, comme pour se justifier de sa prodigalité.

Mais dans mon misérable cerveau, toujours occupé à chercher midi à quatorze heures (de quelle fatigante faculté la nature m'a fait cadeau!), entra soudainement cette idée qu'une pareille conduite, de la part de mon ami, n'était excusable que par le désir de créer un événement dans la vie de ce pauvre diable, peut-être même de connaître les conséquences diverses, funestes ou autres, que peut engendrer une pièce fausse dans la main d'un mendiant. Ne pouvait-elle pas se multiplier en pièces vraies? ne pouvait-elle pas aussi le conduire en prison? Un cabaretier, un boulanger, par exemple, allait peut-être le faire arrêter comme faux-monnayeur ou comme propagateur de fausse monnaie. Tout aussi bien la pièce fausse serait peut-être, pour un pauvre petit spéculateur, le germe d'une richesse de quelques jours. Et ainsi ma fantaisie allait son train, prêtant des ailes à l'esprit de mon ami et tirant toutes les déductions possibles de toutes les hypothèses possibles.

Mais celui-ci rompit brusquement ma rêverie en reprenant mes propres paroles: "Oui, vous avez raison; il n'est pas de plaisir plus doux que de surprendre un homme en lui donnant plus qu'il n'espère."

Je le regardai dans le blanc des yeux, et je fus épouvanté de voir que ses yeux brillaient d'une incontestable candeur. Je vis alors clairement qu'il avait voulu faire à la fois la charité et une bonne affaire; gagner quarante sols et le coeur de Dieu; emporter le paradis économiquement; enfin attraper gratis un brevet d'homme charitable. Je lui aurais presque pardonné le désir de la criminelle jouissance dont je le supposais tout à l'heure capable; j'aurais trouvé curieux, singulier, qu'il s'amusât à compromettre les pauvres; mais je ne lui pardonnerai jamais l'ineptie de son calcul. On n'est jamais excusable d'être méchant, mais il y a quelque mérite à savoir qu'on l'est; et le plus irréparable des vices est de faire le mal par bêtise.

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Membre+, 51ans Posté(e)
chirona Membre+ 3 432 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)

J'aime beaucoup d'auteurs dans des styles complètement différents :

poésie : Baudelaire et Verlaine

policiers : Fred Vargas, Jean-Christophe Grangé

XIXe : Zola

époque victorienne : Charlotte Brontë, Jane Austen

...

Modifié par chirona
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Membre, 59ans Posté(e)
Corto Maltese Membre 157 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

J'en ai beaucoup. Allez au hasard de ce matin : John Irving, Michel Zévaco (celui des romans de cape et d'épée, oui), Camus, Moravia, Jorge Amado et ... tiens, Umberto Eco. Bon il y a aussi les poétes, je n'en mettrai qu'un Eluard, certainement.

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Membre, 39ans Posté(e)
Zooey Membre 31 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Mes auteurs préférés sont Kafka pour les livres et Beckett pour les théatres. Mais c'est difficile de départager des grands écrivains.

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Membre, 34ans Posté(e)
ManOüch Membre 6 messages
Baby Forumeur‚ 34ans‚
Posté(e)

Là maintenant tout de suite je répondrai Shakespeare !!! =) :snif: mais aussi Forrest Carter !! Hermann Hesse !! Paulo Coelho !! Carlos Castaneda !! SS le dalaï Lama (jlaime pas seulement pour ses livres d'ailleurs !!! :snif: ) et tellement d'autres ... =)

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  • 1 mois après...
Membre, Posté(e)
Mots passant Membre 1 message
Baby Forumeur‚
Posté(e)

MAUPASSANT sans aucune hésitation !!!!

Si on est amoureux de quelqu'un quand il nous fait vibrer alors j'aime Maupassant ! :smile2:

Vous devez me trouver un peu excessive ...

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Membre, 39ans Posté(e)
grododo Membre 2 344 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)
MAUPASSANT sans aucune hésitation !!!!

Si on est amoureux de quelqu'un quand il nous fait vibrer alors j'aime Maupassant ! :smile2:

Vous devez me trouver un peu excessive ...

pas du tout!! ;)

on est tous un epu comme ca ici a propos des livres!! :o

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  • 2 mois après...
Membre, 30ans Posté(e)
Gripsou Membre 323 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)
Lorsque j'étais ado, j'avais découvert Stephen King avec ses hitoires d'horreurs. L'été dernier, j'ai redécouvert un autre Stephen King avec sa série de "La tour sombre". Avec ces livres la c'est un auteur de science fiction et de fantastique que l'on retrouve.

J'ai aussi beaucoup aimé Dan Brown avec le Davinci Code.

:smile2:

J'aime bien aussi Terry Goodkind.

Ahh l'épée de verité, même si les 2 derniers tomes sortis en français (7 et 8) était un peu décevants c'est un j'ai adoré toute la série et je compte bien la lire jusqu'au bout

sinon j'adore la plupart des livres de David Gemmell, Scott lynch(Mes salauds gentilshommes T1 et 2 C'EST QUAND LE 3 ??!!!), david eddings (la belgariade et la mallorée) quand j'était jeune j'ai bien aimé les rougemuraille de brian jacques et sinon Rowling(en vf, je maitrise pas assez l'anglais^^), les tolkiens m'ont ennuyés, trop de descriptions de 15 pages...

sinon pierre bottero pour les français, les ewilan et le pacte des marchombres (1,2 et 3) sont très bien, dommage qu'ils soit ecrits pour des jeunes actuels dont la plupart lisent très peu, j'aurait aimé une histoire semblable avec un peu plus de noirceur, écrite de façon un peu plus adulte, d'ailleur le petit nouveau que je ponds sera très sombre (c'est mon premier mais je bosse dessus depuis un bon moment et je prendrais le temps de me paufinner)...

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Membre, 35ans Posté(e)
Flowright Membre 994 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Jules Vernes!

Le fantastique me fait voyager et rêver! C'est ce que j'attend de chacun de mes livres! Et Jules Vernes me le rend bien!

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Membre, 32ans Posté(e)
SergeKaramazov Membre 109 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Difficile de dire quel est MON auteur préféré, mais je vais essayer de faire une liste la plus succincte possible : (pas d'ordre de préférence)

Voltaire, Dostoïevski, Lovecraft, Zola, Freud.

Voilà, je suis en phase de découvrir Nitetzsche là, ça s'annonce plutôt pas mal :smile2:

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Membre, Posté(e)
morgel95 Membre 17 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Moi j'adore Stephenie Meyer, J.K Rowling et Meg Cabot!

Je trouve tout leurs livres vraiment supers! Trop d'imagination entre elles et c'est grace à elles que je veux devenir écrivain! :smile2:

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Membre, 49ans Posté(e)
Pralina Membre 29 messages
Baby Forumeur‚ 49ans‚
Posté(e)

Si je devais faire un choix : Stephan Zweig avec biensur "24 heures dans la vie d'une femme" mais aussi "La pitié dangereuse" que j'ai adoré.

Emmanuel Bove, Aragon, Sthendal, Jane Austen...

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Membre, 45ans Posté(e)
nanouchka47 Membre 6 379 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Douglas Kennedy-J'adore :smile2: il ne lesine pas sur les rebondissements et nous offre d'innoubliables heures de lecture.

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Membre, 49ans Posté(e)
Pralina Membre 29 messages
Baby Forumeur‚ 49ans‚
Posté(e)

lol Bah justement je suis entrain de lire un livre de lui "La femme du V", j'en suis à la fin.

Malgré queqlues exagérations dans l'histoire tu as raison c'est très divertissant. :smile2:

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