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Monsieur Le Curé

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  1. Me concernant pas du tout. Il me tarde qu'un jour Marion Maréchal-Le Pen soit candidate. Personne ne me convient donc..(pour l'instant) :)
  2. «Jean-Marie Le Pen, c'est un anarchiste» Anarchy in the PACA Louis Aliot (qui en est réduit à revenir à l'antenne de RMC sur les années de collaboration de François Mitterrand, décédé en janvier 1996, pour attaquer la gauche) a déclaré : «Jean-Marie Le Pen, c'est un anarchiste, il se fout de tout. Je ne dirai pas qu'il n'a ni Dieu ni maître, car il croit quand même en Dieu». :cool: :smile2: :smile2: Libération. le canard nanar.
  3. Sauf que Bourvil était un nom de scène hein ? :smile2:
  4. Concernant JMLP , j'ai bien spécifié " de droite.." C'est une très bonne chose de me lire hein mais dans la totalité. Quand j'ai faim , c'est moi qui mange , quand j'ai soif c'est moi qui bois , quant à vivre , mon meilleur ami dans la vie c'est moi. Voilà une "réprésentation" qui est commune à chacun d'entre-nous. Ca alors j'ai utilisé le fameux bon mot des cocololos et des anarnanars , "commune , communauté , cellule..." :smile2: Dis-moi GrandFred , 37 ans d'usine et jamais une tentative de sabotage ? :D Tiens une petite pensée pour Archimède le CLochard interprété par Jean Gabin (autre anarchiste de droite) Voilà voilà le piège à bagnards.. Et le même Gabin dans la traversée de Paris , je vous laisse deviner qui aurait pu jouer le rôle de Bourvil.. :D On se marre bien sur ce fil quand même.
  5. la différence entre l'anarchiste-individualiste et l'anarchiste-concon cucumumunniniste => :smile2: I Être anarchiste-individualiste c'est nier l'autorité et rejeter son corollaire économique: l'exploitation. Et cela dans tous les domaines où s'exerce l'activité humaine. L'anarchiste-individualiste veut vivre sans dieux ni maîtres; sans patrons ni directeurs; alégal, sans lois comme sans préjugés; amoral, sans obligations comme sans morale collective. Il veut vivre librement, vivre sa conception personnelle de la vie. En son for intérieur, il est toujours un asocial, un réfractaire, un en-dehors, un en-marge, un à-côté, un inadapté. Et pour obligé qu'il soit de vivre dans une société dont la constitution répugne à son tempérament, c'est en étranger qu'il y campe. S'il consent au milieu les concessions indispensables - toujours avec l'arrière pensée de les reprendre - pour ne pas risquer ou sacrifier sottement ou inutilement sa vie, c'est qu'il les considère comme des armes de défense personnelle dans la lutte pour l'existence. L'anarchiste-individualiste souhaite vivre sa vie, le plus possible, moralement, intellectuellement, économiquement, sans se préoccuper du reste du monde, exploitants comme exploités; sans vouloir dominer ni exploiter autrui, mais prêt à réagir par tous les moyens contre quiconque interviendrait dans sa vie ou lui interdirait d'exprimer sa pensée par la plume ou la parole. L'anarchiste-individualiste a pour ennemi l'État et toutes ses institutions qui tendent à maintenir ou à perpétuer sa mainmise sur l'être individuel. Point de possibilité de conciliation entre l'anarchiste-individualiste et une forme quelconque de société reposant sur l'autorité, qu'elle émane d'un autocrate, d'une aristocratie ou d'une démocratie. Point de terrain d'entente entre l'anarchiste et tout milieu réglementé par les décisions d'une majorité ou les vœux d'une élite. L'anarchiste-individualiste combat au même titre et l'enseignement fourni par l'État et celui dispensé par l'Église. Il est l'adversaire des Monopoles et des Privilèges, qu'ils soient d'ordre intellectuel, moral ou économique. En un mot, il est l'antagoniste irréconciliable de tout régime, de tout système de vie sociale, de tout état de choses impliquant domination de l'homme ou du milieu sur l'individu, et exploitation de l'individu par l'homme ou le milieu. L'œuvre de l'anarchiste-individualiste est avant tout une œuvre de critique. L'anarchiste-individualiste va, semant la révolte contre ce qui opprime, entrave, s'oppose à la libre expansion de l'être individuel. Il convient d'abord de débarrasser les cerveaux des idées préconçues, de mettre en liberté les tempéraments enchaînés par la crainte, de susciter des mentalités affranchies du qu'en dira-t-on et des conventions sociales; c'est ensuite que l'anarchiste poussera qui veut faire route avec lui à se rebeller pratiquement contre le déterminisme du milieu social, à s'affirmer individuellement, à sculpter sa statue intérieure, à se rendre, autant que possible indépendant de l'environnement moral, intellectuel, économique. Il pressera l'ignorant de s'instruire, le nonchalant de réagir, le faible de devenir fort, le courbé de se redresser. Il poussera les mal doués et les moins aptes à tirer d'eux-mêmes toutes les ressources possibles et non à se reposer sur autrui. Un abîme sépare l'anarchisme du socialisme sous ses différents aspects, y compris le syndicalisme. L'anarchiste-individualiste place à la base de toutes ses conceptions de vie: le fait individuel. Et c'est pour cela qu'il se dénomme volontiers anarchiste-individualiste. Il ne pense pas que les maux dont souffrent les hommes proviennent exclusivement du capitalisme ou de la propriété privée. Il pense qu'ils sont dus surtout à la mentalité défectueuse des hommes, pris en bloc. Les maîtres ne sont que parce qu'il existe des esclaves et des dieux ne subsistent que parce que s'agenouillent des fidèles. L'anarchiste-individualiste se désintéresse d'une révolution violente ayant pour but une transformation du mode de distribution des produits dans le sens collectiviste ou communiste, qui n'amènerait guère de changement dans la mentalité générale et qui ne provoquerait en rien l'émancipation de l'être individuel. En régime communiste celui-ci serait aussi subordonné qu'actuellement au bon vouloir du Milieu: il se trouverait aussi pauvre, aussi misérable que maintenant; au lieu d'être sous le joug de la petite minorité capitaliste actuelle, il serait dominé par l'ensemble économique. Rien ne lui appartiendrait en propre. Il serait un producteur, un consommateur, un metteur ou un preneur au tas, jamais un autonome. II L'anarchiste-individualiste se différencie de l'anarchiste communiste en ce sens qu'il considère (en dehors de la propriété des objets de jouissance formant prolongement de la personnalité) la propriété du moyen de production et la libre disposition du produit comme la garantie essentielle de l'autonomie de la personne. Étant entendu que cette propriété se limite à la possibilité de faire valoir (individuellement, par couples, par groupement familial, etc.) l'étendue de sol ou l'engin de production indispensable aux nécessités de l'unité sociale; sous réserve, pour le possesseur, de ne point l'affermer à autrui ou de ne point recourir pour sa mise en valeur à quelqu'un à son service. L'anarchiste-individualiste n'entend pas plus vivre à n'importe quel prix, comme l'individualiste, fut-ce en exploiteur, qu'il n'entend vivre en réglementation, pourvu que l'écuelle de soupe soit assurée, la vêture certaine et le logis garanti. L'anarchiste-individualiste, d'ailleurs, ne se réclame d'aucun système qui lierait l'avenir. Il affirme se situer en état de légitime défense à l'égard de toute ambiance sociale (État, société, milieu, groupement, etc.) qui admettra, acceptera, perpétuera, sanctionnera ou rendra possible: a) la subordination au milieu de l'être individuel, plaçant celui-ci en état d'infériorité manifeste puisqu'il ne peut traiter avec l'ensemble d'égal à égal, de puissance à puissance; b) l'obligation (dans n'importe quel domaine) de l'entraide, de la solidarité, de l'association; c) la privation de la possession individuelle et inaliénable du moyen de production et de la disposition entière et sans restriction du produit; d) l'exploitation de quiconque par l'un de ses semblables, qui le fera travailler pour son compte et à son profit ; e) l'accaparement, c'est à dire la possibilité pour un individu, un couple, un groupement familial de posséder plus qu'il n'est nécessaire pour son entretien normal; f) le monopole de l'État ou de toute forme exécutive le remplaçant, c'est à dire son intervention dans son rôle centralisateur, administrateur, directeur, organisateur, dans les rapports entre les individus, dans n'importe quel domaine que ce soit; g) Le prêt à intérêt, l'usure, l'agio, la valeur d'échange monnayée, l'héritage, etc., etc. III L'anarchiste-individualiste fait de la "propagande" pour sélectionner les tempéraments anarchistes-individualistes qui s'ignorent, déterminer tout au moins une ambiance intellectuelle favorable à leur éclosion. Entre anarchistes-individualistes les rapports s'établissent sur la base de la "réciprocité". La "camaraderie" est essentiellement d'ordre individuel, elle n'est jamais imposée. Est "un camarade" qui leur plaît individuellement à fréquenter, qui tente un effort appréciable pour se sentir vivre, qui prend part à leur propagande de critique éducative et de sélection des personnes; qui respecte le mode d'existence de chacun, n'empiète point sur le développement de qui chemine avec lui et de ceux qui le touchent de plus près. L'anarchiste-individualiste n'est jamais l'esclave d'une formule-type ou d'un texte reçu. Il n'admet que des opinions. Il ne propose que des thèses. Il ne s'impose pas de point d'arrivée. S'il adopte une méthode de vie sur un point de détail, c'est afin qu'elle lui assure plus de liberté, plus de bonheur, plus de bien-être, mais non point pour s'y sacrifier. Et il la modifie, et il la transforme quand il s'aperçoit que continuer à y demeurer fidèle diminuerait son autonomie. Il ne veut point se laisser dominer par des principes établis à priori; c'est à posteriori, sur ses expériences, qu'il fonde sa règle de conduite, jamais définitive, toujours sujette aux modifications et aux transformations que peuvent suggérer l'enregistrement de nouvelles expériences, et la nécessité d'acquisition d'armes nouvelles dans sa lutte contre le milieu. Sans faire non plus de l'a priori un absolu. L'anarchiste-individualiste n'est jamais comptable qu'à lui-même de ses faits et gestes. L'anarchiste-individualiste ne considère l'association que comme un expédient, un pis-aller. Il ne veut donc s'associer qu'en cas d'urgence mais toujours volontairement. Et il ne désire passer de contrats, en général, qu'à brève échéance, étant toujours sous-entendu que tout contrat est résiliable dès qu'il lèse l'un des contractants. L'anarchiste-individualiste ne prescrit pas de morale sexuelle déterminée. C'est à chacun qu'il appartient de déterminer sa vie sexuelle ou affective ou sentimentale, tant pour l'un que pour l'autre sexe. L'essentiel est que dans les relations intimes entre anarchistes de sexe différant n'intervienne ni violence ni contrainte. Il pense que l'indépendance économique et la possibilité d'être mère à son gré sont les conditions initiales de l'émancipation de la femme. L'anarchiste-individualiste veut vivre, veut pouvoir apprécier la vie individuellement, la vie envisagée dans toutes ses manifestations. En restant maître cependant de sa volonté, en considérant comme autant de serviteurs mis à la disposition de son "moi" ses connaissances, ses facultés, ses sens, les multiples organes de perception de son corps. Il n'est point un peureux, mais il ne veut point se diminuer. Et il sait fort bien que celui qui se laisse mener par ses passions ou dominer par ses penchants est un esclave. Il veut conserver "la maîtrise du soi" pour s'élancer vers les aventures auxquelles le convient la recherche indépendante et le libre examen. Il préconisera volontiers une vie simple, le renoncement aux besoins factices, asservissants, inutiles; l'évasion des grandes agglomérations humaines; une alimentation rationnelle et l'hygiène corporelle. L'anarchiste-individualiste s'intéressera aux associations formées par certains camarades en vue de s'arracher à l'obsession d'un Milieu qui leur répugne. Le refus de service militaire, celui de payer l'impôt auront toute sa sympathie; les unions libres, uniques ou plurales à titre de protestation contre la morale courante; l'illégalisme en tant que rupture violente (et sous certaines réserves) d'un contrat économique imposé par la force; l'abstention de toute action, de tout labeur, de toute fonction impliquant maintien ou consolidation du régime intellectuel, éthique ou économique imposé; l'échange des produits de première nécessité entre anarchistes-individualistes possesseurs des engins de production nécessaires, en dehors de tout intermédiaire capitaliste; etc., sont des actes de révolte convenant essentiellement au caractère de l'anarchisme-individualiste.
  6. Rolalala oui j'en entends et j'en vois. Pas plus tard que hier soir , un de mes "sujets" a frappé à ma porte , il était 20h 45. J'allais me coucher :smile2: Il est donc venu en compagnie de son chien , tout cela pour me dire qu'il avait des problèmes d'argent que la banque alimentaire de la commune lui avait donné de la bouffe périmée. J'ai calculé ses dépenses et son revenu. Impossible de combler le découvert si le revenu n'augmente pas. La seule solution étant pour lui de travailler (un peu) pour combler son découvert. Visiblement pas réceptif à ma solution , je lui ait suggéré de demander à ses frères de se cotiser pour combler le découvert en question. Toujours pas convaincu. Bondieu de bondiou me suis-je dit dans ma tête , fainéant , paresseux Et à ce moment-là mon téléphone a sonné , sauvé par le dring. J'ai pris congé du gueux qui s'en allé comme il est venu , les mains vides , les poches percées et même pas un coup de pied au derrière. Dieu a dit : tu gagneras ton pain à la sueur de ton front.." :smile2: Par contre , je ne sais pas si c'est un anarchiste ou un communiste. :smile2:
  7. Don Camillo c'est moi , Grand Fred c'est peppone :smile2: ALors là non , aucune attaque personnelle. Injustice , injustice .. Au fait , la révolution de 1789 n'a jamais eu lieu hein , il s'agissait d'un coup d'état libéral. De plus Louis 16 était un homme d'une grande générosité et d'une grande bonté , ce n'était pas un ci-devant mais un partageux. => Une fois sur le trône , Louis XVI se révèle un roi très charitable. Il prend l'habitude de se rendre à pied , de bon matin , chez les familles les plus pauvres de Versailles. En avril 1781 , alors qu'il visite incognito l'Hôtel-Dieu , où les malades dorment à 3 ou à 4 par lit , il ressort en pleurs et décide de financer personnellement la création de nouveaux dortoirs. Sur sa propre "cassette" , il entrtetien des familles entières de nobles ou d'officiers sans fortune , des veuves et des orphelins de militaires. Pendant le terrible hiver de 1783-1784 , ému par les conditions de survie de son peuple , il décide de lever un impôt spécial sur les plus riches (Princes , Seigneurs , Gens d Église , etc..), L 'ISF avant l'heure. 3 millions de livres sont ainsi redistribués aux indigents et les impôts sont réduits dans les provinces les plus touchées par la misère. A Paris , le peuple érige une statue de neige à l'effigie de son héros sur le Pont-Neuf , avec cette inscription : "Notre amour pour lui nous réchauffe." Au matin du 21 janvier 1793 , Les "sans-culottes" assassinent le roi le plus gentil de l'histoire de France , ses derniers mots seront les suivants : " Je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute , je pardonne aux auteurs de ma mort...". Il ne faut pas prendre pour argent comptant toutes les âneries dites et transmises par la République hein , surtout lorsque que l'on se proclame Anarchiste. Ceci dit , certains de tes propos sont , j'avoue assez humanistes du moins dans le texte. Allez Don Camillo te serre la main. :D Ah oui , j'oubliais pour finir ; Jean-Marie Le Pen est un anarchiste , de droite certes , mais anarchiste tout de même.
  8. Non je parle des vrais anarchistes justement pas des trolls anarchistes. Le travail est une insulte à la liberté individuelle et le véritable anarchiste ne met rien au dessus de la liberté. Le véritable anarchiste ne vote pas.(Ni dieu ni maitre) À mon moment il faut être cohérent encore une fois et aller au bout de ses idées. La fameuse révolution de l'intérieur :smile2: Pour moi vous êtes des clowns. L'anarchie tout en étant à genoux 5 jours sur 7 , 8 heures par jour c'est d'un drôle. Et le soir venu abruti par votre asservissement , vous levez votre petit poing fébrile en disant : "vive l'anarchie , vienne l'anarchie ?" Tu n'es pas anarchiste GrandFred tu es un Anarcoco ou un Cocoanar bien plus rouge que noir. Et dépêche-toi d'aller bosser si tu ne veux pas que ton supérieur hiérarchique te botte les fesses , c'est l'heure de l'humiliation quoitidienne , c'est l'heure de cautionner ce monde , cette économie qui te fait horreur avec tes potes anarcocos , serrez-vous les uns contre les autres , ca tient chaud la camaraderie mais en rangs serrés , une deux , une deux , arbeit ! arbeit ! arbeit ! Los Los Los !
  9. Les anarchistes ne votent pas. Les anarchistes ne travaillent pas. Les communistes votent. Les communistes travaillent. Les premiers ne cautionnent pas ce qu'ils considèrent comme une infamie. Les seconds cautionnent en serrant les dents et les fesses. C 'est un bon début non ? :smile2:
  10. Monsieur Le Curé

    L'affiche de la honte

    Tu es donc un brave ouvrier avec un bon maitre et ce depuis 37 ans ... Ni dieu Ni maitre ?? :smile2: Et évite d'aller manifester pour revendiquer ta pitance et ton statut (amuser la galerie libérale) , tu risquerais de prendre un coup de matraque.
  11. Monsieur Le Curé

    L'affiche de la honte

    Aucun rapport. La FNSEA ne manifeste pas pour les mêmes raisons.Elle ne quémande pas dans la rue à un tiers le droit de vivre tout en étant comment dire "sous son toit.." :smile2: Pierre Gattaz n'a jamais été manifester dans la rue , ni aucun chef d'entreprise.Ils acceptent le jeu de l'oie Salariés-Chefs d'entreprises. À un moment il faut être cohérent ! Soit l'on accepte d'être un salarié avec ses avantages et ses inconvénients , et de fait à la merci et au bon vouloir d'un chef d'entreprise , soit l'on décide de subvenir à ses propres besoins par ses propres moyens en toute (relative)indépendance) Et pour finir , vous devriez revoir vos classiques en bel Anarchiste-COMMUNISTE que vous semblez être. "Revendiquer c'est admettre les droits de l'adversaire..." Louise Michel. L'anarchiste-COMMUNISTE L'anarchiste-INDIVIDUALISTE, lui répondrait : "loin de moi toute cette pourriture exploitants-exploités.. " Ni l'un Ni l'autre. :cool: Ni peste ni choléra..
  12. Monsieur Le Curé

    L'affiche de la honte

    L'affiche est d'une puérilité absolue , à croire que celle-ci a été réalisée par des lycéens lors d'une AG. De plus c'est une affirmation claire et nette à savoir "que la police frappe" et qu'elle ne fait que frapper et ce de manière gratuite. Aucune place pour l'exception ou le contexte. La police frappe , ajoutons à cela le sang , la matraque , non seulement c'est choquant mais ca peut également créer un traumatisme chez les plus jeunes , à savoir que le rôle de la police est bien de frapper au même tître que l'oiseau de voler. Et le service d'ordre de la CGT lors de manifestations- balades pédestres est-il toujours pacifique ? Bref ras le bol de ces vendus du capital qui se font leur laine sur le dos des salariés , enfin sur le peu qui restent dans leurs rangs. Si les patrons sont des méchants , créer votre boîte au lieu de vous plaindre ou alors bossez et fermez-là ! On ne peut revendiquer un statut d'esclave par le biais de manifestations et s'en plaindre encore une fois. Un peu de cohérence les syndi-clowns !
  13. Oui exactement , en se mettant un torchon sur la tête par exemple.
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