Henry Martin

Bah le sarrasin ça m'évoque plus les galettes bretonnes. Comme quoi les plissements horographiques riches en feldspath donnent des sols acides où les blés traditionnels donnent la prépondérance au blé noir. D'où la galette. On est peu de chose tout de même. Comme quoi la tectonique des plaques, comment dire, Mohamed (BDPF) est une chiure de mouche à coté.

Oui enfin bon la bonne grosse graisses on sait bien que ça va plutôt avec les loukoums, faut pas déconner non plus.

Si vous bossez quelques temps aux US, ne prenez jamais un ascenseur seul avec une femme. Le risque est bien trop grand. (mieux vaut le prendre avec un nèg un bambou, un homme de couleur).

Ouais c'est comme l'Oumma, moi je suspicione à mort.

Bientôt une nouvelle expression va naitre, la numeric victime : il s'E Filoche.

En tous cas il y a une chose sur laquelle on peut tabler pour la suite, c'est une certaine stabilité du régime qui va être mis en place. En effet s'il existe une constante dans cette affaire syrienne, c'est qu'il advient le contraire de ce que prédit Lycan.

Bah oui, tout comme Israël a éradiqué le Hezbollah du Liban. Pas dur.

Oui c'est marrant d'ailleurs parce que Descartes a été un peu dévoyé par le cartésianisme (ou disons ses excès) lorsqu'une une application trop rigoriste des lois et faits que l'on connaît sous estime l'ampleur de ce que l'on ne connaît pas. D'où un manque de pragmatisme d'une approche trop cartésienne.

Le doute est le début de la sagesse - Aristote.

Oui d'ailleurs pour Weinstein c'est pareil. A la base il est issu d'un peuple sémitique, arabe en quelque sorte. C'est pour ça qu'il est coupable.

C'est parce que la nature a horreur du vide.

C'est aussi exact. Dans ce cas il faut resituer l'emploi du terme dans le contexte du propos. Il s'avère en effet que ceux qui n'ont pas eut la chance d'avoir le loisir d'étudier un tas de truc ou de ne pas avoir eut de chance dans la vie d'être une cible plus privilégiée pour gober des bobards qui vont lui désigner des boucs émissaires ou encore des fadaises de promesses électorales. C'est comme ça et on n'y peut rien. Ça n'enlève rien au fait que le terme populisme critique avant tout le propos politique fallacieux.

Bon d'accord. Mais c'est pas un problème politique, c'est un problème de français, de précision de la langue et de connaissance de l'histoire politique. Le terme populisme en politique décrit une façon détestable d'attiser des haines ou de colporter des mensonges à des gogos pour ramasser des votes. Ce n'est pas contre le peuple qu'on emploie cette expression, mais contre les politiques qui enfument ceux qui les écoutent. C'est dans ce sens là que le terme est habituellement employé, ce n'est pas contre le peuple.

N'insulte pas la populace, comment dire, à ce point.