Là ou certains voient une dégradation du point de vue de la qualité, je dirais plutôt une "évolution".
Les auteurs vieillissent, des jeunes intègrent (certainement) l'équipe, le contexte géopolitique change, donc le résultat et la nature du contenu change. (Du Darwinisme des Guignol :D )
Que cela plaise ou pas, je pense que c'est une histoire de gout, de génération.
Pour le reste, je m’appuierai sur une phrase de D. Pennac " Rien ne devient plus vite légendaire qu'un lieu publique brutalement soustrait à la fréquentation populaire" ... Joli coup de pub Monsieur Bolloré !!