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Atia

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À propos de Atia

  • Date de naissance 08/01/1981

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Baby Forumeur (1/14)

6

Réputation sur la communauté

  1. Oui je sais bien, mais ce que j'essayais de montrer maladroitement, c'est que peu importe en quoi on croit, on a besoin de croire: pour beaucoup ça passera par la religion, mais chacun sa façon de procéder. Je considère la religion comme un guide de la même façon qu'un élève va le faire avec son professeur. Donc croire en quelque chose, même si ça n'est pas une croyance religieuse, pour moi ça tient du même principe. Pour la médecine ça peut passer, pour pôle emploi c'est moins vrai (mais surtout parce que je n'y crois pas beaucoup). Et je veux bien croire que j'ai raison ^^' (ça c'est pour la boutade, pas la peine de citer cette phrase pour me la recoler dans le dentier :) )
  2. Bonjour, Je définirai l'impact de la croyance a contrario: ne croire en rien, c'est être hyper pessimiste, et la vie doit être bien triste dans ce cas. Par contre ça ne veut pas dire qu'il faut croire forcément en une religion: mais je pense qu'il faut avoir foi en certaines institutions ou personnes, s'en remettre à quelque chose ou quelqu'un qui nous servira de guide. Ca peut être un élève qui croit sa maitresse, Un chercheur qui croit qu'il y a de la vie sur Neptune, Un pélerin qui croit qu'en marchant 2 heures il sera lavé de tous ses péchés, un électeur qui croit que le changement c'est maintenant, une gamine qui croit en son pouvoir de séduction Un amant qui croit sa maitresse Bref il y a toujours quelque chose en quoi on doit croire, et les religions permettent de se fixer une ligne de conduite, d'inculquer des valeurs (après comme pour tout ce sont les abus qui ne sont pas bon, mais dans le principe ça peut apporter de bonnes choses). Je ne me souviens pas si j'ai déjà cru à ma religion autrement que comme à une histoire de princesse et de dragon, mais je sais qu'aujourd'hui encore j'ai une sorte de fidélité à cette culture, à des valeurs qui ont permis de bâtir cette espèce de machine mal huilée qui me sert de conscience. Chacun a ses besoins, et si croire permet de se rassurer, de se donner un but, alors ça peut apporter beaucoup.
  3. Bon allez grêve de déo, de parfum, de brossage de dents, de rasage, et de tout ce qui est plus cher pour les femmes! Je suis sûre qu'au bout de quelques mois on va voir les prix baisser (ou les hommes nous supplier d'aller au rayon homme). Plus sérieusement: autant il y a des produits pour lesquels on peut comprendre l'écart si la conception est réellement différente, autant il y en a certains pour lesquels il n'existe pas de justification (coiffeur pour les femmes aux cheveux courts...) C'est encore plus cocasse quand on pense que les différences existent aussi mais de manière inversée pour les salaires... Sans compter que la plupart des femmes dépense plus en maquillage, chaussures, vêtement et accessoires divers. Ça coûte cher d'être une femme, et on ne sait pas vraiment si Cher en est une... ^^
  4. Je te remercie pour ton franc parler, ta tolérance, et ton savoir-vivre. Ok j'ai peut-être une façon d'écrire les choses qui peut sembler sêche, mais en vrai je dis ça sans méchanceté aucune. Visiblement tu n'as pas reçu mon message comme je l'ai pensé. Je suis loin d'avoir la science infuse, et contrairement à toi je ne me permets pas (enfin je crois) de juger si les autres ont le droit ou non d'exprimer leurs idées pour juger si elles sont justes ou non et si elles méritent d'être exprimées. J'ai pris la peine de répondre à ton message pour expliquer mon point de vue, ça me semble normal de ne pas être d'accord avec tout le monde, on est là pour donner notre avis après tout. Et comparer nos idées permet de rebondir, d'approfondir ce qu'on pensait, de se remettre en question. Ça ne m'empêche pas de lire et essayer de comprendre les avis contraires, et j'estime qu'on a le droit de dire quand on n'est pas d'accord ou quand on ne comprend pas les idées des autres. Que ça ne te plaises pas m’indiffère totalement, ça ne m'empêchera pas de continuer à essayer de comprendre les opinions de chacun. Je te souhaite une bonne journée! ceci est un post "sociable", oups désolée c'est plus fort que moi j'ai essayé de faire un bon mot avant d'exprimer une opinion juste! décidément je suis impardonnable.
  5. Je me dénonce pour faire partie des gens qui confondent les deux notions parce que j'avoue que j'ai du mal à bien saisir la différence. D'après moi un "être social" c'est une expression assez vague, un sujet d'étude: un être dans la société, le comportement d'un individu lambda dans son environnement. On ne dit pas "machin est social" (enfin moi en tout cas je ne le dis pas - mais peut être parce que je n'ai pas la chance de connaitre le fameux machin). Par contre on peut dire qu'on "fait du social", "mène des actions sociales", pour quelqu'un qui s'occupe de son prochain, qui œuvre pour la collectivité. Mais ça n'a rien à voir avec le fait d'être sociable (enfin je ne sais pas si les gens sociables sont plus enclins à faire de l'action sociale, et j'ai pas le temps de mener l'enquête). Je pense que la différence que tu veux faire ce serait plus entre celui qui fait l'effort d'aller vers les autres: qui se bouge pour être sociable, et celui qui l'est naturellement. Si c'est ça alors je veux bien comprendre (ouai je suis sympa dans le fond) mais pour moi ce sont deux faces du même mot. Du coup il faudrait se demander si être sociable se travaille ou si c'est foutu si on n'est pas né avec le bon gêne. Je pense que certains ont des prédispositions (les veinards), mais je crois qu'on apprend à aller vers les autres, à s’intéresser à eux, à se sociabiliser. Disons que ça me permet de croire qu'un jour je passerai de l'autre côté de la barrière
  6. Bonjour, je suis tout a fait d'accord avec la définition de Feuille: être sociable, c'est être naturellement à l'aise avec les autres, et inversement que les autres se sentent à l'aise avec la personne sociable. C'est avoir des facilités d'intégration et un comportement ouvert. Par contre je ne pense pas qu'il existe de recette miracle ou d'outil pour mesurer la sociabilité d'une personne, et je ne sais pas si les gens dits "sociables" le sont dans n'importe quel environnement mais ils doivent être capables d'évoluer. Je crois que pour être sociable, il faut de sérieuses capacités d'adaptation, mais chez le vrai sociable ça se fait sans se forcer. Il me semble que quelqu'un de sociable, vers lequel on a envie d'aller, c'est souvent quelqu'un qui est bien dans ses baskets (zut j'ai pas de baskets).
  7. Atia

    Système de notation

    Oh la bonne idée que voilà.... des notes! Un excellent moyen pour semer la zizanie, réveiller les forumeurs soit en les énervant, ou en les rendant cabotins (suivant leur caractère et leur soif de popularité). je ne sais pas si ça se fait déjà ici, mais certains forums organisent des sortes de prix style "oscars" pour saluer les personnes ayant la meilleure orthographe, les posts les plus drôles, les participations les plus variées... Sans être obligé de noter tout le monde et de devenir vexant avec des mauvaises notes, ça permet de mettre en avant certaines personnalités remarquables (mais ça peut aussi en refroidir certains). Ça a aussi l'effet pervers de mettre en avant les clans qui existent immanquablement, et on tourne très vite aux votes de copinage. Ce qui est dommage parce que bien mené ça peut être drôle, et on a parfois d'excellentes surprises en se rendant compte que certains font l'unanimité. M'enfin en attendant ce sujet aura eu le mérite de réveiller les foules.
  8. Des films intelligents??? Si on parle de films dont les héros sont intelligents, je dirais assurément Will Hunting ou Un Homme d'exception. Si on parle de film qui nous ont demandé un peu de réflexion et nous ont rendu fiers quand on a compris: La jetée c'est un court métrage des années 60, façon roman-photo en noir et blanc, avec un récit débité d'une voix monocorde. Ça ne donne pas envie et pourtant c'est un régal quand on arrive au bout Ça rappelle énormément mon second choix: l'armée des 12 singes, dont j'ai adoré découvrir la fin, j'étais scotchée devant mon écran. Enfin, et parce qu'il faut en choisir un, je dirais Mémento, parce que c'était très plaisant de suivre le héros et de reconstituer l'histoire avec lui. Ils auraient pu figurer dans cette liste: The truman show shutter island le perstige fight club et plein d'autres (en général des films dont la fin nous donne envie d'un second visionnage pour tout comprendre).
  9. Atia

    La mode de la pleurniche

    Et dire qu'il aura fallu que je vienne errer par ici pour apprendre que la mode de la pleurniche existait... A vrai dire si on regarde peu la télé, on ne s'en rend pas compte. Par contre maintenant que j'y pense, sans parler de pleurs, c'est vrai qu'on essaie souvent aux infos de jouer sur la sensiblerie de l'auditoire, et ça c'est vraiment moche je trouve. C'était surtout marquant pour les accidents qui ont eu lieu cet été: c'était la course à celui qui aurait l'interview et les pleurs des parents. On nage en pleine indécence. En même temps ça reste cohérent avec la nouvelle conception de la vie privée que nous construisent les réseaux sociaux: il suffit d'avoir facebook et un ou deux amis bavards pour être convié à prendre part aux états d'âmes et petites joies de tous les jours. Tant qu'il y aura des gens pour se délecter de la vie des autres, on risque de voir encore beaucoup de pleurs.
  10. Atia

    Bracelets Rainbow Loom

    La grande mode du moment, on en voit partout, difficile d'y échapper, sauf que je ne connaissais pas le nom de ces bracelets. C'est un peu laid quand même sur des adultes non? Sur des enfants les couleurs flashys et les matières plastiques ne me dérangent pas, mais sur des plus âgés, à moins de porter les "créations des enfants", je trouve qu'on a vu de meilleures modes. Heureusement les filles de mes collègues savent assortir les couleurs, je m'en sors bien avec mes cadeaux. Par contre je suis certaine que j'aurais adoré en faire (même adulte c'est vraiment le genre de passe-temps qui me plairait).
  11. Je confirme également pour le choix de l'intégrale plutôt que la version tailladée à l'emporte pièce. En plus les livres de poches mettent du temps avant de sortir, on attend deux fois plus que tout le monde et on paie plus (par contre ça tient plus facilement dans les mains, un sac, ou une proche, mais c'est le seul avantage). J'avais vu la première saison avant de passer à la lecture, et j'en étais très contente parce que j'ai trouvé les premiers chapitres décevants (à moins que ce ne soit un problème de traduction). J'aurais eu plus de mal à me repérer dans le fouillis de personnage en lisant directement. C'est vrai que du coup les surprises sont éventées, mais on découvre d'autres sous intrigues et personnages. Et puis c'est un bon moyen de rester dans l'ambiance.
  12. Ouiii Tapioka, rejoins les adorateurs du livre, bienvenue au club!!!!(par contre sans vouloir freiner ton enthousiasme, une fois que tu auras rattrapé les dernières publications, tu seras dans le même cas qu'actuellement: l'attente de la suite) Dans le livre comme dans la série la multiplication des intrigues finit par nous retourner la tête, sauf qu'en lisant on peut ralentir le rythme comme on le souhaite, et surtout on a le temps à chaque retour sur un personnage, de se remémorer là où on l'avait laissé. A l'écrit aussi le personnage de Tyrion semblait avoir perdu de son charme une fois parti de kings landing, mais le talent de l'auteur c'est de jouer avec nos attentes: à chaque fois qu'on croit ou espère que deux personnages vont se retrouver, hop petite pirouette et on repart dans d'autres directions (et si possible on explore une partie du pays qu'on ne connait pas encore, on rencontre de nouveaux personnages, etc...). C'est déstabilisant quand ça concerne de gens qu'on aimait, mais c'est pour ça que la saga est si prenante, parce qu'elle nous emmène loin: autant au niveau de l'univers, de la diversité des personnages, des morts brutales, des complots, des pays différents, des légendes qui ressuscitent, des résonances avec l'histoire, on a toujours l'impression de s'y retrouver, d'être déjà passé par là, et on vient nous prouver le contraire. La série a su garder cette dynamique en opérant quelques petits ajustements qui font qu'on a beau connaitre l'histoire, on fini par être surpris quand même. :cool:
  13. Elle aurait pu menacer d'arrêter la musique, ça aurait eu plus de sens... :smile2: (enfin pour arrêter quelque chose, il faut déjà l'avoir commencé donc elle ne peut raisonnablement pas dire qu'elle arrête de chanter). Elle me fait rire quand même cette fille: elle joue à fond la carte du "je suis cruche et j'en fais mon fonds de commerce", c'est ce qui lui avait permis de rejoindre un temps la bande à Ruquier (et elle y était très drôle). Elle sait très bien que son annonce va faire réagir, qu'on se moque d'elle, mais au moins on parle d'elle. Faire du buzz à partir de rien c'est un moyen d'exister. Je ne sais pas si ça lui permet de vivre, mais si ça lui rapporte d'une manière ou d'une autre, alors elle est moins idiote qu'elle veut bien nous le montrer.
  14. Autant l'épisode 9 m'avait un peu déçue, autant celui-ci me donne envie de voir la suite (et d'un autre côté j'ai envie de freiner des 4 fers parce qu'on commence à rattraper méchamment les livres). Comme dans les livres, on passe d'un point de vue à l'autre avec regret, puis on se laisse embarquer dans le récit. Mais de toutes les intrigues, les luttes internes autour du trône sont les mieux traitées. On s'ennuierait sérieusement sans les Lannister, heureusement qu'ils mettent l'ambiance! Il ne me reste plus qu'à trouver d'autres séries pour patienter...
  15. Atia

    Que lisez-vous en ce moment ?

    Je viens de terminer "Lolita" de Vladimir Nabokov. J'ai adoré le style d'écriture riche, sa fluidité, et surtout le fait de ressentir de la sympathie pour un personnage qui est en train de nous raconter des horreurs. Il faut une certaine dose de talent pour pouvoir nous faire ressentir tout ça, je suis encore sous le choc.
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