Aller au contenu

janacek

Membre
  • Compteur de contenus

    463
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Points

    0 [ Donate ]

Informations Personnelles

  • Sexe
    Inconnu

janacek's Achievements

Baby Forumeur

Baby Forumeur (1/14)

79

Réputation sur la communauté

  1. janacek

    Sorties musicales 2014

    Guillaume Perret & The Electric Epic : " Open Me " (sortie en mai 2014 chez Kaboum ! Record ) Guillaume Perret : électrique Saxe / Jim Grandcamp : électrique Guitare / Philippe Bussonnet : électrique Basse ( venant de chez Magma ) / Yoann Serra : Batterie, sampler et en guest : Sir Alice et Monica Vannier : voie. Source Fip Radio : "Après un premier album sorti sur Tzadik, le label de John Zorn, le saxophoniste Guillaume Perret et son groupe The Electric Epic sortent l'exaltant "Open Me", nouvel ovni survolant de sa superbe la planète jazz. Dire que l'album "Open Me" était attendu est pur euphémisme tant le premier opus du saxophoniste Guillaume Perret et de ses compagnons de The Electric Epic fît l'effet d'une bombe dans la sphère du jazz contemporain. Salué aussi chez les amateurs de rock, de métal et de fusions en tout genre, l'album éponyme foudroyait l'auditeur par un mix inspiré et énergique de jazz fusion aux limites du punk, de groove electro, de rock progressif ou psychédélique. Insatiable explorateur sonore, le saxophoniste originaire d'Annecy, continue son heureuse expéditon musicale avec "Open Me" et ses huit nouvelles compositions originales. Si Guillaume Perret vient d'annoncer sa contribution au nouvel épisode de la série "Book of Angels" de John Zorn, l'artiste a, cette fois, sorti "Open Me" sur son propre label kakoum ! records. Un album que certains ont pu découvrir sur la scène du festival Jazz à la Villette. Pour les autres il faudra attendre le 23 septembre et retrouver la folle énergie créatrice du saxophoniste, du guitariste Jim Grandcamp, du bassiste Philippe Bussonnet et du batteur Yoann Serra. Cette bande là nous replonge dans les meilleurs moment du Miles électrique, de Weather Report ou de Magma. Elle enchaîne rythmes effrénés et puissants, sons sortis de nulle part et ballades oniriques et électriques provoquant un chaos émotionnel ô combien jubilatoire." http://www.youtube.c...h?v=U2aws7_5JUg Quand à moi, je remercie encore le hasard, parce que franchement ... C'est une vraie claque, endormi ces derniers temps par l'écoute d’insipides "non compositions" du GRP ( .... les Yellow Jackets, Chick Coréa Electric Band, les meilleurs "représentants" de la marque Yamaha Instruments .... ou encore Spyro Gyra ... le GRP : l'équivalent en Jazz de ce qu'a été la musique "dite" populaire des années 80' ; facile, plastique, parfois indigeste et souvent, trop souvent, sans "fond" , sans âme ....) berf, là nous avons de quoi réveillait nos sens et surtout celui de nos pavillons et de les portaient au rouge... à l'instar de la petite lampe rougeoyante perchée au fond du pavillon de son instrument, celui de Guillaume ... énorme, puissant, percussif, énergique, énervé .... le "saxe" de Perret accompagné de ses trois compagnons c'est comme le dit Michel Constat : "En musique, cela donne une baffe géante qu'appliquent au millimètre quatre musiciens allumés par la poésie énergumène qu'ils produisent." ... et bonne écoute.
  2. " Hé mec, cette Hudson elle envoie !" ... Au volant, Dean Moriarty (alias Neal Cassady dans la vie réelle ) roule depuis des jours et des nuits, au volant de son Hudson Hornet Commodore. A ses côtés, Jack Krouac (Sal Paradise dans le livre), l'écrivain, le poète de la Beat Generation, le "clochard céleste" celui dont l'oeuvre monumentatle Sur la Route fut également son hymne et son testament. L'Hudson file le long des highways, de New York à San Francisco, sillonnant le pays au gré des rencontres, les compères s'abandonnant au hasard, passant de l'euphorie au désespoir, cherchant dans l'alcool et la drogue un remède à leur désillusion. Nous sommes en 1951 et la silhouette "streamline" de la commodore (modéle 1949) fait "hurler le vent". Mais en est-on si sûr ? Il n'existe aucune trace de cette voiture, ni photo, ni plaque d'immatriculation, ni facture ... Pour beaucoup d'admirateur de Jack Kerouac, ce descendant d'une famille bretonne, cette berline Hudson n'a peut-être jamais existé. Elle incarnerait un "Rêve d'absolu", une liberté et un désir inaccessibles... Go West young man... ! Dans son passé de petit délinquant, Neal Cssady était capable de voler n'importe quel engin, mais, dans l'imagianire de Kerouac, l'Hudson était la seule voiture susceptible de traduire sa quête d'absolu (et de rapprochement des sexes, l'espace intérieur permettant toutes les contorsions....) et sa nostalgie des grands espaces. Et encore ne connaissait-il pas la Hornet, ce stupéfiant frelon, né de l'année de son voyage extatique ! Aurait-il alors rencontré Doc Hudson, juge et médecin à Radiator Springs sur la route 66 ? Qui n'a pas vu et revu "Cars" ne peut comprendre... Que l'on vous explique : Doc Hudson, personnage de ce film d'animation, fut un grand pilote de Stock-Car (vainqueur de trois Piston Cup, en clair le championnat Nascar) au volant d'une berline Hudson avant de devenir mécanicien et de venir en aide au héros du film, Flash McQueen. Scénario exemplaire, d'une réalité non moins singulière, vestige d'un grand moment de l'histoire automobile américaine... Celle de Marshall Teague, par exemple, qui, aidé de l'ingénieur Vince Piggins, prépare pour la saison 1952 une "fabulous" Hudson Hornet (le qualificatif est peint en grosse lettres sur les ailes de sa Hornet préparée). Augmentation de l'alésage, grosse soupapes, nouvelles chambres de combustion, culase haute compression, arbre à cames plus pointu, double échappement, le "straight six", fort de son kit 7x, offre désormais 220 chevaux ! contre 170 chevaux en 1951 sur la version "route" la plus évolué avec son pack "Twin H-Power" (l'Hudson version Hornet ne développe à l'origine "que" 145ch avec son six cylindre Oldsmobile ...) Bon je vais pas vous faire un discours long comme un .... "parchemin" mais si l'histoire de cette voiture, qui en a tant fait "rêver" vous intéresses : "Rétro-Viseur septembre 2014" mais aussi " Il était une fois La Nascar - Des good ol'boys aux golden boys" chez Chronosports, un rare livre qui traite de ce sport auto " typically " américain .... Un vrai "Low rider" aux allure de "top-chop". Les succès sportifs de l'Hornet tenaient à sa ligne profilée et à l'abaissement de son centre de gravité. En 1952, la silhouette de l'Hudson Hornet (conçue en 1943) est déjà démodée face aux nouveaux modèles du groupe GM direcctement concurrents (Oldsmobile et Buick), même si le charme opère toujours. La conception de son châssis aura pour conséquence de figer son évolution ... Verdict : aux fils des ans, les ventes déclinent, la concurrence ayant le mauvais goût de proposer des modèles aux lignes plus modernes comme les Buick, Oldsmobile et surtout Cadillac V8 aux formes glamour nées de "rêves" aéronautiques d'Harley J.Earl. Le divin frelon, espèce bien éphémère, n'aura écu que quelques étés ..... ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ " Dean prit le volant et nous enleva jusqu'au sommet du monde. Nous longeâmes une grande usine de ciment toute enveloppée de poussière dans le canyon. Et puis ce fut la descente. Dean coupa les gaz, se mit en prise, prenant au plus prés les tournants en épingles à cheveux, doublant les voitures, accomplissant les prouesses les plus difficiles que les experts ont imaginées sans l'aide de l'accélérateur. Je me cramponnais. Parfois la route remontait sur une courte distance; il se contentait de doubler les voitures, en silence, emporté par son élan. Il connaissait à fond la cadence et tout les soubresauts d'un col de première classe. Au moment où, dans un tournant, la route se lovait sur la gauche, le long d'un muretin de pierres qui dominait le fond du monde, il se laissait aller complétement à gauche, les mains au volant, les bras raidis, et conduisait dans cette position ; mais quand il fallait tourner à droite, l'à pic étant cette fois sur notre gauche, il s'abandonnait, à droite toute, et nous entraînait. Marylou et moi, dans le mouvement. C'est ainsi que nous descendîmes, voguant, ballotés, dans la vallée de San Joaquim. Celle-ci s'étendait un mille plus bas, rez-de-chaussée de la Californie en quelque sorte, qui nous apparaissait, verdoyante et fascinante, du haut de notre observatoire céleste....."
  3. janacek

    Full album !

    and full concert ... https://www.youtube.com/watch?v=WsvSVtXRu7A et comme le disait Xsylon : bonne nuit ici ....
  4. janacek

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    Decade 63, Lucy and tous .... bonjour
  5. janacek

    Arc-en-ciel

    Lin Mei était la plus jeune fille d'une famille de paysans. Elle vivait au pied des montagnes du nord de la Chine et s'occupait à garder un petit troupeau de chèvres. Comme les journées étaient longues, elle passait son temps à observer la nature et à admirer le paysage. Lin Mei aimait beaucoup dessiner. Elle rêvait d'apprendre la peinture, pour raconter toutes les beautés du Monde. Hélas, elle était si pauvre qu'elle ne pouvait s'acheter un pinceau. Un jour, en passant devant une école, Lin Mei vit un maître peignant un tableau. Sur une table base s'alignaient des pinceaux de toutes tailles. Lin Mei s'inclina devant l'homme: – Maître, demanda t-elle pouvez-vous me prêter un pinceau ? Je voudrais apprendre la peinture. Voyons les vêtements usés de Lin Mei, le maître se mit à ricaner: – Une petite pauvre qui veut appendre la peinture! Allons, misérable, passe ton chemin. L in Mei s'éloigna, triste mais décidée. « Si c'est ainsi, j'apprendrai seule», se dit-elle. Lin Mei se mit à dessiner chaque fois qu'elle en avait le temps. Quand elle ramassait du bois mort pour en faire des fagots, elle dessinait des oiseaux sur le sol avec une brindille. Quand elle gardait le troupeau près de la rivière, elle trempait son doigt dans l'eau et dessinait des poissons sur les rochers de la rive.... Le temps passa... Lin Mei dessinait si bien les oiseaux et les poissons qu'on s'attendait à les entendre chanter ou à les voir nager. Pourtant, elle n'avait toujours pas de pinceau... Une nuit, elle rêva qu'un homme à la barbe blanche, lui tendait un pinceau en disant : «Voici un pinceau magique, il est pour toi. » Quand elle se réveilla, Lin Mei tenait à la main un pinceau au manche de bambou. « C'est le même que celui de mon rêve ! ». S'étonna la jeune fille. Aussitôt, elle peignit un oiseau et celui-ci s'envola dans les airs. Elle peignit ensuite un poisson qui sauta dans la rivière. Lin Mei comprit alors que le vieillard avait raison : ce pinceau était vraiment magique ! Elle se mit donc à peindre pour les pauvres du village. Elle peignait des charrues, des lampes, du grain, des poules et des cochons. Et chacun repartait avec ce que Lin Mei avait créé avec son pinceau magique. Ces prodiges parvinrent aux oreilles de l'empereur. Il fit arrêter Lin Mei ordonna qu'on la jette en prison et s'empara du pinceau magique. L'empereur se mit aussitôt à peindre des sacs d'or... Dès qu'il eut terminé, la montagne de sacs d'or se transforma en un misérable tas de cailloux. Il peignit alors des pierres précieuses … Elles tombèrent en poussière! L'empereur comprit vite que seule Lin Mei pouvait se servir du pinceau magique. Il la fit sortir de prison et lui dit : – Tu vas peindre pour moi tout ce que je t'ordonnerai. Pour voir ce dont tu es capable, tu vas d'abord peindre la mer. Lin Mei prit le pinceau magique et, en quelques instants, la mer s'étendit au pied du palais. L'empereur ordonna : – Peins aussi des poissons! Le pinceau dessina mille poissons qui se mirent à nager dans l'eau transparente. C'était si beau que l'empereur voulut naviguer. – Vite, un bateau ! Ordonna-t-il. Le pinceau virevolta et un magnifique navire apparut sur les flots. L'empereur monta à bord avec toute sa cour... Un coup de pinceau et la brise se leva, gonflant les voiles. Le navire s'éloigna du rivage. – Encore du vent ! Cria l'empereur. Lin Mei ajouta plusieurs coups de pinceau. La mer s'agita et les vagues se creusèrent. Des paquets d'eau s’abattirent sur le pont. L’empereur était trempé. – Ça suffit, maintenant! Hurlait-il dans la tempête. Assez de vent! Mais Lin Mei ne l'écoutait plus... Son pinceau allait et venait dans le ciel, traçant de larges courbes. Les hurlements de l'empereur se perdaient dans le bruit du vent. Le navire était ballotté par les vagues écumantes. Bientôt, il disparut à l'horizon, entraînant avec lui l'empereur et toute sa cour. Lin Mei rangea son pinceau magique et la tempête s'apaisa. Elle retourna alors dans son village, où elle passa le reste de sa vie à peindre pour les pauvres gens. Il existe plusieurs versions de ce conte, dont certaines plus longues, certains personnages apparaissent en plus, et même dans la versions que je possède (et que j'ai eu, pour une fois, la flemme d’écrire ce soir) c'est d'un jeune garçon dont il s'agit, nommé Wang Li, il prend la place de cette jeune fille Lin Mei.
  6. Un grand merci à Decade 63 pour ce "Wings" merci merci Decade 63, cette musique remonte chargée de beaucoup de souvenirs télévisuels ... et "pas que", bien d'autres bien sur ... (bons et/ou.... mauvais), mais je me remémore surtout des bons ..... et merci de ce topic ... un bon très topic (hein ? Pourquoi Pas comme le dirait Louis ..) .. mais revenons-en au classique .... A bientôt Decade 63 et merci encore ...
  7. Bonjour Decade et tous .... une petite, mais magnifique, pièces d' Olafur : https://www.youtube.com/watch?v=2IOyLE6b0XQ
  8. A l'opposé de la "Méduse de Winona" .... : Satanas et Diabolo, comme le titrait JP Decker journaliste essayeur pour ses "Mes 300 volants" Ce matin-là, le téléphone avait un fort accent british. J'étais welcome pour driver l'unique GN Spider 2 qui depuis 1938 écume les courses de côte de Prescott et Shelsley Walsh, hauts lieux de fast motoring. De retour d'une exposition en Espagne, l'engin se trouvait très provisoirement dans un manoir au fin fond du ... Périgord .... avant de retourner à sa terre natale. Vous verrez, c'est very special, indeed ! insistait Phil Spencer, son jovial propriètaire. Venant d'un Britannique, je m'attendais à tout. Je ne fus pas déçu ! Heureusement, on commença par me servir un verre de Chablit avant d'ouvrir la porte d'une grange séculaire au fond de laquelle brillait ce que je pris pour le fuselage d'un avion de la guerre de 14 ... sans les ailes ! A moins qu'il ne s'agisse d'un side-car caréné en aluminium. Poussé dehors dans la lumière, un deuxième verre me fut nécessaire. Quoi ! Il fallait conduire cette espèce d'araignée dont le volant aussi grand que les roues dépassait des deux côtés du cockpit ? A propos de roues - était-ce l'effet du Chablit ? - j'en comptais six dont quatre sur le train arrière beaucoup plus étroit que l'essieu avant ! Avec pas moins de trois chaînes en guise de transmission reliées à un gros bicylindre en V de 2.1 litres dépassant largement du frêle capot, l'engin respirait le bricolage agricole des premiers fous roulants dans leurs drôles de machines. Mais quand le vin est tiré, n'est-pas .... A peine le temps de boucler mon vieux casque de cuir et me voilà assis sur le pont arrière, les chaines bien visibles sous mes jambes. Pourvu qu'elles ne sautent pas ! Aoh yes, pas de démarreur, pas de marche arrière et deux vitesses only. Go ! Poussé avec vigueur, le monstre rugit aussitôt et renâcle en m'embarquant dans une violente embardée. Ah, je n'aurais pas dû me lever ce matin ! Je ne connais pas la route, je ne sais pas où faire demi-tour, de toute façon, y'a pas de marche arrière et il est interdit de caler ! Help ! Le bras dehors, j'enclenche la deuxième et le GN bondit dans un barouf d'enfer. Satanas et Diabolo brûlent le bitume. Trop concentré pour regarder derrière, je finis par trouver un carrefour pour faire demi-tour d'un seul coup de volant et revenir ventre à terre. Déjà des ratés m'annonce la prochaine panne sèche car le minuscule réservoir est prévu pour une seule montée de course. Juste assez pour franchir le porche du manoir ... ( en Périgord :D... ) avant de couper la magnéto sur "off" qui, aujourd'hui, aurait pu aussi bien s'écrire "OUF" ..... ( Source : JP Decker ) .. et bonsoir ...
  9. janacek

    Sorties musicales 2014

    Flirtant avec le Trip Hop, à la manière d'un KD Session, ce morceau : Love's Madness avec un sample de la chanteuse africaine Miriam Makeba, rien que pour le plaisir :
  10. janacek

    Sorties musicales 2014

    Salut Herman, salut tous, une petite découverte samedi en flânant chez mon disquaire ... Pas exactement une nouveauté, puisque sortie dans les bacs en 2011, mais réédité ces dernier temps par Harmonia Mundi et donc de nouveau disponible, le Lund Quartet. Composé de Simon Adcock au piano et thérémine ( le plus ancien instrument de musique électronique datant de 1919, inventé par le russe Lev Sergueïevitch Termen.), de Rob Childs à la contre-basse, de Sam Muscat aux percussions, et enfin de Jake Wittlin aux platines (plus quelques "guests" essentiellement aux cuivres), le quartet diffuse une musique "jazz" minimaliste, parfois mélancolique mais juste ce qu'il faut, mêlant l'impro que permet le jazz et le sample en studio, le tout est savamment réorchestré pour un mix à l'ambiance "dowtempo" mais résolument Jazz, une musique aux couleurs lumineuses, mais aussi parfois sombres, intimiste mais dense et généreuse .... Je ne peux m’empêcher de penser à Nils Petter Molvaer à l'écoute de certains morceaux, bref, à recommander sans modération : (version longue de Sequoia, le titre le plus représentatif de l'album)et (le morceau que je préféres ... oui je sais "on" s'en fiche mais :p )
×