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Pour ou contre l'avortement

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sarah_lovely

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 355 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

C'est ton point de vue, mais dans la logique marchande, ça ne change rien puisque la personne qui décide est celle qui met au monde (mon corps m'appartient, tout ça) du moment qu'elle paye.

Et puisque la logique libérale est que chacun fait ce qu'il veut de son existence, et que vous considérez l'enfant comme une extension de votre existence et non comme un être humain à part entière, alors il n'est absolument pas fou de penser qu'on puisse décider d'avortement pour ne pas mettre au monde un enfant homosexuel, pour les mêmes raisons qu'on décide d'avorter pour ne pas mettre au monde un trisomique : pour son confort personnel.

Mais en quoi avoir un enfant homosexuel aliène son "confort personnel" ??

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Membre, 61ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Malheureusement, l'avortement existe depuis la nuit des temps. La question n'est donc pas de savoir si on est pour ou contre, mais si on est pour ou contre qu'il se pratique dans des conditions sécurisées pour ne pas perdre la femme en plus du foetus.

l'avortement est un méfais de la technologie , idéalement fait pour les femmes non loyales

ben non, avant ça se pratiquait avec une aiguille à tricoter.

C'est de la technologie le tricot ? blink.gif

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Membre, Esprit de contradiction, 46ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
46ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Mais en quoi avoir un enfant homosexuel aliène son "confort personnel" ??

Par exemple, la mère pourrait invoquer qu'elle veut des petits enfants, qu'elle ne veut pas d'un enfant gay parce que ça heurte ses convictions personnelles, etc. Ca serait son affaire, après tout. Son corps, son gamin, ses droits. Donc IVG du bébé gay.

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Membre, 61ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Par exemple, la mère pourrait invoquer qu'elle veut des petits enfants, qu'elle ne veut pas d'un enfant gay parce que ça heurte ses convictions personnelles, etc. Ca serait son affaire, après tout. Son corps, son gamin, ses droits. Donc IVG du bébé gay.

et comment elle fait pour savoir que son enfant sera gay ?

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Mais elle ne peut pas. Alors que trisomique oui.

Cette réflexion de Savonarol n'a aucun sens.........

Donc la comparaison est vraiment boiteuse.

tout ça pour faire raccord à partir d'un sujet fermé...........c'est pathétique....laugh.gif

Modifié par Alain75
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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 355 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

Par exemple, la mère pourrait invoquer qu'elle veut des petits enfants, qu'elle ne veut pas d'un enfant gay parce que ça heurte ses convictions personnelles, etc. Ca serait son affaire, après tout. Son corps, son gamin, ses droits. Donc IVG du bébé gay.

Par exemple, on pourrait imaginer que tu transfères...

Modifié par Mite_Railleuse
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Membre, Esprit de contradiction, 46ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
46ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Par exemple, on pourrait imaginer que tu transfères...

Ben moi je ne suis pas pour l'idée qu'un enfant est un consommable, donc ça heurte ma sensibilité même s'il s'agit d'un trisomique.

Dans votre logique, dans la logique de consommation, du "moi-je", du désir par delà la nature; il n'est pas du tout insensé de considérer que cela puisse déterminer un choix de la part de la mère.

Par ailleurs, c'est la même question pour ce que l'on arrivera à faire à partir du moment où l'on saura prévoir et corriger les génomes. Selon qui voudra avoir un petit enfant en bonne santé, hétérosexuel, apportant une descendance ( qu'il contrôlera d'ailleurs de la même manière et via les mêmes procédés) , et qui veut ... qu'elle s'arrête.

On est jamais eugéniste à moitié.

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Membre, 61ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Ben moi je ne suis pas pour l'idée qu'un enfant est un consommable, donc ça heurte ma sensibilité même s'il s'agit d'un trisomique.

Dans votre logique, dans la logique de consommation, du "moi-je", du désir par delà la nature; il n'est pas du tout insensé de considérer que cela puisse déterminer un choix de la part de la mère.

Par ailleurs, c'est la même question pour ce que l'on arrivera à faire à partir du moment où l'on saura prévoir et corriger les génomes. Selon qui voudra avoir un petit enfant en bonne santé, hétérosexuel, apportant une descendance ( qu'il contrôlera d'ailleurs de la même manière et via les mêmes procédés) , et qui veut ... qu'elle s'arrête.

On est jamais eugéniste à moitié.

A nouveau, cette position pourrait avoir un interet si l'avortement etait un fait nouveau. Mais ce n'est pas le cas, ça existe depuis TRES, TRES longtemps. Et rien ne démontre que les chiffres aient particulièrement progressé depuis qu'il a été légalisé.

Ce qui prouve bien d'ailleurs que ta vision de l'enfant "consommable" ne correspond à rien.

Donc la question n'est pas d'etre pour l'avortement, mais dans quelles conditions veut on que ça se pratique, pour preserver ou non la vie de la femme.

Modifié par Aglaglae
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Membre, Esprit de contradiction, 46ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
46ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

A nouveau, cette position pourrait avoir un interet si l'avortement etait un fait nouveau. Mais ce n'est pas le cas, ça existe depuis TRES, TRES longtemps. Et rien ne démontre que les chiffres aient particulièrement progressé depuis qu'il a été légalisé.

Donc la question n'est pas d'etre pour l'avortement, mais dans quelles conditions veut on que ça se pratique, pour preserver ou non la vie de la femme.

Bien sûr, mais le sujet de "la disposition de son corps" est tout de même central dans la problématique qui nous occupe ici.

A mesure que le progrès technique nous permet de choisir si l'on veut ou pas des enfants, pourquoi ne pas envisager que lorsqu'il en sera capable, ce même progrès nous donnera la même possibilité de choisir la nature de l'enfant que l'on veut ? (et il me semble quec'est déjà plus ou moins possibleen fait).

Alors si un couple peut choisir d'avoir un enfant blond, grand, aux yeux verts, pourquoi n'aurait-il pas également le choix, si c'est possible, de le faire aussi pour l'orientation sexuelle de son enfant à venir; et pourquoi la sélection ne pourrait-il au fond ne rentrer que dans le cadre pré-natal; puisque la logique de la non-vie est "mon corps est à moi". Par extension, il sera injustifiable d'interdire à une mère d'avorter d'un enfant qui s'avèrerait être homosexuel; pour les mêmes raisons qui font qu'elle est maître de son destin; et que celui de l'enfant n'existe pas avant qu'il soit mis au monde.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Ben moi je ne suis pas pour l'idée qu'un enfant est un consommable, donc ça heurte ma sensibilité même s'il s'agit d'un trisomique.

Moi pas. Si ma femme avait eu un foetus trisomique, elle aurait fait une IVG

Dans votre logique, dans la logique de consommation, du "moi-je", du désir par delà la nature; il n'est pas du tout insensé de considérer que cela puisse déterminer un choix de la part de la mère.

Par ailleurs, c'est la même question pour ce que l'on arrivera à faire à partir du moment où l'on saura prévoir et corriger les génomes. Selon qui voudra avoir un petit enfant en bonne santé, hétérosexuel, apportant une descendance ( qu'il contrôlera d'ailleurs de la même manière et via les mêmes procédés) , et qui veut ... qu'elle s'arrête.

On est jamais eugéniste à moitié.

La correction du génome, on en est encore loin. Et un bon génome ne donne pas forcément une bonne santé, ni un gage de fertilité.

Quand à l'hétérosexualité tout le monde te l'a dit, et c'est évident, on ne peut pas la prévoir. Le gêne Homo, c'est du fantasme pur sans AUCUN fondement génétique.

Une absurdité.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 355 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

Ben moi je ne suis pas pour l'idée qu'un enfant est un consommable, donc ça heurte ma sensibilité même s'il s'agit d'un trisomique.

Dans votre logique, dans la logique de consommation, du "moi-je", du désir par delà la nature; il n'est pas du tout insensé de considérer que cela puisse déterminer un choix de la part de la mère.

Par ailleurs, c'est la même question pour ce que l'on arrivera à faire à partir du moment où l'on saura prévoir et corriger les génomes. Selon qui voudra avoir un petit enfant en bonne santé, hétérosexuel, apportant une descendance ( qu'il contrôlera d'ailleurs de la même manière et via les mêmes procédés) , et qui veut ... qu'elle s'arrête.

On est jamais eugéniste à moitié.

Il n'y a que toi ici qui parle de "consommable", de "confort personnel', de "logique de consommation" et qui évoque l''homosexualité comme rédhibitoire.

Nous pourrions en discourir durant des pages et des pages, mais n'ayant personnellement envie de ne convaincre personne de quoi que ce soit et dit mon sentiment sur le sujet...

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Membre, Esprit de contradiction, 46ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
46ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Moi pas. Si ma femme avait eu un foetus trisomique, elle aurait fait une IVG

Pourquoi c'est si dur de comprendre qu'il peut très bien y avoir des femmes qui serait prêtes à faire une IVG si elles apprenaient qu'elles allaient accoucher d'un enfant gay ?

La correction du génome, on en est encore loin. Et un bon génome ne donne pas forcément une bonne santé, ni un gage de fertilité.

Loin, c'est à dire? 5 ans ? 10 ans ? 20 ? Une péccadille en terme de temps à l'échelle de l'humanité.Qui aurait cru à l'existence d'un truc comme internet simplement 40 ans en arrière?

Quand à l'hétérosexualité tout le monde te l'a dit, et c'est évident, on ne peut pas la prévoir. Le gêne Homo, c'est du fantasme pur sans AUCUN fondement génétique.

Une absurdité.

On en sait rien, c'est une question qui se discute encore aujourd'hui.

http://www.franceculture.fr/emission-l-hebdo-des-idees-et-si-l-homosexualite-avait-une-origine-genetique-2014-02-21

Il n'y a que toi ici qui parle de "consommable", de "confort personnel', de "logique de consommation" et qui évoque l''homosexualité comme rédhibitoire.

Nous pourrions en discourir durant des pages et des pages, mais n'ayant personnellement envie de ne convaincre personne de quoi que ce soit et dit mon sentiment sur le sujet...

J'utilise les arguments de la logique libérale, ils ne sont pas les miens (et pour vous en convaincre, vous n'avez qu'à relire mes positions sur le sujet)

En poussant la logique libérale jusqu'au bout, on arrive à ce que je décris; et vous le savez très bien. L'argent est toujours au dessus de la morale, et je vous assure que dans un monde de ce type, qui paye obtient ce pourquoi il paye, indépendamment de tout esprit idéologique antagoniste.

Les bons sentiments aident le marché, mais se couche devant lui.

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Membre, 61ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Bien sûr, mais le sujet de "la disposition de son corps" est tout de même central dans la problématique qui nous occupe ici.

A mesure que le progrès technique nous permet de choisir si l'on veut ou pas des enfants, pourquoi ne pas envisager que lorsqu'il en sera capable, ce même progrès nous donnera la même possibilité de choisir la nature de l'enfant que l'on veut ? (et il me semble quec'est déjà plus ou moins possibleen fait).

Alors si un couple peut choisir d'avoir un enfant blond, grand, aux yeux verts, pourquoi n'aurait-il pas également le choix, si c'est possible, de le faire aussi pour l'orientation sexuelle de son enfant à venir; et pourquoi la sélection ne pourrait-il au fond ne rentrer que dans le cadre pré-natal; puisque la logique de la non-vie est "mon corps est à moi". Par extension, il sera injustifiable d'interdire à une mère d'avorter d'un enfant qui s'avèrerait être homosexuel; pour les mêmes raisons qui font qu'elle est maître de son destin; et que celui de l'enfant n'existe pas avant qu'il soit mis au monde.

Pour l'instant, tes craintes relèvent du pur fantasme. Meme si on entend regulièrement ce genre d'arguments depuis que la question de l'avortement est legiférée, soit pour l'interdire, soit pour l'autoriser, les chiffres stables prouvent que rien de tel ne se profile.

Il se pourrait meme que finalement, je dis bien FINALEMENT, les femmes ne soient pas des oies ecervelées ! :D

Modifié par Aglaglae
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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Selon la nature on meurt d'une appendicite, d'une tuberculose, on ne survit pas au SIDA, il faut faire 5-6 enfants pour en voir un arriver à l'âge adulte, tous les cancers sont mortels, notre espérance de vie est limitée à 40 ans..... etc.......

Désolé, mais le rôle de la Médecine est justement de contrer certaines choses "naturelles" et nuisibles à l'etre humain.

Ca s'appelle le progrès

Si l'homosexualité est d'origine génétique comment expliquer qu'elle existe encore alors que par définition les homosexuels des deux sexes tendent à se reproduire moins fréquemment que les hétérosexuels ?

C'est un non sens.

Et un hors sujet. Ouvre un topic sur le "gêne Homo" et on en reparlera......

Là il s'agit de l'IVG.

Modifié par Alain75
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Membre, 61ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Si l'homosexualité est d'origine génétique comment expliquer qu'elle existe encore alors que les homosexuels ne se reproduisent pas entre eux ?

non sens.

tres juste ! ;)

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Membre, Posté(e)
Blatte Membre 3 683 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Si l'homosexualité est d'origine génétique comment expliquer qu'elle existe encore alors que par définition les homosexuels des deux sexes tendent à se reproduire moins fréquemment que les hétérosexuels ?

C'est un non sens.

Dérive génétique*. Ca n'a pas de rapport avec un jugement moral. C'est un ensemble de réflexion qui montre que certains gènes apparaissent de façon aléatoire au fil des générations.

Je pense moi aussi qu'il y a une part de génétique dans l'homosexualité. C'est juste dommage que cet aparté vienne de Vilaine, qui en l'occurrence porte bien son pseudo.

-----------------------------------------------

*

Du point de vue génétique, c'est la modification de la fréquence d'un allèle, ou d'un génotype, au sein d'une population, indépendamment des mutations, de la sélection naturelle et des migrations. La dérive génétique est causée par des phénomènes aléatoires et imprévisibles, comme, le hasard des rencontres des spermatozoïdes et des ovules, dans le cas d'une reproduction sexuée.
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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Oui, mais une fois le gêne apparu, il se transmet, même sous forme récessive.

Et c'est là que le bat blesse.....

Je ne pense pas que l'homosexualité soit d'origine génétique désolé.

Le jour on on dira comme pour le nanisme achondroplasique ( porté par le gene FGFR3 du Chr 4 ) que le gêne homosexuel existe, qu'il correspond à tel locus sur tel chromosome, alors je réviserai ma position. Pas avant.

Modifié par Alain75
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Membre, Posté(e)
Blatte Membre 3 683 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Non, pas forcément.

Les erreurs de copie font "disparaître" certains gènes et en font "apparaître" d'autre.

Mais un gène "récessif", c'est un gène inactif non ? Donc qui n'a pas d'impact sur l'individu tant qu'il est sommeil.

Pas évident de faire un cours sur ce sujet tu penses bien :D, mais tu saisis l'idée ou pas ?

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Membre, Esprit de contradiction, 46ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
46ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Désolé, mais le rôle de la Médecine est justement de contrer certaines choses "naturelles" et nuisibles à l'etre humain.

Ca s'appelle le progrès

Il est notable dans l'Histoire que l'idéologie dite du progrès prend les habits qu'elle choisit de prendre au moment où le progrès décide d'être présenté comme tel. Le progrès d'aujourd'hui sera peut être (et même sûrement) le "passé" de demain. C'est pourquoi je me méfie de ceux qui brandissent le progrès comme une cause politique en soi.

Je te rappelle que pour beaucoup, l'homosexualité n'est justement pas naturelle, et qu'elle est nuisible à l'être humain de part sa non reproductibilité; et si ces gens ont l'argent, qu'est ce qui pourrait bien les empêcher d'appliquer leurs opinions à leur futur enfant ?

Si l'homosexualité est d'origine génétique comment expliquer qu'elle existe encore alors que par définition les homosexuels des deux sexes tendent à se reproduire moins fréquemment que les hétérosexuels ?

Dans l'article que j'ai posté plus haut :

On sait aussi depuis longtemps qu’un homme homosexuel a souvent des ascendants de même orientation du côté maternel ; d’où l’hypothèse d’une transmission génétique par voie matriarcale. Cela fait longtemps que la piste d’une origine génétique de l’homosexualité est explorée. En Belgique, le neurobiologiste Jacques Balthazart défend la thèse d’une interaction entre des facteurs génétiques et hormonaux pendant la vie embryonnaire, les hormones sexuelles exerçant alors, dans le développement du fœtus, un rôle organisateur, susceptible d’être perturbé.

Primo une famille n'est pas figée (encore moins maintenant)

Secundo, je te signale qu'on arrête pas de nous répéter ici et là qu'une personne n'est pas forcément assujetti à son statut de gay et que c'est "plus nuancé que ça", alors le penchant d'un homme attiré par les hommes mais qui a décidé tout de même d'avoir des enfants (donc avec une femme) explique largement la possibilité de transmission de gêne.

Je ne pense pas que l'homosexualité soit d'origine génétique désolé.

Le jour on on dira comme pour le nanisme achondroplasique ( porté par le gene FGFR3 du Chr 4 ) que le gêne homosexuel existe, qu'il correspond à tel locus sur tel chromosome, alors je réviserai ma position. Pas avant.

Et elle ne l'est peut être pas mais ça n'est pas un sujet tranché.

Cela dit ça ne nous empêche pas d'utiliser des arguments théoriques.

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