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A-t-on retrouvé la tombe d'Aristote ?


January

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 400 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Un archéologue pense avoir localisé la sépulture du philosophe et scientifique, mort il y a 2.400 ans au nord de la Grèce.

15180646-a-t-on-retrouve-la-tombe-d-aristote.jpg

L'archéologie nous réserve régulièrement des surprises de taille, et la Grèce est l'un des lieux historiques les plus riches en la matière. L'an dernier, c'est une tombe située à Amphipolis, et qui pourrait être celle d'Héphaestion, compagnon d'Alexandre le Grand, qui a occupé le devant de la scène. Aujourd'hui, un archéologue grec, Kostas Sismanidis, annonce qu'il a retrouvé la tombe d'Aristote dans sa ville natale de Stagire.

Suite http://tempsreel.nou...d-aristote.html

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Membre, 105ans Posté(e)
ThomasMann Membre 3 895 messages
Baby Forumeur‚ 105ans‚
Posté(e)

Retrouver sa tombe ... c'est énorme !

Retrouver ses écrits perdus... ce serait inespéré !!!

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Membre, 105ans Posté(e)
ThomasMann Membre 3 895 messages
Baby Forumeur‚ 105ans‚
Posté(e)

Merci mon ami Wiki !

Ouvrages perdus

Trois types d'ouvrages perdus, au nombre de trente environ1 : a) des discours exotériques, b) des écrits doxographiques ; c) des écrits hypomnématiques.

Parmi les discours exotériques (έξωτερικοὶ λόγοι), dialogues de jeunesse, entre 360 et 345 av. J.-C., destinés à un large public, de forme littéraire, dont il ne reste que des fragments, mais mieux connus que le reste de l'œuvre d'Aristote durant l'Antiquité2 :

Grylos ou De la rhétorique (361 av. J.-C., date de la mort de Grylos, fils de Xénophon) : contre Isocrate

Eudème ou De l'âme (354 av. J.-C., date de la mort d'Eudème de Chypre) : sur l'immortalité, la préexistence, la transmigration de l'âme

Protreptique d'Aristote (353 av. J.-C., date du Sur l'échange d'Isocrate ; surtout conservé dans le Protreptique de Jamblique) : sur la vie contemplative. Trad. Jacques Follon, Invitation à la philosophie. Protreptique, Mille et Une Nuits, 2000, 63 p. Aristote, jeune, est encore platonicien.

Sur la philosophie (Περὶ φιλοσοφίας) (348-345 av. J.-C., à Assos) : sur la cosmologie, contre les Idées et les Nombres idéaux. H. D. Saffrey, Le 'Peri philosophias' d'Aristote et la théorie platonicienne des Idées Nombres, Philosophia Antiqua, vol. VII, Leyde, éd. E. J. Brill, 1955, XII, 74 p., deuxième édition revue et augmentée avec compte-rendu par H. Cherniss, Leyde, éd. Brill, 1971. Aristote, mûr, fait une critique de la théorie des Nombres idéaux.

Parmi les écrits doxographiques, recueils de dogmes :

Du Bien (posthume, 300 av. J.-C. selon H. J. Krämer) : texte et trad. Marie-Dominique Richard, L'enseignement oral de Platon, Cerf, 1986, p. 83, 249-286. Sur Platon et son enseignement oral ésotérique.

Des Idées : voir S. Mansion, « La critique de la théorie des Idées dans le Περί Ιδέων d’Aristote », Revue philosophique de Louvain, 47 (1949), p. 169-202. Sur Platon.

Des Pythagoriciens (Περὶ τῶν Πυθαγορείων) (vers 360 av. J.-C. ?), trad. an. : The Complete Works of Aristotle, J. Barnes édi., Princeton University Press, 1984, p. 2441-2446.

Parmi les écrits hypomnématiques, mémoires provenant d'exercices dans l'Académie :

Divisions : Aristoteles, Divisiones, éd. par H. Mutschmann, Leipzig, 1906. Compilation due à un auteur frotté de philosophie platonicienne et aristotélicienne (Paul Moraux).

Des contraires : Aristotelis Fragmenta Selecta, 1955, p. 105.

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